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Selon les règles de l’Islâm, les terres conquises par la force ou la guerre deviennent propriétés des Musulmans et sont dirigées administrativement par les Musulmans. Mais, les terres qui sont cédées aux Musulmans sans opposer aucune résistance, comme c’est le cas de Fadak, appartiennent au Saint Prophète (pslf) ou à l’Imâm (psl) de l’époque. Ils ont le droit de distribuer ces terres comme ils l’entendent.
Ce verset en fait foi :
« Le butin provenant [des biens] des habitants des cités, qu'Allah a accordé sans combat à Son Messager, appartient à Allah, au Messager, aux proches parents, aux orphelins, aux pauvres et au voyageur en détresse, afin que cela ne circule pas parmi les seuls riches d'entre vous… » (Sourate Hashr, 59 : 7)
La terre de Fadak devint ainsi la propriété du Saint Prophète et lorsque le verset suivant fut révélé:
« Et donne au proche parent ce qui lui est dû, ainsi qu’au pauvre et au voyageur en détresse » (Bani Isra’ïl, 17)
Il fit don de Fadak à sa bien-aimée fille Fâtimah az-Zahrâ (pse).
Mais, lorsque le Saint Prophète mourut Abou Bakr usurpa la succession, le califat et la terre de Fadak. Bien qu’il n’y ait aucun doute sur la propriété de Fatima, Abou Bakr refusa d’entendre ses contestations et devant témoins il cita une fausse rumeur disant :
« Le Saint Prophète a dit, ‘’Nous, groupe de Prophètes, n’héritons point du tout comme nous ne laissons rien en héritage. Tout ce que nous laissons revient à l’aumône’’ »
Il s’agissait d’un mensonge certain, et personne d’autre que Abou Bakr ne prétendait l’avoir entendu.
La fille du Prophète fit un discours éloquent (voir le Sermon de Fâtimah) dans lequel elle démontra avant tout l’Unicité d’Allâh et la nature de la mission de son père. Elle prouva ensuite qu’Abou Bakr mentait en citant le verset suivant:
« Et Souleyman hérita de Dawoud.. ». (Sourate Naml 27 : 16)
Finalement, Abou Bakr décida de restituer Fadak mais Omar s’y opposa et déchira le certificat. Fadak resta entre leurs mains et ils encoururent la colère et la malédiction de Fatima (pse).
Ces évènements la bouleversèrent encore plus. Voir les droits de la Sainte Famille du Prophète spoliés ainsi que les droits de la Communauté Islamique eut raison de ses forces. Alors elle donna ses dernières recommandations à l’Emir des Croyants ‘Alî (psl) :
« Enterre-moi de nuit, dissimule le lieu de ma tombe, qu’aucun de ceux qui m’ont opprimée et maltraitée n’assiste à mes funérailles… O mon cousin ! Si tu épouses une autre femme après moi, je te demande de passer une journée et une nuit avec elle et de consacrer la journée et la nuit suivantes à mes enfants, … car ils sont dans la tristesse des orphelins, de ceux qui deviendront des étrangers dans ce monde, de ceux qui seront affligés et abattus… »
L’ange Gabriel s’est beaucoup manifesté à elle et tout ce qu’il lui a dit l’Imâm ‘Alî (psl) l’a inscrit dans un livre appelé le Mushaf de Fâtimah (pse).
Le 3 Jamâdi-al-Thâni (II) Fâtimah (pse) demanda de l’eau, se lava, fit ses ablutions, s’allongea en direction de la Qiblah et rendit l’âme.
L’Emir des Croyants se chargea du bain funéraire. Il fit la prière en compagnie de Hassan, Hossayn (pse), de ses plus proches compagnons `Amman ibn Yâsir, Miqdâd, `Aqil, az-Zubayr, Abu Dharr, Salmân, Buraydah et quelques hommes des Banu Hâshim (que Dieu soit satisfait d’eux).
Une fois qu’il l’eut mise en terre il se tourna vers la tombe du Saint Prophète (pslf) et s’adressa à lui en ces termes :
« Reçois mes salutations Ô Messager de Dieu et les salutations de ta fille. Elle te rend visite et passera la nuit chez toi, sous terre, dans ton site. Elle est celle qui vient te rejoindre en premier selon le décret de Dieu. » (usul al kafi, hadith 1239 ; p.521, tome I)
Lorsque les habitants de Médine apprirent la nouvelle ils se précipitèrent à son domicile pour la prière du défunt et les furérailles mais tout avait déjà été accompli.
Et sa tombe est restée cachée jusqu’à nos jours.
Il est recommandé à ses partisans, le jour de son décès d’adresser des prières en sa mémoire, de lire la ziyarât et de désavouer ses ennemis.
De même le jour de l’anniversaire de sa naissance, lui faire la ziyarât et se réjouir de l’immense don qu’Allâh (swt) nous a fait en créant sa Sublime Personne.
« Les pères de cette communauté sont Mohammad (psl) et ‘Alî (psl). Ils protègent ceux qui les suivent et les écoutent des effets néfastes de la tourmente perpétuelle dans ce monde ici-bas et dans l'Au-delà. Ils sont les guides vers la voie de l'éternel bonheur dans ce monde et dans l’autre monde. ( Bihar al Anwar -ch.23-p.259 )
« Allâh est le Salâm (salut). De Lui provient le salut. A Lui s'adresse le Salut » (Bihar Al-Anwar -ch.43-p.59 )
« Quiconque agit selon ce que nous lui avons recommandé et s'abstient de ce que nous lui avons interdit fait partie de nos chiah (partisans).Quiconque n'agit pas de la sorte ne fait pas partie d'eux. » (Bihar Al-Anwar -ch.68-p.155 )
« Mon père m'a dit : Voilà ! Gabriel m'a révélé que le plus heureux des heureux est celui qui aime ‘Alî de son vivant et après son décès. Que le malheureux des malheureux est celui qui déteste ‘Alî de son vivant et après son décès. » ( Bihar Al.Anwar -ch.39 -p.257 )
« Mon père m'a informé de ceci : quiconque nous adresse, à toi et moi, ses salutations durant trois jours, sera inscrit par Allâh pour être parmi les gens du Paradis. Alors une personne lui demanda : De votre vivant ? Elle répondit : Oui! Même après notre décès ! »
Que Dieu le Tout Puissance nous place parmi ceux qui mériteront l’intercession de la Prestigieuse Dame Fâtimah az Zahrâh (pse) !!!
Sermon historique prononcé par la Dame de l'Islam, Fatimah Az-Zahra
(Salut sur elle),
Après la mort du prophète, une tempête inattendue vint secouer terriblement le
monde de l'Islam. L'épicentre de ce séisme fut, d'abord le Califat mais l'orage
finit par éclater surtout ce qui avait d'une manière ou d'une autre, une
relation avec lui ; c'est ainsi que l'ordre de confiscation des terres de Fadak
qui avait été cédées par le Prophète de l'Islam (Que la Paix soit Lui) à sa
fille Fatimah (Salut sur elle), témoignant de son importante bienveillance à
son égard, fut donné par les autorités au pouvoir.
( Fadak était le nom d’un village de la région de Médine. Village
considérablement développé dont certains des habitants étaient juifs et ne
cessaient de comploter contre l’Islam, comme les autres juifs de Médine et de
Khaybar d’ailleurs. Ce fut au cours de la septième année de l’Hégire, devant
les combattants de l’Islam et que le pouvoir dominateur des juifs fut détruit,
que les habitants de Fadak choisirent de se rendre et de faire la paix avec le
prophète (SAAWS).
Le cher Prophète de l’Islam (SAAWS), (comme l’ont rapporté nombre d’historiens
et de commentateurs, tant sunnites que chiites) offrit de son vivant les terres
de Fadak à sa fille Fatimah (Salut sur elle). Mais après la mort du Prophète
(SAAWS), les usurpateurs du Gouvernement Islamique, qui avaient compris d’une
part, que l’existence de ce pouvoir économique qui était à la main de l’épouse
d’Ali (AS) représentait un réelle danger pour le pouvoir politique et d’autre
part, qui avaient décidé d’isolé à tous points de vue, les amis de l’Imam Ali
(AS), prirent la décision de confisquer ces biens, prétendant ainsi veiller à
leurs propres intérêts.)
L’histoire de Fadak, ainsi que les différentes
évènement qui s’y rattachent, qui appartiennent à l’histoire du début de
l’Islam et des année qui suivirent, sont des étapes des plus douloureuses, des
plus tristes et des plus instructives se l’histoire du début de l’Islam, avec
l’aide de Dieu, d’être étudiées séparément et avec précision.
Fatimah (AS) était consciente que cet abus et que la négligence de certains
devant nombre des préceptes de l'Islam en cette relation allaient mener la
société Islamique à l'égarement et à la méconnaissance des enseignements de
l'Islam et de la sunnah du Prophète (SAAWS) et allaient la faire tendre vers un
retour aux pratiques du temps de l'Ignorance ; elle savait aussi qu'une telle
initiative n'avait pour but que de marginaliser I’Émir des Croyants Ali ibn Abi
Talib (Salut à lui) et de dominer économiquement les amis dévoués d’Ali (Salut
sur lui).
Ali (AS), quant à lui, ne resta pas sans défendre son droit devant les
usurpateurs de Fadak et exigea, de toutes ses forces que ce droit usurpé lui
soit rendu. Mais les autorités au pouvoir refusèrent de lui donner gain de
cause affirmant que selon un certain hadith, faux bien sûr, dans lequel le
prophète aurait dit :
" Nous, Prophètes, ne laissons, de notre propre part, aucun
héritage.".
Il n'était autorisé à aucun droit. La Dame de l'Islam, "la Majesté des
femmes du monde" (Salut sur elle), révoltée, se rendit alors à la mosquée
accompagnée de quelques femmes de la Bani Hachem, afin de dire ce qu'il était
devenu nécessaire de dire à la masse des musulmans, aux chefs Émigrés et aux
Ansars, afin de faire une tentative ultime pour faire taire tous ceux qui ne
savaient que donner des prétextes pour justifier cette surprenante usurpation
et cette confiscation abusive ordonnée par le gouvernement de l'époque et aussi
afin de faire distinguer et différencier, par tous et pour tous, le chemin
suivi par les fidèles de l'Islam de celui suivi par les protecteurs des
politiques abusives.
Indifférente de l'atmosphère particulière qui était liée suite à cette affaire,
elle alla jusqu'au bout de son intention. Elle fit un discours des plus
insinuants, discours qui promettait aussi d'être des plus conséquents, dans la
mosquée du Prophète (Que lit paix soit lui) devant les Émigrés, prenant comme
prétexte " I'usurpation de Fadak " pour dévoiler nombre de vérités.
Ce Sermon allait être le coup ultime porté à ceux qui essayaient de détourner
la souveraineté du Prophète (Que la paix soit sur lui) et le Gouvernement
Islamique de sa direction principale et de faire tomber dans l'oubli vingt
trois ans de ses activités.
Ce Sermon allait être une sonnette d'alarme pour tous ceux dont les cœurs
battaient par amour de l’Islam et qui craignaient pour l'avenir de cette pure
doctrine. Ce Sermon allait être un dangereux avertissement pour tous ceux qui
ignoraient encore l'ampleur prise par le parti des hypocrites et l'influence
que ces gens, exerçaient sur le système politique depuis la mort du Prophète de
Dieu (Que la paix sur lui) et qui étaient négligents devant leurs manigances
secrètes et mystérieuses. Ce Sermon allait être un cri de douleur en faveur de
l'Émir des Croyants, Ali ibn Abi Talib (Salut à lui), successeur unique du
Prophète Mohammed (Que la paix soit sur lui) et seule personne en effet capable
de faire se rétablir la situation devant ceux des hommes politiques qui avaient
nié les faits et avaient négligé de considérer les versets du Coran et les
conseils rigoureux du Prophète de Dieu (Que la paix soit sur lui) a l'égard de
Ali (Salut à lui). Ce Sermon allait être le moyen de reprendre le droit
injustement usurpé dans le but de réveiller tous ceux dont les droits sont
usurpés et qui préfèrent se taire et rester dans l'ombre plutôt que de
manifester leur présence et leur colère.
Ce Sermon allait être un orage, violent et rude, qui allait semer le trouble
partout et dont les conséquences resteraient visibles sur toute la longueur de
l'histoire, à travers le temps et les siècles. Ce Sermon allait être une forte
tempête sur la mer dont les vagues mugissantes allaient faire se réveiller les
esprits endormis (même si ce n'était que pour un temps) et qui allait leur
montrer le chemin droit qu'il leur fallait suivre.
Et enfin, ce Sermon allait s'abattre comme la foudre sur la tête des ennemis de
l'islam et les prendre par surprise ! L'analyse en profondeur de la situation
faite dans ce Sermon par la Dame de l'Islam témoigne de sa rigoureuse
compréhension des problèmes les plus compliqués et les plus difficiles relatifs
au " Monothéisme ", aux " Origines " et à la
"Résurrection ".
Le commentaire fait par la chère fille du Prophète (Que la paix soit sur lui)
dans ce Sermon sur les importants problèmes idéologiques, politiques et sociaux
vient confirmer clairement l'idée que Fatimah (Salut sur elle) n'appartenait à
aucune époque particulière. Les épopées spectaculaires qui ont coulé, telle une
eau de la bouche et dans le langage de Fatimah (Salut sur elle) témoignent de
la grandeur de cette dame dévouée et combattante qui s'était vouée au
sacrifice, elle était un chef de file précieux pour touts ceux qui œuvraient et
luttaient sur le chemin de Dieu, pour tous les dévoués à la cause divine.
Le ton ferme et déterminé de la Dame de l'Islam (Salut sur elle) dans
ce Sermon qui ne manque pas de toucher, au plus profond de son être et de son
âme l'individu, atteste qu'elle était en réalité, une oratrice éloquente, comme
son époux, l'Émir des Croyants, Ali (Salut à lui), capable de faire
inlassablement déclarations sur déclarations.
Ce Sermon, des plus insinuants, est digne des sermons d’Ali (Salut à lui)
réunis dans le "Nahdj Al-Balaghâ" et leurs est comparable. Il est la
preuve aussi que Zaynab (Salut a elle), fille de Fatimah (Salut sur elle), a
hérité et de son père et de sa mère ce don de parler avec éloquence qu'elle mit
au profit au Bazar de Koufa et au cours de l'assemblée organisée par Yazid,
puisque les propos brûlants qu'elle y tint firent naître le frisson dans le dos
des criminels de la Bani Omeyyade et réussirent à ébranler les bases du palais
de leur gouvernement illégitime, elle parvint en effet à semer et à faire germer
la graine de la Révolution dans les cœurs des habitants de Koufa et de Damas,
contre ce gouvernement tyrannique et cruel.
Les analyses, des plus précises et des plus exactes faites par Fatimah (Salut
sur elle) dans ce Sermon, relevant du domaine de la philosophie et relatives
aux secrets des préceptes, son analyse de l'histoire politique de l'Islam et la
comparaison qu'elle y fait entre la vie en Arabie au temps de l'Ignorance et la
vie après l'apparition de l'Islam sont une leçon importante pour tous ceux qui
marchent sur le chemin de Dieu car elle leur fait don, à eux, pour continuer la
lutte de ses propres expériences et de tout ce qu'elle a appris sur le chemin
de la Lutte. Plus important que tout encore, c'est que par ce Sermon Fatimah
(Salut sur elle) établit clairement la position de la famille du Prophète (Que
la paix soit sur lui) face au système dominant à l'époque et disculpe le saint
seuil de l’Islam, et quand bien même le seul intérêt de ce discours superbe et
riche en contenu était celui-là, cela suffirait amplement !
Ce Sermon est un des célèbres
sermons auquel les illustres savants chiites et aussi sunnites, ont tous fait
référence, s'appuyant sur nombre de documents. Contrairement à ce que certains
pourraient croire, il ne s'agit pas du tout d'une information unique,
d'ailleurs nous nous proposons de citer, à présent, certaines sources dans
lesquelles ce Sermon a été cité :
I. Ibn Abi al-Hadid Môtazeli, célèbre savant sunnite.
(dans son commentaire du "Nahdj Al-Balaghâh") dans la
biographie de Osman ben Hanif, dans la première partie, cite les différents
documents qui attestent de l'authenticité du Sermon de la Dame de l'Islam
(Salut sur elle). Il souligne de plus le fait qu'aucune des références qu'il a
citées dans son livre pour ce Sermon n'émane de sources chiites. Il fait aussi
référence au célèbre ouvrage intitulé "Saqifeh" d’Abou Bakr Ahmad ben
Abdelaziz Djohayri, qui est un des plus fameux et des plus grands narrateurs
sunnites et qui a cité et confirmé l'authenticité de ce Sermon, dans son livre,
par plusieurs moyens (Ibn Abi al-Hadid a cité tous ces moyens dans son livre
commentaire du "Nahdj Al-Balaghâh" auquel nous renvoyons les lecteurs
ne pouvant, par soucis de concision, rapporter tout ce qu'il y est dit). Il ajoute
que, quand le gouvernement de l'époque pris la décision d'usurper Fadak,
Fatimah (Salut sur elle), accompagnée de plusieurs femmes de Qoraich, se
dirigea, d'un pas décidé, vers la mosquée, pour y prononcer un long et
important discours. et sa démarche était alors exactement comme celle du
prophète (Que la paix soit sur lui). Il rapporte, en continuation, ce même et
célèbre Sermon (A noter toutefois que le texte de ce Sermon varie quelque peu
selon les récits), connu de tous.
II. Ali ben Aissa Arbàli a cité aussi ce Sermon dans son livre intitulé
" Kachf al-Ghameh " se réfèrent aussi au "Saghifeh" de Abou
Bakr Ahmad ben Abdelaziz.
III. Massoudi mentionne aussi brièvement ce Sermon dans "Moravadj
al-Zahab"
IV. Seyyed Morteza, grand et dévoué savant chiite, a cité ce Sermon,
rapporté par Aicha, femme du prophète (Que le paix soit sur lui), dans son
livre "Chafî".
V. Le célèbre narrateur défunt Sadough a repris certaines phrases de ce
Sermon dans son livre intitulé "Elal ai-Sharaie".
VI. Le juge religieux et célèbre narrateur défunt Cheikh’Mofid a cité
aussi un extrait de ce Sermon.
VII. Seyyed ben Tawousse cite dans son livre " Taraef " une
partie de ce Sermon, rapporté aussi par Aïcha, se référant au livre
"Al-Monagheb" de Ahmad ben Moussa ibn Mardouveh-Isphahani qui est un
savant sunnite.
VIII. Le défunt Tabarsi, Maître du livre "Ijtihad" a cité ce
Sermon dans son livre comme étant un "témoignage missionnaire".
Ce Sermon historique est,
indéniablement, un des fameux sermons prononcés par les descendants du Prophète
(Que la paix soit sur lui). Il a été rapporté que nombre de chiites (Partisans
de Ali) engagés recommandèrent et recommandent toujours à leurs enfants d'y
apprendre par cœur ce Sermon pour qu'il ne reste pas, avec le passage du temps,
caché sous la poussière de l'oubli et de la négligence et afin qu'aucun ennemi
mal intentionné ne puisse remettre en question son contenu. Ainsi est-il de
mise aujourd'hui que la jeune génération fertile l’apprenne par cœur. Le
contenu de cette "grande épopée" afin de transmettre à son tour aux
générations à venir son message !
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