“La Communauté Musulmane A La Fin Des Temps”
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÓóíóÃúÊöí Úóáóì ÇáäøÇÓö ÒóãÇäñ áÇ íõßúÑöãõæäó ÇáÚõáóãÇÁó ÅáÇø ÈöËóæúÈ ÍóÓóä æóáÇ
íóÓúãóÚõæäó ÇáúÞõÑúÂäó ÅáÇø ÈöÕóæúÊ ÍóÓóä æóáÇ íóÚúÈõÏõæäó Çááåó ÅáÇø Ýí ÔóåúÑö
ÑóãóÖÇäó¡ áÇ ÍóíÇÁó áöäöÓÇÆöåöãú æóáÇ ÕóÈúÑó áöÝõÞóÑÇÆöåöãú¡ æóáÇ ÓóÎÇÁó
áÇöóÛúäöíÇÆöåöãú áÇ íóÞúäóÚõæäó ÈöÇáÞóáöíáö¡ æóáÇ íóÔúÈóÚõæäó ÈöÇáúßóËöíÑö¡
åöãøóÊõåõãú ÈõØõæäõåõãú¡ æóÏöíäõåõãú ÏóÑÇåöãõåõãú¡ æóäöÓÇÄõåõãú ÞöÈúáóÊõåõãú¡
æóÈõíõæÊõåõãú ãóÓóÇÌöÏõåõãú íóÝöÑøõæäó ãöäó ÇáúÚõáóãÇÁö ßóãÇ ÊóÝöÑøõ ÇáúÛóäóãõ
ãöäó ÇáÐøöÆúÈö¡ ÝóÅÐÇ ßÇäó Ðáößó ÅÈúÊóáÇåõãõ Çááå ÈöËóáÇËö ÎöÕÇá : ÃóæøóáõåóÇ
íóÑúÝóÚõ ÇáúÈóÑóßóÉó ãöäú ÃóãúæÇáöåöãú æóÇáËøóÇäöíÉõ íõÓóáøöØ Çááåõ Úóáóíúåöãú
ÓõáúØÇäÇð ÌÇÆöÑÇð æóÇáËøÇáöËóÉõ íóÎúÑõÌõæäó ãöäó ÇáÏøõäúíÇ ÈöÛóíúÑö ÅöíãÇä.
æÞÇÆÚ ÇáÇíøÇã / 439
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
Il arrivera une époque où le peuple ne respectera pas les oulémas sauf ceux qui
porteront de bons vêtements, n’écouteront pas le Coran sauf lorsqu’une personne
le réci-tera avec psalmodie, n’accomplira pas de pratiques de dé-votion sauf
pendant le mois de Ramadhan. À cette époque-là, les femmes n’auront pas de
pudeur, les pauvres seront impatients, les riches ne seront pas généreux, le
peuple ne se satisfera pas de peu, ne se rassasiera pas malgré de nom-breux
repas, ses efforts seront pour le ventre, sa religion se-ra l’argent, sa Qibla
sera ses femmes, ses maisons équi-vaudront à la mosquée (c’est-à-dire : il n’ira
pas à la mos-quée), le peuple fuira devant les oulémas tel un mouton de-vant un
loup. Quand ces événements se produiront, Dieu donnera au peuple trois
particularités : Il supprimera l’abondance de la vie du peuple, il fera régner
un tyran sur lui et le peuple mourra sans foi .
Waqâyic ul-Ayyâm/p.439
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
íóÃúÊöí Úóáì ÃõãøóÊí ÒóãÇäñ íóßõæäõ ÃõãóÑÇÄõåõãú Úóáóì ÇáúÌóæúÑö æóÚõáóãÇÄõåõãú
Úóáóì ÇáØøóãóÚö æóÞöáøóÉö ÇáúæóÑóÚö¡ æóÚõÈøÇÏõåõãú Úóáóì ÇáÑøöíÇÁö¡
æóÊõÌøÇÑõåõãú Úóáì Ãóßúáö ÇáÑøöÈÇ æóßöÊúãÇäö ÇáúÚóíúÈö Ýí ÇáúÈóíúÚö æóÇáÔøöÑì¡
æóäöÓÇÄõåõãú Úóáì ÒöíäóÉö ÇáÏøõäúíÇ ÝóÚöäúÏó Ðáößó íõÓóáøóØõ Úóáóíúåöãú
ÔöÑÇÑõåõãú ÝóíÏúÚõæÇ ÎöíÇÑõåõãú ÝóáÇ íõÓúÊóÌÇÈõ áóåõãú.
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 23 / 22
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
Il arrivera une époque où les gens de ma communauté se-ront dominés par les
tyrans, les savants seront cupides et auront peu de piété, les personnes dévotes
feront ostenta-tion de leurs pratiques pieuses, les négociants seront usu-riers
et cacheront les défauts des marchandises quand ils feront du commerce et les
femmes se maquilleront trop. À cette époque-là, les personnes les plus mauvaises
parmi la communauté règneront sur la communauté et les meilleures personnes
parmi la communauté prieront, mais leurs prières ne seront pas exaucées.
Bihâr ul-Anwâr/vol.23/p.22
ÞÇáó ÇáäøöÈöíøõ Õóáøóì Çááåõ Úóáóíúåö æóÂáöåö :
ÓóíÃúÊöí ÒóãÇäñ Úóáì ÃõãøóÊí íõÍöÈøõæäó ÎóãúÓÇó æóíóäúÓóæúäó ÎóãúÓÇð :
íõÍöÈøõæäó ÇáÏøõäúíÇ æóíóäúÓóæúäó ÇáÂÎöÑóÉó¡ æóíõÍöÈøõæäó ÇáúãÇáó æóíóäúÓóæúäó
ÇáúÍöÓÇÈó¡ æóíõÍöÈøõæäó ÇáäøöÓÇÁó æóíóäúÓóæúäó ÇáúÍõæÑó¡ æóíõÍöÈøõæäó ÇáúÞõÕõæÑó
æóíóäúÓóæúäó ÇáúÞõÈõæÑó¡ æóíõÍöÈøõæäó ÇáäøóÝúÓó æóíóäúÓóæúäó ÇáÑøóÈøó¡ ÃõæáÆßó
ÈóÑöíÆõæäó ãöäøí æó ÃóäóÇ ÈóÑöíÁñ ãöäúåõãú.
ÇáÇËäí ÚÔÑíÉ / 202
Le Saint Prophète, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, de l’Islam a dit :
Il arrivera une époque où les membres de ma communauté aimeront cinq choses et
oublieront cinq choses : ils aime-ront ce monde et oublieront l’Autre monde, ils
aimeront les biens matériels et oublieront la reddition des comptes au Jour du
Jugement Dernier, ils aimeront les femmes et ou-blieront les Houris , ils
aimeront les châteaux et oublie-ront les tombes, ils s’aimeront (c’est-à-dire :
égoïsme) et oublieront Dieu ; et donc, ils me détestent et moi-même, je les
déteste.
Ithnâ ‘Asharîyya/p.202
“Les Attributs Du Croyant”
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÅöäøóãÇ ÈõÚöËúÊõ áöÃõÊóãöøãó ãóßÇÑöãó ÇáúÃóÎúáÇÞö
ãÓÊÏÑß ÇáæÓÇÆá / 11 / 187
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
J’ai été choisi par Dieu comme prophète pour présenter et compléter les nobles
vertus morales.
Mustadrak ul-Wasâil/vol.11/p.187
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÇóáÇ ÇõäúÈøöÆõßõãú ÈöÇáúãõÄúãöäö¿ ãóäö ÇÆúÊóãóäóåõ ÇáúãõÄúãöäõæäó Úóáì
ÃóäúÝõÓöåöãú æóÃóãúæÇáöåöãú¡ ÃáÇ ÇõäóÈøöÆõßõãú ÈöÇáúãõÓúáöãö¿ ãóäú Óóáöãó
ÇáúãõÓúáöãõæäó ãöäú áöÓÇäöå æóíóÏöå…æÇáúãõÄúãöäõ ÍóÑÇãñ Úóáóì ÇáúãÄúãöäö Ãóäú
íóÙúáöãóåõ Ãóæú íóÎúÐõáóåõ Ãóæú íóÛúÊÇÈóåõ Ãóæú íóÏúÝóÚóåõ ÏóÝúÚóÉð.
ÇáßÇÝí / 2 / 235
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
Je ne vous ai pas présenté le croyant ? Le croyant est celui auquel d’autres
croyants peuvent confier leurs vies et leurs biens.
Je ne vous ai pas présenté le musulman ? Le musulman est celui qui ne gêne pas
les autres musulmans par ses mains (ses actes) et par sa langue (ses paroles) .
Dieu a interdit au croyant d’opprimer un autre croyant, de ne pas l’aider, de le
trahir, d’en médire et de le repousser.
Al-kâfî/vol.2/p.235
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÔóÑóÝõ ÇáúãõÄúãöäö ÞöíÇãõåõ ÈöÇáúáøóíúáö æóÚöÒøõåõ ÇöÓÊÛúäÇÄõåõ Úóäö ÇáäøÇÓö
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 77 / 20
Le Noble Prophète, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
L’honneur d’un croyant est le fait qu’il se lève durant la nuit pour accomplir
les prières de la nuit et sa grandeur est le fait qu’il n’ait pas besoin
d’autrui.
Bihâr ul-Anwâr/vol.77/p.20
ÞÇáó ÇáÇúöãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÌÇÁó ÑóÌõáñ Çöáóì ÇáäøóÈöíøö Õóáøóì Çááåõ Úóáóíúåö æóÂáöåö ÝóÞÇáó : Úóáøöãúäí
ÚóãóáÇð íõÍöÈøõäíó Çááåõ ÊóÚÇáì Úóáóíúåö æóíõÍöÈøõäíó ÇáúãóÎáõæÞõæäó æóíõËÑöí
Çááåõ ãÇáí æóíõÕöÍøõ ÈóÏäí æóíõØíáõ ÚõãúÑí æóíóÍúÔõÑõäí ãóÚóß¡ ÞóÇáó : åÐöåö
ÓöÊøõ ÎöÕÇá ÊóÍÊÇÌõ Çöáì ÓöÊö ÎöÕÇá : ÇöÐÇ ÃóÑóÏúÊó Ãóäú íõÍöÈøóß Çááåõ ÝóÎöÝúåõ
æóÇöÊøóÞöåö¡ æÇöÐÇ ÃóÑóÏúÊó Çóä íõÍöÈøóßó ÇáúãóÎúáõæÞõæäó ÝóÇóÍúÓöäú Çöáóíúåöãú
æóÇöÑúÝöÖú ãÇ Ýí ÃíúÏöíåöãú¡ æÇöÐÇ ÃÑóÏúÊó Ãóäú íõËúÑöíó Çááåõ ãÇáóßó ÝóÒóßøöåö¡
æÇöÐÇ ÃóÑóÏúÊó Ãóäú íõÕöÍøó Çááåõ ÈóÏóäóßó ÝóÃóßúËöÑ ãöäó ÇáÕøóÏóÞóÉö¡ æóÇöÐÇ
ÃóÑóÏúÊó Ãóäú íõØíáó Çááåõ ÚõãúÑóßó ÝóÕöáú Ðóæí ÃóÑúÍÇãößó¡ æóÇöÐÇ ÃóÑóÏúÊó Ãä
íóÍúÔõÑóß Çááåõ ãóÚí ÝóÇóØöáö ÇáÓøõÌõæÏó Èóíúäó íóÏíö Çááåö ÇáúæÇÍöÏö ÇáÞóåøÇÑö.
ÓÝíäÉ ÇáÈÍÇÑ / 1 / 599
L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Un homme est venu auprès de l’Envoyé de Dieu et lui a dit : “Apprends-moi un
acte menant à l’amitié de Dieu et du peuple envers moi, à l’augmentation de mes
biens, à la santé de mon corps, à ma longévité et à ma résurrection avec toi
dans l’autre monde.”
Le Prophète lui a ainsi répondu : “ Tu dois observer six points pour obtenir ces
qualités :
Si tu veux que Dieu t’aime, tu dois craindre de Dieu et être pieux ;
Si tu veux que le peuple t’aime, tu dois bien le traiter, avec charité et
renoncer à ses biens ;
Si tu veux que Dieu augmente tes biens, tu dois faire l’aumône ;
Si tu veux que Dieu t’octroie la bonne santé, tu dois beau-coup donner l’aumône
volontaire ;
Si tu veux que Dieu prolonge ta vie, tu dois respecter les liens utérins
(fréquenter les gens de ta famille) ;
Si tu veux que Dieu te ressuscite dans l’Autre monde avec moi, tu dois prolonger
tes prosternations devant Lui, L’Unique, Le Dominant.”
Safînat ul-Bihâr/vol.1/p.599
ÞÇáó ÇáÇúöãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ßõäú Ýöí ÇáúÝöÊúäóÉö ßóÇÈúäö ÇááóÈõæäö : áÇÙóåúÑñ ÝóíõÑúßóÈ ¡ æóáÇ ÖóÑúÚñ
ÝóíõÍúáóÈ
äåÌ ÇáÈáÇÛÉ : ÇáßáãÇÊ ÇáÞÕÇÑ / 1
L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Lors des troubles, sois comme un chamelon qui ne se laisse pas monter et
n’allaite pas.
Nahdj ul-Balâgha/Al-Kalamât ul-Qisâr(aphorismes)/numéro74
ÞÇáóÊú ÝÇØöãóÉõ ÚóáóíúåÇ ÇáúÓøóáÇãõ :
ÇáúÌÇÑõ Ëõãøó ÇáúÏøÇÑõ
ßÔÝ ÇáÛãøÉ / 2 / 25 ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 77 / 20
La fille du Saint Prophète, Fâtima, les bénédictions de Dieu soient sur elle, a
dit :
Premièrement, fais attention à tes voisins, puis à ta famil-le (c’est-à-dire :
vois si tes voisins ont des problèmes et ai-de-les avant de vouloir aider ta
famille.) .
Kashf ul-Ghimma/vol.2/p.25 – Bihâr ul-Anwâr/vol.77/p.20
Þöíáó áóÚóáöíøö Èúäö ÇáúÍõÓóíúäö Úáíå ÇáÓøáÇã ßóíúÝó ÃóÕúÈóÍúÊó íóÇÈúäó ÑóÓõæáö
Çááåö¿ ÞóÇáó : ÃóÕúÈóÍúÊõ ãóØúáõæÈÇð ÈöËóãÇäö ÎöÕÇá : Ãóááåõ ÊóÚÇáì íóØúáõÈõäí
ÈöÇáúÝóÑÇÆöÖö¡ æóÇáäøóÈöíøõ Õóáøóì Çááåõ Úóáóíúåö æóÂáåö ÈöÇáÓøõäøóÉö
æóÇáúÚöíÇáõ ÈöÇáúÞõæÊö¡ æóÇáäøóÝúÓõ ÈöÇáúÔøóåúæóÉö¡ æóÇáÔøóíúØóÇäõ
ÈöÇáúãóÚúÕöíóÉö æóÇáúÍóÇÝöÙÇäö ÈöÕöÏúÞö ÇáúÚóãóáö¡ æóãóáóßõ ÇáúãóæúÊö
ÈöÇáÑøõæÍö¡ æóÇáúÞóÈúÑõ ÈöÇáúÌóÓóÏö¡ ÝóÇóäÇ Èóíúäó åÐöåö ÇáúÎöÕÇáö ãóØúáõæÈñ.
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 76 / 15
On a dit a l’Imâm Sadjâd, les bénédictions de Dieu soient sur lui : « Comment
passes-tu la nuit et atteins-tu le matin ? » L’Imâm a ré-pondu ainsi :
J’atteins le matin alors que l’on me demande huit choses :
Dieu me demande d’accomplir les obligations, le Prophète me demande de suivre sa
conduite, ma famille me demande son pain quotidien, mon âme me demande de
satisfaire sa concupiscence, Satan me demande de pécher, les deux anges qui
inscrivent les bonnes et les mauvaises actions des hommes (Kirâm al-Kâtibîn) me
demande d’accomplir de bonnes actions, l’Ange Azraël demande ma vie, la tombe
demande mon corps et moi je suis parmi ces demandes.
Bihâr ul-Anwâr/vol.76/p.15
ÞÇáó ÇáÇúöãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
Çöäøó ÇáúãõÄúãöäó ãóäú íóÎÇÝõåõ ßõáøõ ÔóíÁ , æóÐáößó Ãóäøóåõ ÚóÒíÒñ Ýí Ïíäö
Çááåö , æáÇ íóÎÇÝõ ãöäú ÔóìúÁ æóåõæó ÚóáÇãóÉõ ßõáøö ãõÄúãöä.
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 67 / 305
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Étant donné que la religion octroie la grandeur au croyant, tout le monde le
craint, tandis que lui ne craint personne hormis Dieu.
Bihâr ul-Anwâr/vol.67/p.305
ÞÇáó ÇáÇúöãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
áÇ íóäúÈóÛí áöáúãõÄúãöäö Ãóäú íóÌúáöÓó ãóÌúáöÓÇð íõÚúÕóì Çááåõ Ýöíåö æóáÇ
íóÞúÏöÑõ Úóáì ÊóÛúííÑöåö
ÇáßÇÝí / 2 / 374
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Le croyant ne doit pas se trouver dans un lieu où l’on commet des péchés et où
il ne peut les empêcher.
Al-kâfî/vol.2/p.374
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÅÐÇ ßÇäó íóæúãõ ÇáúÞöíÇãóÉö íóÞõæãõ ÚõäõÞñ ãöäó ÇáäøÇÓö ÝóíÃúÊõæäó ÈÇÈó
ÇáúÌóäøóÉö ÝóíóÖúÑöÈõæäóåõ ÝóíõÞÇáõ áóåõãú : ãóäú ÃóäúÊõãú¿ ÝóíóÞõæáõæäó :
äóÍúäõ Ãóåúáõ ÇáÕøóÈúÑö ÝóíõÞÇáõ áóåõãú : Úóáì ãÇ ÕóÈóÑúÊõãú¿ ÝóíóÞõæáõæä :
ßõäøÇ äóÕúÈöÑõ Úóáì ØÇÚóÉö Çááåö æóäóÕúÈöÑõ Úóäú ãóÚÇÕöí Çááåö¡ ÝóíóÞõæáõ Çááåõ
ÚóÒøóæóÌóáøó ÕóÏóÞõæÇ¡ ÇóÏúÎöáõæåõãõ ÇáúÌóäøóÉó æóåõæó Þóæúáõ Çááåö ÚóÒøóæóÌóáøó
ÇöäøóãÇ íõæóÝøóì ÇáÕøÇÈöÑõæäó ÃóÌúÑóåõãú ÈöÛíúÑö ÍöÓÇÈ.
ÇáßÇÝí / 2 / 75
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Lors du Jour du Jugement, certains viennent et frappent à la porte du Paradis.
On leur dit :“Qui êtes-vous?” Ils ré-pondent : “Nous sommes les patients.” On
leur demande :“Qu’avez-vous supporté ?” Ils répondent : “Nous avons obéi à Dieu
et résisté aux péchés.” Puis, Dieu qu’Il soit honoré et glorifié dit : “Ils
disent la vérité ; introduisez-les dans le Paradis.” Ceci est la parole de Dieu
: “ En effet, les patients ont leurs récompenses sans reddition des comptes.”
Al-Kâfî/vol.2/p.75
Úóäö ÇáúÍÇÑöËö Èúäö ÇáÏøöáúåÇËö ãóæúáóì ÇáÑøöÖÇ Úáíå ÇáÓøáÇã ÞóÇáó ÓóãöÚúÊõ
ÃóÈóÇ ÇáúÍóÓóäö Úáíå ÇáÓøáÇã íóÞõæáõ áÇ íóßõæäõ ÇáúãõÄúãöäõ ãõÄúãöäÇð ÍóÊøì
íóßõæäó Ýöíåö ËóáÇËõ ÎöÕÇá : ÓõäøóÉñ ãöäú ÑóÈøöåö¡ æóÓõäøóÉñ ãöäú äóÈíøöå¡¡
æÓõäøóÉñ ãä æóáöíøöåö¡ ÝóÇáÓøõäøóÉõ ãöäú ÑóÈøöåö : ßöÊúãÇäõ ÓöÑøöåö ÞóÇáó Çááåõ
ÚóÒøó æóÌóáøó (ÚÇáöãõ ÇáúÛóíúÈö ÝóáÇ íõÙúåöÑõ Úóáì ÛóíúÈöåö ÇóÍóÏÇð ÇöáÇø ãóäú
ÇÑúÊóÖóì ãöäú ÑóÓõæá) æóÇóãøóÇ ÇáÓøõäøóÉõ ãöäú äóÈöíøöåö : ÝóãõÏÇÑÇÉõ ÇáäøÇÓö
ÝóÇöäøó Çááåó ÚóÒøó æóÌóáøó ÇóãóÑó äóÈöíøóåõ ÈöãõÏÇÑÇÉö ÇáäøÇÓ ÝóÞÇáó : (ÎõÐö
ÇáúÚóÝúæó æóÃúãõÑú ÈöÇáúÚõÑúÝö æóÃÚúÑöÖú Úóäö ÇáÌÇåöáíäó) æóÇóãøóÇ ÇáÓøõäøóÉõ
ãöäú æóáöíøöåö : ÝóÇáÕøóÈúÑõ Ýí ÇáúÈóÃÓÇÁö æóÇáÖøóÑÇÁö ÝóÇöäøó Çááåó ÚóÒøó
æóÌóáøó íóÞõæáõ (æóÇáÕøÇÈöÑöíäó Ýí ÇáúÈóÃÓÇÁö æóÇáúÖóÑøÇÁö).
Úíæä ÃÎÈÇÑ ÇáÑÖÇ / 1 / 256
Hârith bin Addilhât dit :
J’ai entendu que l’Imâm Rizâ, les bénédictions de Dieu soient sur lui, disait :
Le croyant doit observer trois sortes de conduites : la conduite de son Dieu,
celle de son Prophète et celle de son Imâm.
La conduite de son Dieu est qu’il faut garder ses secrets ainsi que Dieu dit :“
Qui connaît tous les secrets (cÂlim ul-ghayb), ne les dit à personne, sauf au
prophète qu’il choi-sit.”
La conduite de son Prophète est qu’il faut traiter le peuple avec indulgence
ainsi que Dieu dit :“ Excuse les fautes d’autrui, ordonne aux autres d’accomplir
de bonnes actions et évite les ignorants.”
La conduite de son Imâm est qu’il faut être patient face à la pauvreté et aux
maladies ainsi que Dieu dit :“ Ceux qui sont patients face à la pauvreté, aux
maladies et sur le champ de bataille font partie des véridiques et des pieux.”
‘Uyûn ul-Akhbâr ul-Rizâ/vol.1/p.256
ÞÇáó ÇáÇúöãÇãõ ÇáÌóæÇÏõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÃóáúãõÄúãöäõ íóÍúÊóÇÌõ Çöáì ËóáÇËö ÎöÕÇá : ÊóæúÝöíÞñ ãöäó Çááåö¡ æóæÇÚöÙñ ãöäú
äóÝúÓöåö¡ æóÞóÈõæáñ ãöãøóäú íóäúÕóÍõåõ
ãäÊåì ÇáÇãÇá / 2 / 554
L’Imâm Djawâd, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Le croyant doit avoir trois qualités : être dans les bonnes grâces de Dieu, être
un bon conseiller pour lui-même et ac-cepter les paroles de la personne qui le
conseille.
Muntahî ul-Âmâl/vol.2/p.544
“Garder L’Honneur Du Croyant”
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
äõÕúÍõßó Èóíúäó ÇáúãóáóÅö ÊóÞúÑíÚñ
ÛÑÑ ÇáÍßã / 322
L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Si tu conseilles ouvertement une personne fautive, tu écra-ses véritablement son
honneur (c’est-à-dire : il faut conseil-ler discrètement une personne
coupable.).
Ghurar ul-Hikam/p.322
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÇöÞúÈóáú ÚõÐúÑó ÃóÎíßó æóÅöä áóãú íóßõäú áóåõ ÚõÐúÑñ ÝóÇáúÊóãöÓú áóåõ ÚõÐúÑÇð
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 74 / 165
L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Accepte l’excuse de ton frère musulman ; s’il n’en a aucu-ne, cherche-la
toi-même pour lui.
Bihâr ul-Anwâr/vol.74/p.165
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÃóÞúÈóÍõ ÇáúÛóÏúÑö ÇöÐÇÚóÉõ ÇáÓøöÑøö
ãÓÊÏÑß ÇáæÓÇÆá / 12 / 305 ÑÞã 14155
L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
La plus honteuse trahison est que l’on révèle des secrets d’un musulman.
Mustadrak ul-Wasâil/vol.12/p.305
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáúÈÇÞöÑõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
íóÌöÈõ áöáúãõÄúãöäö Úóáóì ÇáúãõÄúãöäö Ãóäú íóÓúÊõÑó Úóáóíúåö ÓóÈúÚíäó ßóÈíÑÉð
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 74 / 301
L’Imâm Bâqir, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Il faut qu’un croyant cache, même soixante-dix péchés (qu’il a vu) de l’autre
croyant.
Bihâr ul-Anwâr/vol.74/p.301
“Les Droits Du Frère Croyant”
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ãóäú ÃóÍúÒóäó ãõÄúãöäÇð Ëõãøó ÃÚúØóÇåõ ÇáÏøõäíÇ áóãú íóßõäú Ðáößó ßÝøÇÑóÊóåõ
æóáóãú íõÄÌóÑú Úóáóíúå
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 75 / 150
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
Si quelqu’un attriste un croyant et que pour réparer ce pé-ché il lui donne le
monde entier, cette munificence n’équivaudra pas à l’expiation du péché ; de
plus, pour une telle munificence, il n’aura aucune récompense divine (hormis le
fait qu’il a fait pénitence et a satisfait ce croyant).
Bihâr ul-Anwâr/vol.75/p.150
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ãóäú ÂÐì ãõÄúãöäÇð ÝóÞóÏú ÂÐÇäí
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 67 / 72
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
Celui qui tourmente un croyant, véritablement il me tour-mente.
Bihâr ul-Anwâr/vol.67/p.72
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ãóäö ÇÞúÊóØóÚó ãÇáó ãõÄúãöä ÛóÕúÈÇð ÈöÛóíÑö ÍóÞøò áóãú íóÒóáö Çááåõ ãõÚúÑöÖÇð
Úóäúåõ¡ ãÇÞöÊÇð áÇÚúãÇáöåö ÇáøóÊí íóÚúãóáõåÇ ãöäó ÇáúÈöÑøö æÇáúÎóíúÑö áÇ
íõËúÈöÊõåÇ Ýí ÍóÓóäÇÊöåö ÍÊøì íóÊõæÈó æóíóÑõÏøó ÇáúãóÇáó ÇáøóÐí ÃóÎóÐóåõ Çöáì
ÕÇÍöÈöåö.
ãÓÊÏÑß ÇáæÓÇÆá / 17 / 89
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
Dieu ne pardonne pas à celui qui se saisit des biens d’un croyant indûment et
injustement ; Il n’accepte pas ses bonnes œuvres et ne les inscrit pas parmi ses
bons actes jusqu’au moment où il lui rend les biens (usurpés).
Mustadrak ul-Wasâil/vol.17/p.89
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÅöäøóãóÇ ÚöãóÇÏõ ÇáÏøíäö¡ æóÌöãÇÚõ ÇáúãõÓúáöãíäó¡ æóÇáúÚõÏøóÉõ áöáÇóÚúÏÇÁö¡
ÇáúÚÇãøóÉõ ãöäó ÇáÇõãøóÉö¡ Ýóáúíóßõäú ÕöÛúæõßó áóåõãú¡ æóãóíúáõßó ãóÚóåõãú.
äåÌ ÇáÈáÇÛÉ ÇáÑÓÇáÉ 53
L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
La masse du peuple est le pilier de la religion et la cause de l’entente dans la
communauté musulmane. Elle-même s’apprête pour la guerre contre les ennemis.
Alors, tu dois la traiter amicalement et avec gaieté.
Nahdj ul-Balâgha/lettre n°53
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÃóÑúÈóÚóÉñ ãöäú ÃóÎúáÇÞö ÇáÇäúÈöíÇÁö Úóáóíúåöãú ÇáÓøóáÇãõ : ÇáúÈöÑøõ¡
æóÇáÓøóÎÇÁõ¡ æÇáÕøóÈúÑõ Úóáóì ÇáäøÇÆöÈóÉö¡ æóÇáúÞöíÇãõ ÈöÍóÞøö ÇáúãõÄúãöäö.
ÊÍÝ ÇáÚÞæá / 277
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Quatre qualités font partie du comportement des prophè-tes : l’honnêteté, la
générosité, la patience face aux souf-frances et la lutte contre l’injustice qui
consiste à usurper le droit d’un croyant.
Tuhaf ul-‘Ughûl/p.277
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ãÇ ÚõÈöÏó Çááåõ ÈöÔóíÁ ÃóÝúÖóáó ãöäú ÃóÏÇÁö ÍóÞøö ÇáúãõÄãöäö
ÇáßÇÝí / 2 / 170
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Auprès de Dieu, le meilleur acte légal n’est que le paiement du droit d’un
croyant.
Al-Kâfî/vol.2/p.170
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ãöäú ÃóÍóÈøö ÇáÇÚúãÇáö Çöáóì Çááåö ÚóÒøóæóÌóáøó ÇöÏúÎÇáõ ÇáÓøõÑõæÑö Úóáóì
Çáúãõæúãöäö ¡ ÇöÔúÈÇÚõ ÌõæÚóÊöåö Ãóæú ÊóäúÝíÓõ ßóÑúÈóÊöåö Ãóæú ÞóÖÇÁö Ïóíúäöåö.
ÇáßÇÝí / 2 / 192
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Auprès de Dieu, l’acte le plus aimable qu’un croyant puisse engendrer est de
satisfaire un autre croyant, comme le fait de le nourrir quand il a faim, de le
rendre gai lorsqu’il est triste et de rembourser son emprunt (lorsqu’il est
débiteur).
Al-Kafî/vol.2/p.192
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáúßÇÙöãõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ãöäú ÃóæúÌóÈö ÍóÞøö ÃóÎíßó ÃóáÇø ÊóßúÊõãóåõ ÔóíúÆÇð íóäúÝóÚóåõ áÇ ãöäú ÏõäúíÇåõ
æóáÇ ãöäú ÂÎöÑóÊåö
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 2 / 75
L’Imâm Kâzim, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Le droit le plus important que tout croyant doit respecter est qu’il n’évite pas
de parler de ce dans quoi se trouve le profit de ce monde et de l’Autre monde de
son frère en reli-gion.
Bihâr ul-Anwâr/vol.2/p.75
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáúßÇÙöãõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ãóäú ÓóÑøó ãõÄúãöäÇó ÝóÈöÇááåö ÈóÏóÃó æóÈöÇáäøóÈöí Ëóäøì æóÈöäÇ ËóáøóËó
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 74 / 314
L’Imâm Kâzim, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Celui qui contente un croyant satisfait Dieu en premier, puis le Prophète en
second et nous (les Gens de la Demeure Prophétique) en troisième.
Bihâr ul-Anwâr/vol.74/p.314
“Avoir De La Bonté Pour Ses Parents”
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÑöÖóì Çááåö Ýí ÑöÖóì ÇáúæÇáöÏóíúäö æóÓóÎóØõåõ Ýí ÓóÎóØöåöãÇ
ãÓÊÏÑß ÇáæÓÇÆá / 15 / 176
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
La satisfaction de Dieu dépend de celle des parents comme la colère de Dieu
dépend également de celle de parents.
Mustadrak ul-Wasâil/vol.15/p.176
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÇáúÌóäøóÉõ ÊóÍúÊó ÃÞúÏÇã ÇáúÃõãøóåÇÊ
ãÓÊÏÑß ÇáæÓÇÆá / 15 / 180
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
Le Paradis est sous les pieds des mères (c’est-à-dire : pour entrer dans le
Paradis, on doit contenter sa mère).
Mustadrak ul-Wasâil/vol.15/p.180
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÃóÝúÖóáõ ÇáÇÚúãÇáö : ÇáÕøóáÇÉõ áöæóÞúÊöåÇ æóÈöÑøõ ÇáúæÇáöÏóíúäö æóÇáúÌöåÇÏõ Ýí
ÓóÈöíáö Çááåö
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 74 / 85
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Voici les meilleures actes : faire la prière en son temps, être bon envers les
parents et faire la Guerre Sainte aux enne-mis de Dieu.
Bihâr ul-Anwâr/vol.74/p.85
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ãóäú ÃóÍóÈøó Ãóäú íõÎóÝøöÝó Çááåõ ÚóÒøóæóÌóáøó Úóäúåõ ÓóßóÑÇÊö ÇáúãóæúÊö
Ýóáúíóßõäú áöÞóÑÇÈóÊöåö æóÕõæáÇð æóÈöæÇáöÏóíúåö ÈÇÑøÇð ÝóÅÐÇ ßÇä ßÐáößó åóæøóäó
Çááåõ Úóáóíúåö ÓóßóÑÇÊö ÇáúãæúÊö æóáóãú íõÕöÈúåõ Ýí ÍóíÇÊöåö ÝóÞúÑñ ÃóÈÏÇð.
ÓÝíäÉ ÇáÈÍÇÑ / 2 / 553
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Celui qui désire que Dieu atténue les affres de sa mort doit respecter les liens
utérins et témoigner de la bonté envers ses parents. S’il accomplit cela, Dieu
lui facilite sa mort et ne lui fait pas goûter la pauvreté durant sa vie.
Safînat ul-Bihâr/vol.2/p.533
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ãóäú äóÙóÑó Åöáì ÃóÈóæóíúåö äóÙóÑó ãÇÞöÊ æóåõãÇ ÙÇáöãÇäö áóåõ áóãú íóÞúÈóáö
Çááåõ áóåõ ÕóáÇÉð
ÇáßÇÝí / 2 / 349
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Dès que quelqu’un regarde ses parents avec violence, même s’ils l’ont oppressé,
Dieu n’accepte pas ses prières (salât) .
Al-kâfî/vol.2/p.392
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÈóÑøõæÇ ÂÈÇÁóßõãú íóÈóÑøóßõãú ÃóÈúäÇÁõßõãú æóÚöÝøõæÇ Úóäú äöÓÇÁö ÇáäøÇÓö ÊóÚöÝøó
äöÓÇÄõßõãú
ÇáßÇÝí / 5 / 554
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Ayez de la bonté pour vos parents si vous voulez que vos enfants aient de la
bonté pour vous et si vous voulez que le peuple soit chaste envers vos femmes,
soyez chastes envers les femmes du peuple.
Al-kâfî/vol.5/p.554
Úóäú ÃóÈöí ÚóÈúÏö Çááå Úáíå ÇáÓøáÇã ÞÇáó :
ÌÇÁó ÑóÌõáñ æóÓÃóáó ÇáäøóÈöíøó Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã Úóäú ÈöÑøö ÇáúæÇáöÏóíúäö
ÝóÞÇáó : ÅÈúÑöÑú Ãõãøóßó ÅÈúÑöÑú Ãõãøóßó ÅöÈúÑöÑú Ãõãøóßó¡ ÅöÈúÑöÑú ÃóÈÇßó
ÅÈúÑöÑú ÃóÈÇßó ÅöÈúÑöÑú ÃóÈÇßó¡ æóÈóÏóÃó ÈÇáÇõãøö ÞóÈúáó ÇáÇÈö.
ÇáßÇÝí / 2 / 162
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Un homme est venu auprès du Prophète et lui a posé une question concernant la
bonté envers les parents. Le Pro-phète lui a dit : “Sois bon pour ta mère, sois
bon pour ta mère, sois bon pour ta mère ! Et sois bon pour ton père, sois bon
pour ton père, sois bon pour ton père !” Le Pro-phète a mentionné la mère avant
le père.
Al-kâfî/vol.2/p.162
“Les Droits Des Enfants”
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
íÇ Úóáöíø áóÚóäó Çááåõ æÇáöÏóíúäö ÍóãóáÇ æóáóÏóåõãÇ Úóáì ÚõÞõæÞöåöãÇ
æÓÇÆá ÇáÔíÚÉ / 21 / 290
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
Ô ‘Alî ! Dieu maudit (c’est-à-dire : que Dieu maudisse) les parents qui
suscitent (par leurs mauvais comportement) le fait que leurs enfants les
maudissent.
Wasâil ul-Shîa/vol.21/p.290
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÚóáøöãõæÇ ÃóæúáÇÏóßõãú ÇáÓøóÈÇÍóÉó æóÇáÑøöãÇíóÉó
ÇáßÇÝí / 6 / 47
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
Apprenez la natation et le tir à l’arc à vos enfants.
Al-Kâfî/vol.6/p.47
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÚóáøöãõæÇ ÃóæúáÇÏóßõãú ÇáÕøóáÇÉö ÅöÐÇ ÈóáóÛõæÇ ÓóÈúÚÇð¡ æóÇÖúÑöÈõæåõãú ÚóáóíúåÇ
ÅÐÇ ÈóáóÛõæÇ ÚóÔúÑÇð¡ æóÝóÑøöÞõæÇ Èóíúäóåõãú Ýí ÇáúãóÖÇÌöÚú.
ßäÒ ÇáÚãÇá / 16 / 45330
Le Saint Prophète, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
Lorsque vos enfants parviennent à l’âge de 7 ans, appre-nez-leur la prière
(salât), lorsqu’ils parviennent à l’âge de 10 ans, séparez leurs lits (couchez
chaque enfant dans son propre lit) et s’ils ne font pas la prière, châtiez-les.
Kanz ul-CUmmâl/vol.16/p.453
ÞÇáó ÇáÇöãÇãõ ÇáÈÇÞöÑ Úáíå ÇáÓøóáÇã : ÈõÔøöÑó ÇáäøóÈöíøõ Õóáøí Çááå Úóáóíúåö æó
Âáöåö æö Óóáøóã ÈöÇÈäÉ ÝóäóÙóÑó Åöáí æõÌõæå ÃÕúÍÇÈöåö ÝóÑóÃí ÇáßöÑÇåóÉ Ýöíåöã
ÝóÞÇáó : ãÇ áóßõã¿ ÑóíÍúÇäóÉ ÃóÔõãøõåÇ æó ÑöÒúÞõåÇ Úóáóí Çááå ÚóÒøóæóÌóáø
æÓÇÆá ÇáÔíÚÉ / 15 / 102
L’Imâm Bâqir, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a rapporté :
On a annoncé au Prophète que Dieu lui avait octroyé une nouveau-née. Le Prophète
a regardé les visages des compa-gnons et les a trouvés mécontents. Alors, il a
dit :
Que se passe-t-il ? Il s’agit d’une fleur odorante et Dieu, qu’Il soit honoré et
glorifié concède son pain quotidien.
Wasâil ul-Shîa/vol.15/p.102
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÇóßúËöÑõæÇ ãöäú ÞÈáå ÇóæúáÇÏößõãú ÝóÇöäøó áóßõãú Èößõáøö ÞÈáå ÏóÑóÌóÉñ Ýöí
ÇáúÌóäøóÉö
ÈÍÇÑÇáÇäæÇÑ / 97 / 92
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
Embrassez beaucoup vos enfants, car chaque baiser fait augmenter votre degré
dans le Paradis.
Bihâr ul-Anwâr/vol.68/p.137
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
áóíúÓó ãöäøÇ ãóäú áóãú íóÑúÍóãú ÕóÛöíúÑóäÇ æó áóãú íæÞÑú ßóÈöíúÑóäÇ
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 68 / 137
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
Celui qui n’a pas pitié des enfants et ne respecte pas les personnes âgées ne
fait pas partie de ma communauté.
Bihâr ul-Anwâr/vol.68/p.137
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
æóÍóÞøõ ÇáæóáóÏö Úóáóì ÇáúæÇáöÏö Ãóäú íõõÍóÓøöäó ÅöÓúãóåõ æóíõÍóÓøöäó ÃóÏóÈóåõ
æóíõÚóáøöãóåõ ÇáúÞõÑúÂäó
äåÌ ÇáÈáÇÛÉ / ÇáßáãÇÊ ÇáÞÕÇÑ / 399
L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Les droits des enfants que tout père doit observer sont qu’il choisisse un bon
prénom pour son enfant, lui appren-ne la politesse et lui enseigne à lire le
Coran.
Nahdj ul-Balâgha/p.546 – Al-Kalimât ul-Qisâr/p.399
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
áÇ ÊóÌúÚóáóäøó ÃóßúËóÑó ÔõÛúáößó ÈöÃóåúáößó æóæóáóÏößó ÝóÅäú íóßõäú Ãóåúáõßó
æóæóáóÏõß ÃóæúáöíÇÁó Çááåö ÝóÇöäøó Çááåó áÇ íõÖíÚõ ÃóæúáöíÇÁóåõ æóÅöäú íóßõæäõæÇ
ÃóÚúÏÇÁó Çááåö ÝóãÇ åóãøõßó æóÔõÛúáõßó ÈöÃóÚúÏÇÁö Çááå¿
äåÌ ÇáÈáÇÛÉ / ÇáßáãÇÊ ÇáÞÕÇÑ / 352
L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Ne passe pas la plupart du temps avec les gens de ta famil-le ; car s’ils sont
les amis de Dieu, Dieu ne les abandonne pas et s’ils sont les ennemis de Dieu,
pourquoi travailles-tu pour eux et t’affliges-tu ?
Nahdj ul-Balâgha/p.536 – Al-Kalimât ul-Qisâr/p.352
ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
…ßãÇ Çäø áöæÇáöÏóíß Úóáóíúßó ÍóÞóÇð ßóÐáößó áöæóáóÏößó
ãÌãÚ ÇáÒæÇÆÏ / 8 / 146
L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa
Famille, a dit :
Ainsi que tes parents ont eu des devoirs envers toi, tu es chargé de ton enfant.
Madjmac ul-Zawâid/vol.8/p.146
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÓøóÌøóÇÏ Úáíå ÇáÓøáÇã :
æóÃóãøÇ ÍóÞøõ æóáóÏößó ÝóÅöäú ÊóÚúáóãú Ãóäøóåõ ãöäúßó æóãõÖÇÝñ Åöáóíúßó Ýí
ÚÇÌöáö ÇáÏøõäúíÇ ÈöÎóíúÑöåö æóÔóÑøöåö æóÃóäøóßó ãóÓúÄæáñ ÚóãøÇ æóáøóíúÊóåõ ãöäú
ÍõÓúäö ÇáÇÏóÈö æÇáÏøóáÇáóÉö Úóáì ÑóÈøöåö ÚóÒøóæóÌóáøó æóÇáúãóÚõæäóÉö áóåõ Úóáì
ØÇÚóÊöåö ÝóÇÚúãóáú Ýí ÃóãúÑöåö Úóãóáó ãóäú íóÚúáóãõ Ãóäøóåõ ãõËÇÈñ Úóáóì
ÇáÇÍúÓÇäö Åöáóíúåö ãõÚÇÞóÈñ Úóáóì ÇáÇÓÇÁóÉö Åáóíúåö.
ãä áÇ íÍÖÑå ÇáÝÞíå / 2 / 622
L’Imâm Sadjâd, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Le droit de ton enfant est que tu dois savoir qu’il est ton enfant et que tout
acte qu’il engendre (bon ou mauvais) t’est attribué, que tu dois lui apprendre
la politesse, que tu dois lui présenter Dieu qu’Il soit honoré et glorifié et
que tu dois le conduire sur le chemin de l’obéissance envers Lui ; et sache que
certainement, si tu est en bon terme avec ton enfant, tu obtiendras des
récompenses et si tu est en mauvais terme avec lui, tu seras puni.
Man Lâ Yahzuruh ul-Faqîh/vol.2/p.622
ßÇäó Úáíøõ Èúäõ ÇáúÍõÓóíúäö ÇáÅãÇãõ ÇáÓøóÌøÇÏõ Úáíå ÇáÓøáÇã ÅöÐÇ ÈõÔøöÑó ÈöæóáÏò
áóã íóÓúÃóá ÃóÐóßóÑñ åóæó Çóã ÇäËí ÍóÊì íóÞõæá : ÃóÓóæíø¿ ÝóÅöÐÇ ßÇäó ÓóæíøÇ
ÞÇáó : ÇáúÍóãúÏõ ááå ÇáøóÐöí áóã íóÎúáõÞú ãöäøöí ÎóáúÝðÇ ãõÔóæøóåðÇ
æÓÇÆá ÇáÔíÚÉ / 15 / 143
Quand on informait l’Imâm Sadjâd, les bénédictions de Dieu soient sur lui, de la
naissance d’un nouveau-né, il ne demandait jamais le sexe du bébé et disait :
“Est-ce qu’il est en parfaite santé? ” et si le nouveau-né était en bonne santé,
il disait :
Louange à Dieu qui n’a pas créé de moi un enfant diffor-me.
Wasâil ul-Shîa/vol.15/p.143
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÈÇÏöÑõæÇ ÃóæúáÇÏóßõãú ÈöÇáúÍóÏöíËó¡ ÞóÈúáó Ãóäú íóÓúÈöÞóßõãú Åöáóíúåöãõ
ÇáúãõÑúÌöÆóÉõ
ÇáßÇÝí / 6 / 47
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Enseignez les hadiths et les sciences islamiques à vos en-fants avant qu’on se
charge de les égarer.
Al-Kâfî/vol.6/p.47
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÈöÑøõ ÇáÑøóÌõáö ÈöæóáóÏöåö ÈöÑøõåõ ÈöæÇáöÏóíúåö
ãä áÇ íÍÖÑå ÇáÝÞíå / 3 / 483
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
La bonté d’une personne pour son enfant est équivalente à sa bonté pour ses
parents.
Man Lâ Yahzuruh ul-Faqîh/vol.3/p.483
ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
Åöäøó Çááå áöíóÑúÍóã ÇáÑøóÌõá áöÔöÏøóﺓö ÍõÈøöåö áöæóáóÏöå
æÓÇÆá ÇáÔíÚÉ / 15 / 98
L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
En réalité, la pitié de Dieu envers un homme dépend de la pitié de cet homme-là
pour son fils.
Wasâil ul-Shîa/vol.15/p.98
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æÓÇÆá ÇáÔíÚÉ / 15 / 98
Un narrateur a rapporté :
J’ai demandé à l’Imâm Kâzim, les bénédictions de Dieu soient sur lui, : “Une
femme qui a peur de l’accouchemen a-t-elle le droit de prendre des médicament
pour avorter le fœtus quand la semence et l’ovule se sont déjà coagulés ? ”
l’Imâm a répondu : “Non.” Je lui ai dit : “Mais, ça n’est qu’un œuf.” L’Imâm a
dit :
La création commence par l’œuf.
Wasâil ul-Shîa/vol.15/p.98
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