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{Ô Prophète, lutte contre les mécréants et les hypocrites, et sois rude avec eux}18.
Si nous devions seulement prêter attention à ce verset, nous dirions que l’Islam ordonne pleinement aux musulmans de lutter contre les mécréants et les hypocrites et qu’ils ne doivent jamais être en paix avec eux, que les musulmans doivent les combattre, avec autant de véhémence que possible. Ils doivent les combattre. Et si nous parlons de la sorte, nous croirons que le Coran nous dit inconditionnellement de combattre les non-musulmans.
Lorsque deux commandements existent, l’un inconditionnel et l’autre conditionnel, lorsqu’il y a une instruction qui est à un endroit inconditionnel mais qui à un autre endroit est liée à une condition, alors, d’après les ulémas, l’inconditionnel doit être interprété comme le conditionnel. Les versets que je viens de lire sont absolus. D’autres versets existent concernant le même sujet, qui sont conditionnels, [signifiant] : « Ô musulmans. Combattez les polythéistes en raison du fait qu’ils sont en agression contre vous, car ils sont en état de guerre avec vous, et par conséquent, vous devez vraiment les combattre ».
Il devient ainsi clair que lorsque le Coran dit : « Ô Prophète, combats les mécréants et les hypocrites », cela signifie que nous devons lutter contre ces mécréants et hypocrites qui nous combattent et qui continueront à combattre si nous combattons.
Les Versets Conditionnels
{Combattez dans le sentier de Dieu ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Dieu n’aime pas les transgresseurs.}19.
Ô vous qui avez la foi. Combattez ceux qui vous combattent, c’est-à-dire combattez -les car ils vous combattent, mais n’enfreignez pas la limite. Cela n’indique-t-il pas de ne pas être le transgresseur ? Cela fait manifestement référence à ceux qui nous combattent et que nous sommes en train de combattre et non pas quelqu’un d’autre, et que nous sommes en train de combattre dans le champ de bataille. Nous devons combattre certains groupes de gens, les soldats que l’autre côté a envoyés, les hommes de combat qu’ils ont préparés à lutter contre nous et qui nous combattent.
Mais ne transgressez pas la limite en les combattant. Qu’est-ce que cela signifie ? Cela veut dire, combattez seulement ceux qui vous combattent, combattez leurs soldats dans le champ de bataille. Combattez les soldats qui ont été envoyés pour combattre. Le champ de bataille n’est pas un terrain de jeu ; c’est un terrain pour croiser le fer, échanger des balles, et se battre. Mais nous ne sommes pas autorisés à perturber inutilement les civils – hommes, femmes et enfants. Vous n’êtes pas autorisés à commettre des atrocités qui font partie de l’agression comme couper les arbres, remplir leurs canaux, etc.
Un autre verset conditionnel, le premier verset révélé sur le djihad, dit que du fait que l’autre côté a tiré son épée contre nous, nous pouvons en faire de même.
Dans un autre verset de la sourate Le Repentir, il nous est dit :
{Combattez les polythéistes sans exception, comme ils vous combattent sans exception.} 20.
Avant de toucher ce sujet et les versets qui y sont relatifs, un point doit être mentionné. J’ai affirmé que la permission du djihad est sujette à certaines conditions. Quelles conditions ? L’une est que le côté en opposition soit un état d’agression. Ceux qui forment ce côté nous attaquent, et du fait qu’ils se battent contre nous, nous devons les combattre. Est-ce que les conditions du djihad sont limitées à ceci seulement ? Ou y a-t-il d’autres facteurs ? Peut-être que l’autre côté ne propose pas de nous battre, mais est coupable d’une grande injustice envers un autre groupe d’êtres humains, et nous avons une capacité à sauver ces êtres humains des grippes de cet agresseur. Si nous ne les sauvons pas, ce que nous faisons en réalité est aider l’ oppression de cet oppresseur contre l’opprimé. Nous pouvons être dans une situation où une partie n’a pas transgressé contre nous mais a commis quelque type d’injustice contre un groupe d’un autre peuple, qui peut être musulman, ou qui peut être non-musulman. S’ils sont musulmans – comme le drame d’aujourd’hui des Palestiniens qui ont été exilés de leurs maisons, dont les biens ont été saisis, qui ont été sujets à toutes sortes de transgression – alors que pour le moment, le transgresseur n’a pas d’intentions contre nous, est-il permis pour nous dans de telles circonstances de se presser au secours de ces musulmans opprimés et de les délivrer, ou ceci n’est-il pas permis ?
Assurément, ceci aussi est autorisé. En réalité, cela est obligatoire. Ce ne serait pas un cas de commencement des hostilités ; ce serait accourir à la défense de l’opprimé, notamment s’ils sont des musulmans, pour les délivrer des griffes de l’oppression.
Mais si la personne ou la partie tyrannisée n’est pas musulmane, alors la tyrannie peut être de deux types. Il y a un temps où l’oppresseur a placé un peuple dans un vide et bloque l’appel de l’ Islam. L’Islam se donne le droit de diffuser son message à travers le monde, mais ceci dépend de l’existence de la liberté pour qu’il se répande.
Imaginez un gouvernement qui dit aux musulmans qui délivrent l’appel de l’Islam à une nation : « Vous n’avez pas le droit de dire ce que vous dites. Nous ne le permettons pas ». Dans ces circonstances, il ne nous est pas permis de nous battre avec cette nation, avec ce peuple qui est innocent et qui n’est pas au courant. Mais nous est-il permis de nous battre contre ce régime corrompu qui s’appuie sur une idéologie putride qu’il utilise comme une chaîne autour du cou du peuple pour l’emprisonner dans un sentier aveugle, isolé de l’appel de la vérité ; un régime qui agit comme une barrière contre cet appel ? Nous est-il permis de combattre ce régime afin de retirer cet obstacle ? Ou, en termes concrets, nous est-il permis de nous battre contre cette prison de répression ou non ? Du point de vue de l’Islam, ceci est aussi autorisé du fait que ceci serait en soi un soulèvement contre l’oppression, contre l’injustice et la tyrannie. Il se peut que ceux qui subissent le tort, les opprimés, ne soient pas conscients de la nature de l’injustice et n’aient pas demandé de l’aide, mais il n’y a en fait pas besoin qu’ils le requièrent.
La recherche de l’aide est une autre question ; supposons que les opprimés nous demandent de l’aide, est-il permis ou obligatoire pour nous de les aider ? Même s’ils ne demandent pas de l’aide, nous est-il toujours permis de les aider, ou même obligatoire ? La réponse est qu’il n’est pas nécessaire pour eux de rechercher notre aide. Le simple fait que les opprimés soient oppressés, qu’un régime oppressif ait érigé un mur, une barrière, pour son propre bien-être, empêchant une nation de devenir consciente de l’Appel là où résident la prospérité et le bonheur de cette nation, Appel qu’ils accepteront certainement s’ils l’ entendaient et en devenaient avertis, pousse l’Islam à dire que nous pouvons briser cette barrière qui se trouve, entre lui et ce peuple, en la forme d’un gouvernement répressif.
Dans le Coran, nous avons un groupe de versets qui spécifient que la religion doit être acceptée librement et qu’elle ne peut être forcée pour quelqu’un, et ceci confirme ce que nous disions, à savoir que dans l’Islam, personne ne peut être contraint ; il ne peut être dit à personne de devenir musulman ou de mourir. Ces versets clarifient ces versets inconditionnels d’une manière différente.
L’un est une partie du verset du Trône21 (ayat-ul-kursi) et est bien connu :
{Nulle contrainte en religion, car le bon chemin s’est distingué de l’égarement.}
Ce qui signifie que nous devons expliquer clairement le droit chemin aux gens ; sa réalité propre est manifeste. Il n’y a pas de place pour l’utilisation de la contrainte en religion ; personne ne doit être obligé à accepter la religion de l’Islam. Ce verset est explicite dans son sens. Dans les commentaires coraniques, il est écrit qu’un Ansari qui avait précédemment été un polythéiste, avait deux fils qui s’étaient convertis au Christianisme. Ces deux fils étaient devenus fascinés par le Christianisme et lui étaient très dévoués, mais leur père était maintenant un musulman et était contrarié que ses fils étaient devenus chrétiens. Il se rendit au saint Prophète et lui dit : « Ô Prophète ! Que puis-je faire pour mes fils qui sont devenus chrétiens ? Ils n’acceptent pas l’Islam. Me donnes-tu la permission de les forcer à quitter leur religion et à devenir musulmans ? ». Le Prophète dit : « Non. Il n’y a pas de contrainte en religion ».
Concernant les circonstances dans lesquelles ce verset fut révélé, il est aussi écrit qu’il y avait deux tribus, les Aws et les Khazraj, qui vivaient à Médine, et qui étaient les habitants d’ origine de Médine. A l’aube de l’Islam, ils vivaient là ensemble avec plusieurs grandes tribus juives qui étaient venues à Médine en une période postérieure. L’une était la tribu Bani Nazil, et une autre était les Bani Qoraizeh, tandis qu’il y avait encore une autre grande tribu de juifs qui vivait aux extrémités de la ville.
Les juifs, ayant le Judaïsme pour religion et ayant aussi un livre saint, vinrent pour être plus ou moins considérés comme les érudits de cette société, tandis que parmi les habitants d’origine de Médine, qui étaient polythéistes et généralement illettrés, il était récemment venu à l’existence un petit groupe aussi capable de lire et écrire. Les juifs, en conséquence de leur culture supérieure et de la dimension étendue de leurs pensées, exercèrent une certaine influence sur ce groupe. Ainsi, en dépit du fait que la religion des Aws et des Khazraj était différente de celle des juifs, ils se permirent néanmoins d’être influencés par les idées juives. Par conséquent, ils envoyaient parfois leurs enfants chez les juifs pour être éduqués, et alors qu’ils se trouvaient parmi les juifs, les enfants renonçaient de temps à autre à leur religion païenne de polythéisme et se convertissaient au Judaïsme. Ainsi, lorsque le saint Prophète entra à Médine, un groupe de ces garçons de cette ville étaient formés par les juifs et s’étaient choisis la religion juive, dont certains d’entre eux choisirent de ne pas y renoncer. Les parents de ces enfants devinrent musulmans, mais les enfants n’abandonnèrent pas leur nouvelle religion, le Judaïsme. Et lorsqu’il avait été décidé que les juifs devaient quitter Médine (en punition au chaos qu’ils avaient éveillé), ces enfants s’en allèrent aussi avec leurs collègues juifs. Leurs pères vinrent au saint Prophète, lui demandant la permission pour eux de séparer leurs enfants des juifs, pour les forcer à abandonner le Judaïsme et à devenir musulmans ; permission que le saint Prophète ne donna pas. Ils dirent : « Ô Prophète ! Permets-nous de les forcer à quitter leur religion et à embrasser l’ Islam ». Le saint Prophète leur dit : « Non. Maintenant qu’ils ont choisi de partir avec les juifs, laissez-les s’en aller avec eux ». Et les commentateurs disent que c’est alors que le verset : {Nulle contrainte en religion, car le bon chemin s’est distingué de l’égarement.}22 fut révélé.
Celui-ci est un autre verset bien connu :
{Appelle au sentier de ton Seigneur par la sagesse et la bonne exhortation. Et discute avec eux de la meilleure façon.} 23.
Invitez les gens au chemin de votre Seigneur. Comment ? Avec la force de l’ épée ? Non. Par la bonne exhortation et le bon conseil.
{Et discute avec eux de la meilleure façon.}24
Avec ceux qui discutent avec nous, nous devons aussi discuter, de la meilleure façon. Ce verset a clairement introduit la méthode de l’Islam pour communiquer son message aux gens.
Dans un autre verset, il nous est dit :
{La vérité émane de votre Seigneur. Alors quiconque le veut, qu’il croie, et quiconque le veut, qu’il mécroie.} 25.
Quiconque souhaite croire croira, et quiconque désire rejeter, il rejettera. Ce verset a donc aussi déclaré que la foi et le rejet, la foi et la mécréance, ne peuvent être choisis que par une personne, ils ne peuvent être forcés à quelqu’un par d’autres. L’Islam ne dit donc pas que d’autres peuvent être forcés à l’Islam ; s’ils deviennent musulmans, c’est bien et sage, et s’ils ne le deviennent pas, ils ne doivent pas être tués, le choix est le leur. L’Islam dit que quiconque souhaite croire croira, et quiconque ne le désire pas, ne croira pas. Il y a aussi ce verset :
{Si ton Seigneur l’avait voulu, tous ceux qui sont sur la terre auraient cru. Est-ce à toi de contraindre les gens à devenir croyants ?}26.
Le verset est adressé au Prophète. Le saint Prophète aimait vraiment les gens et souhaitait qu’ils deviennent de vrais croyants. Le Coran dit que l’utilisation de la force dans l’affaire de la croyance est hors de propos. Si la force était valide, Dieu Lui-même, avec Son propre Pouvoir de création, aurait rendu tous les gens croyants, mais la croyance est une chose que les gens doivent choisir pour eux-mêmes. Dieu, avec tous Ses Pouvoirs de création et de compulsion, n’a pas forcé l’humanité à être des croyants et leur a donné la libre volonté de choisir. Ainsi, pour la même raison, le Prophète devait aussi les laisser choisir pour eux-mêmes. Celui dont le cœur le souhaite deviendra un bon croyant, et celui dont le cœur ne le souhaite pas, ne le sera pas.
{Il se peut que tu te consumes de chagrin parce qu’ils ne sont pas croyants.}27.
{Si Nous voulions, Nous ferions descendre du ciel sur eux un prodige devant lequel leurs nuques resteront courbées.} 28.
Dieu dit ici que s’Il voulait faire descendre du ciel un signe, une affliction, et dire aux gens qu’ils devaient soit devenir de vrais croyants, soit être détruits par cette affliction, tous les gens sous la contrainte deviendraient croyants, mais Il n’agit pas ainsi, car Il souhaite que les gens choisissent d’eux -mêmes.
Ces versets clarifient aussi l’idée du djihad en Islam et rend clair que le djihad en Islam n’est pas ce que certaines parties, pour des intérêts personnels, ont dit qu’il était. Ces versets clarifient que l’aspiration de l’Islam n’est pas la contrainte, qu’il ne commande pas aux musulmans de lever l’épée au-dessus de la tête de toute personne n’étant pas musulmane et d’offrir le simple choix de l’Islam ou de la mort. Ceci n’est pas l’objectif du djihad.
Il y a un autre groupe de versets se présentant dans le Coran qu’il est aussi important de mentionner. En fin de compte, l’Islam donne beaucoup d’importance à la question de la paix. Dans un verset, il est explicitement défini :
{Le compromis est meilleur.}29.
Bien que, comme nous l’avons dit, la paix ne soit pas pareille que la violence, la misère et la soumission à un oppresseur, il nous est dit dans un autre verset :
{Ô vous qui avez cru, entrez tout à fait en paix}30.
Mais plus éclairant encore est celui-ci :
{Et s’ils inclinent à la paix, alors incline vers celle-ci, et place ta confiance en Dieu}31.
Il est ici dit au Prophète que si les opposants soutiennent la paix, s’ils font de sincères efforts pour la paix, lui aussi doit faire la paix. S’ils désirent sincèrement la paix, lui aussi doit désirer la paix. Ces versets montrent clairement que l’âme de l’Islam est l’âme de la paix.
Dans un autre verset qui se trouve dans la sourate Les Femmes, il est aussi dit au Prophète :
{S’ils se tiennent à l’écart de vous, ne vous combattent point, et qu’ils vous offrent la paix, alors Dieu ne vous donne pas de chemin contre eux.}32.
Ô Prophète, s’ils se sont retirés de la guerre, et n’ont pas combattu contre vous, et ont effectué une manifestation de paix, ont dit qu’ils étaient prêts à faire la paix avec vous, alors Dieu ne vous donne pas la permission d’avancer plus loin et de les combattre.
Il est ici nécessaire de donner plus de détails sur la nature du djihad. Il y a un total accord parmi les chercheurs que l’essence du djihad est la défense. L’Islam ne permet jamais aux musulmans d’ exploiter les ressources matérielles et humaines des autres pour ces ressources. L’Islam considère ce genre de combat comme une oppression. Le djihad n’est que pour la défense, et en vérité, c’est la résistance contre la transgression, et elle peut assurément être légitime. Bien entendu, il y a aussi la troisième possibilité qu’une personne peut combattre non pas pour l’agression, ni en défense d’une personne, mais pour l’expansion d’une valeur humaine. Ceci sera discuté plus tard. Dans la définition basique du djihad, il n’y a pas de différence d’avis et tous les chercheurs sont d’accord que le djihad doit être pour la défense. Les différences d’opinion qui existent en sont des mineures, et elles concernent la question du phénomène qui doit être défendu.
Les avis de certains sur le djihad sont limités à l’autodéfense, c’est-à-dire que la guerre est licite pour un individu, une tribu ou une nation en défense de soi-même ou de sa vie. D’après ceci, si les vies d’un peuple sont exposées à un danger d’une autre région, alors combattre en défense de leurs vies est permis pour ce peuple. De la même façon, si leur propriété est sujette à l’agression, alors du point de vue des droits de l’homme, il a le droit de défendre cette propriété qui est son droit. De façon analogue, si un peuple fait face à l’agression d’une autre nation qui souhaite prendre possession de ses biens et peut-être les emporter ailleurs, alors ce peuple a le droit de défendre ses biens, même par la force.
L’Islam nous dit que quiconque est tué pour sa propriété ou sa chasteté est un martyr. Ainsi, en Islam, défendre la chasteté d’une personne est comme défendre sa vie et sa propriété. C’est en réalité supérieur. C’est la défense de l’honneur d’une personne. Pour une nation, défendre son indépendance est indéniablement autorisé. Alors lorsqu’un groupe souhaite retirer l’indépendance d’une nation et placer cette nation sous son propre mandat, si le peuple de cette nation décide de se défendre et de soulever le canon, cette action est permise, et même louable et digne d’admiration. Ainsi, la défense de la vie, la défense des biens, de la propriété et des terres, la défense de l’indépendance, la défense de la chasteté, tout cela est une défense autorisée. Il n’y a pas de doute sur le fait que dans ces cas, la défense est permise et comme nous l’avons dit, l’avis que certains chrétiens avancent au sujet de la religion comme quoi elle doit soutenir la paix et non la guerre, et que la guerre est absolument mauvais et que la paix est absolument bien, n’a pas de base logique ou raisonnable pour le soutenir. Non seulement le combat pour la défense n’est pas incorrect, mais il est extrêmement juste dans ce cas de se battre et c’est une des nécessités de la vie de l’homme. Ceci est ce qui est signifié dans le saint Coran lorsqu’il nous est dit :
{Et si Dieu ne neutralisait pas une partie des hommes par une autre, la terre serait certainement corrompue.} 33.
{Si Dieu ne repoussait pas les gens les uns par les autres, les ermitages seraient démolis, ainsi que les églises, les synagogues et les mosquées où le nom de Dieu est beaucoup évoqué.}34.
Jusqu’à ce point, tous les savants sont plus ou moins en accord.
18 Le Coran : Sourate 9, Verset 73.
19 Le Coran : Sourate 2, Verset 190.
20 Le Coran : Sourate 9, Verset 36.
21 Le Coran : Sourate 2, Versets 255-257.
22 Le Coran : Sourate 2, Verset 256.
23 Le Coran : Sourate 16, Verset 125.
24 Le Coran : Sourate 16, Verset 125.
25 Le Coran : Sourate 18, Verset 29.
26 Le Coran : Sourate 10, Verset 99.
27 Le Coran : Sourate 26, Verset 3.
28 Le Coran : Sourate 26, Verset 4.
29 Le Coran : Sourate 4, Verset 128.
30 Le Coran : Sourate 2, Verset 208.
31 Le Coran : Sourate 8, Verset 61.
32 Le Coran : Sourate 4, Verset 90.
33 Le Coran : Sourate 2, Verset 251.
34 Le Coran : Sourate 22, Verset 40.
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