Les hommes (An-Nas)

ÈÓã Çááå ÇáÑÍãä ÇáÑÍíã

Þõáú ÃóÚõæÐõ ÈöÑóÈøö ÇáäøóÇÓö (1) ãóáößö ÇáäøóÇÓö (2) Åöáóåö ÇáäøóÇÓö (3)    ãöä ÔóÑøö ÇáúæóÓúæóÇÓö ÇáúÎóäøóÇÓö (4)                                   

ÇáøóÐöí íõæóÓúæöÓõ Ýöí ÕõÏõæÑö ÇáäøóÇÓö (5) ãöäó ÇáúÌöäøóÉö æó ÇáäøóÇÓö (6)

Spécialités :

Sourate qui marque la fin du Coran, l’une des cinq sourates qui commencent par le terme : «   Þá  » ordre divin adressé à Mohammad (p s l f) : « dit ! ».

La seule sourate coranique dont tous les versets se terminent par un même son : äÇÓ

Ce dernier produit enfin de chaque verset le son «  s ) étant une lettre ãä ÍÑæÝ ÇáåãÓ qui signale et rappelle le silence ainsi que l’avertissement dans plusieurs termes de diverses langues.

Notion Sommaire

Ordre d’Allah à son dernier messager Mohammad (p s l f) de dire : «  Je cherche refuge auprès du Seigneur des hommes, Le Roi des hommes, le Dieu des hommes, contre le mal du tentateur furtif qui tente dans les poitrines des hommes que ce tentateur soit du nombre des Djinns ou des hommes ».

Voici un ancien   problème de l’homme :

Le refuge, un problème né et vécu avec lui à travers son histoire.

L ‘homme sentait très bien dès son apparition sur la terre qu’il lui fallait un « refuge » un refuge contre les maux et à cause de ses besoins.

L’homme a goûté l’amertume de ces deux facteurs irritants et effrayants : « mal et besoin »   et il a commencé sa vie sur la terre avec une descente par oublie de l’avertissement qu’il a frappé :  

ÝóÞõáúäóÇ íóÇ ÂÏóãõ Åöäøó åóÐóÇ ÚóÏõæøñ áøóßó æóáöÒóæúÌößó ÝóáóÇ íõÎúÑöÌóäøóßõãóÇ ãöäó ÇáúÌóäøóÉö ÝóÊóÔúÞóì   Åöäøó áóßó ÃóáøóÇ ÊóÌõæÚó ÝöíåóÇ æóáóÇ ÊóÚúÑóì   æóÃóäøóßó áóÇ ÊóÙúãóÃõ ÝöíåóÇ æóáóÇ ÊóÖúÍóì .

«  Alors nous dînes : O Adam !  

Ce lui-ci est un ennemi pour toi et ton épouse.

Qu’il ne nous fasse pas sortir du jardin si non tu seras malheureux.

  Tu y jouis de la grâce de ne pas avoir faim.

Tu n’y aura pas non plus soif, ni souffriras pas les rayons du soleil montants »   (sourate Ta Ha verset 117-119)

Mais la tentation du Satan met fin à ces jouissances et voici une nouvelle ère qui commence sur la terre au sein de la poussière atterrant l’arrivée d’une « guidance promise »

ÞõáúäóÇ ÇåúÈöØõæÇú ãöäúåóÇ ÌóãöíÚÇð ÝóÅöãøóÇ íóÃúÊöíóäøóßõã ãøöäøöí åõÏðì Ýóãóä ÊóÈöÚó åõÏóÇíó ÝóáÇó ÎóæúÝñ Úóáóíúåöãú æóáÇó åõãú íóÍúÒóäõæäó

  «  Nous dîmes: ‹Descendez d'ici, vous tous! Toutes les fois que Je vous enverrai un guide, ceux qui [le] suivront n'auront rien à craindre et ne seront point affligés›. (Sourate la Vache verset 38)

Echaudé et touché, l’homme connaît bien alors les malheurs, les menaces.

  Au sein de la nature, il y a les besoins ainsi que les dangers naturels qui l’entourent, plus son ennemi qui a juré de l’égarer. Le sentiment du refuge solide réside dans la nature humaine, et l’homme au long de son histoire à chaque moment a cherché et adopté un refuge.

Plus cette vie devient compliquée plus ces menaces et ces dangers deviennent compliqués et le besoin d’un refuge encore plus solide se fait sentir d’avantage.

Si la guidance promise est là l’homme s’oriente vers le vrai refuge, sinon, (p 5)

  Et exaucent les demandes que les hommes soumettent à leur Seigneur. Comme Il dit :

íóÓúÃóáõåõ ãóä Ýöí ÇáÓøóãóÇæóÇÊö æóÇáúÃóÑúÖö ßõáøó íóæúãò åõæó Ýöí ÔóÃúäò             

«  Tout ce qui est dans les cieux et sur la terre l’implorent et chaque jour Il est dans une nouvelle œuvre » ( Ar-Rahaman , verset 29)

D’un autre point de vue on peut considérer trois étapes dans la vie humaine.

L’homme étant naissant a besoin avant tout d’un   Rabb (maître) 1 qui s’occupe de tous ses besoins plus il croit, plus il connaît des besoins qui se lient aux nation da la puissance de la souveraineté et enfin de la sainteté et de la divinité, sans considérer pourtant une vraie séparation. On ne cherche pas à dire qu’il y a trois étapes consécutive et distincte pour l’homme :

  L’étape de besoin d’un maître, celle du besoin d’une divinité.

On ne doit pas conclure de cette parole que l’homme serait libre de tout faire pendant sa jeunesse et que vers sa vieillesse il doit adopter une religion.

On peut remarquer une division entre les humains encore d’un autre point de vue et il s’agit du fait que certains hommes s’adresse à Allah, à cause de leurs besoins.

Il y a en a d’autres qui l’adorent à cause de Sa puissance et de Sa grandeur, ou dirait-on l’adorent par crainte et enfin il y a d’autres qui Le cherchent grâce à Se sainteté, Sa perfection et toutes Ses qualités.

  Allah est en même temps Celui qu’on atteint enfin   par chacun de ces voies. On peut voir l’ancien problème humain : « le refuge » encore d’une autre vision qui est très proche de cette dernière :

    L’homme, par sa nature, lors de la rencontre avec un mal ou un danger effrayant cherche un refuge auprès d’une force capable d’éliminer ce danger. Ce que l’homme trouve apte comme protecteur, serait soit un maître qui veille à ses affaires à qui l’homme se réfère pour ses besoins, étant une source parfaite et indépendante pour ce recours, soit un être puissant et fort qui peut le protéger et le défendre, étant aussi une source parfaite et indépendante pour ce recours, soit un être suprême, une divinité sainte auprès de qui il se réfugie   par son corps et son âme.   Allah est le Seigneur des hommes, le Souverain et le Roi des hommes ainsi que le Dieu des hommes. Comme il a réuni tous ses trois noms dans le verset :

Ðóáößõãõ Çááøóåõ ÑóÈøõßõãú áóåõ Çáúãõáúßõ áóÇ Åöáóåó ÅöáøóÇ åõæó ÝóÃóäøóì ÊõÕúÑóÝõæäó

«  Tel est Allah, votre Seigneur ! A Lui appartient toute la Royauté. Point de divinité à part Lui. Comment pouvez-vous vous détourner [de son culte]?  »   (Les groupesm, verset 6)

Nous remarquons dans cette sourate qu’Allah a choisir les trois noms de :

Seigneur, Roi et Dieu. Par ordre on voit que le Seigneur, est le plus proche de l’homme ayant l’amitié et l’intimité la plus particulière envers l’homme, puis le Roi qui est plus loin d’accès mais d’une dominance plus particulière et manifeste, et enfin, c’est le Dieu, Celui que l’homme cherche, oui l’homme cherche par pureté pas par son caractère matérialiste.

Il y a une certaine répétition dans les fragments des phrases de cette sourate :

  Le terme    äÇÓ à   cinq reprises avec les trois termes de   «  ÑÈ  »  «  ãáß »   «  Çáå »

Constituent les compléments de noms : ÑóÈøö ÇáäøóÇÓö   ãóáößö ÇáäøóÇÓö   Åöáóåö ÇáäøóÇÓö

En principe, dans les cas pareils, le prénom remplace le nom. Mais aussi dans   les dires ou les écritures ordinaires, il y a une conjonction copulative qui lie les groupes des compléments. Donc, d’après ladite manière, les trois compléments coraniques se diraient comme

«  Seigneur des hommes, et leur Roi et leur Dieu. »

Or nous trouvons

ÑóÈøö ÇáäøóÇÓö   ãóáößö ÇáäøóÇÓö   Åöáóåö ÇáäøóÇÓö

«  Seigneur des hommes, Roi des hommes, Dieu des hommes ».

La cause d’un tel fait est que chacun des trois noms d’Allah dans cette sourate est indépendante cité et donne un caractère ainsi qu’une impression, mais aussi une fonction indépendante.

Le refuge recherché est contre le mal du tentateur furtif, celui qui souffle dans les poitrines des hommes. Qu’il soit du nombre de djinns ou des hommes.

Voici un rappel incessant de ces maux de ces pollutions les maux, vers les pollutions qui ne cesse d’exister dans la poitrine de l’homme.

Dans son sein qui est la résidence de son âme et la base du commandement de son cœur.

Les versets 5 et 6 expliquent et commentent le verset4. Le cas qui figure à nombreuses reprise dans le Saint Coran donc il faut se pencher sur les versets commentateur qui suivent le verset ou les versets en question.

ãöä ÔóÑøö ÇáúæóÓúæóÇÓö ÇáúÎóäøóÇÓö   ÇáøóÐöí íõæóÓúæöÓõ Ýöí ÕõÏõæÑö ÇáäøóÇÓö   ãöäó ÇáúÌöäøóÉö æó ÇáäøóÇÓö

Le mal n’est point créé par Allah. Il est le bien absolu et il n’arrive que le bien de Lui. Dans Sa créatures à partir des relations entres les éléments qui la constituent, il y a du mal et du bien d’une manière relative. Il y a des faits et des événements peuvent être bien pour certains et mal pour d’autres, en fonction de l’intention du comportement et de la position que chacun aura devant le fait ou l’événement en question. L’existence de tentateur et de ses tentations ne constituent pas un mal absolu. Si l’homme obéit au tentateur, il sera perdu et loge mal se créera par ses actes, et s’il ne lui obéit pas, il aura gagné dans son combat, et ainsi la tentation causera son gain et sa promotion, autrement dit da perfection.

Dieu n’a point crée de mal et un mal quelconque, ne rien jamais de lui. Le bien et le mal dans la vie humaine trouvent l’existence par son propre choix et ses propres actes :

Voici la parole d’Allah à son messager :

ãøóÇ ÃóÕóÇÈóßó ãöäú ÍóÓóäóÉò Ýóãöäó Çááøåö æóãóÇ ÃóÕóÇÈóßó ãöä ÓóíøöÆóÉò Ýóãöä äøóÝúÓößó

  Tout bien qui t’atteint, vient d’Allah et tout mal qui t’atteint vient de toi-même.

La substance du : æóÓúæÇöÓõ

Dans les trois versets finaux de cette sourate, dans la nation ayant trait au mal, il y a une généralité considérable :

Allah parle d’un tentateur qui souffle dans les poitrines, sans le dénommer entant que « Diable » «  Satan »   «  Démon » etc.…

A la fin Allah donne une autre généralité qui saisit de plus domaine : ãöäó ÇáúÌöäøóÉö æó ÇáäøóÇÓö

  Donc il ne s’agit que d’un tentateur qui tente et il peut être   du nombre des djinns tant que de celui des hommes.

Tenir une généralité exhaustive est l’une des grandes spécifiés de la méthode et de l’énonciation coranique.

Le connaisseur de l’énonciation coranique sait bien la nécessiter d’éviter de limiter cette exhaustivité. Donc que nous trouvons dans certains commentaires ou bien certains dictionnaires qui citent des termes comme :

Diable,    Satan, Démon, comme les équivalents du terme coranique pour autant. Il y a une généralité et particularité partielle :

Le Diable, le Satan le Démon peuvent être ÎäÇÓ mais pas á l’inverse.

ÎäÇÓ Vient de la racine    ÎäÓ qui veut   dire: disparaître

ÎäÇÓ Etant un appel interne une voix s’entend du fond du cœur qui invite vers le mal, vers la pollution et le péché mais dés qu’il y a un rappel une petite sortie de la négligence qui entoure le cœur, cette voix se coupe disparaît.

Alors dés que la négligence reprend, la tentation recommence.   Le verbe íæÓæÓ est au présent d l’indicatif et cela montre la continuité disons même la……… de cet affrontement.

Donc le devoir du fidèle lors du souffle et de chasser la tentation en se rappelant Allah. Comme Il nous ordonne : ÝóÇÐúßõÑõæäöí ÃóÐúßõÑúßõãú

«  Souvenez-vous de Moi, Je Me souviendra de vous » (al-Baqara 152)

  Mais et aussi : Åöäøó ÇáøóÐöíäó ÇÊøóÞóæÇú ÅöÐóÇ ãóÓøóåõãú ØóÇÆöÝñ ãøöäó ÇáÔøóíúØóÇäö ÊóÐóßøóÑõæÇú ÝóÅöÐóÇ åõã ãøõÈúÕöÑõæäó

«  Ce qui ont pratiqué, ‹ le taqua›, lors qu’il y a une illusion du Satan tourne autour d’eux, les touches ils se souviennent d’Allah et les voilà devenus clairvoyants. (Al-Araf, 201)

1- Le terme   ÇáÊÞæí est l’un des mots-clés dans le Saint Coran. La plupart des traducteurs ou des commentateurs du Coran ont traduit ce terme des nations pareilles il y a des équivalents précis dans le Coran et ce n’est pas nécessaire d’employer le terme ÇáÊÞæí

En bref, ce terme vient de la racine de Çáæ ÞÇíå et de l’infinitif qui signifie : préservation, sauvegarde.   On emploie parfois ce terme comme équivalent d bouclier qui accomplit la tache de préservation, protection ou sauvegarde.

Avoir signifie tenir une préservation interne et une habitude bien fixe et enracinée qui empêche l’homme de violer les limites d’Allah ou les limites des droits des autres.

Apartir de la fin du Coran la première sourate qui contient la nation de….. est celle de « Iqra » sous laquelle nous reportons bien les détails complémentaire du commentaire de ÇáÊÞæí

La poitrine de l’homme

La poitrine est le siège du cœur de l’homme. Le cœur, le centre de la saisie humaine, ce qui rend l’homme Homme. L’objet a quoi Allah accorde une grande importance dans le Coran.

Nous trouvons la poitrine, comme siège du cœur dans le verset suivant :

« N’ont-ils pas parcourir la terre afin d’avoir des cœurs pour réfléchir avec, ou des oreilles pour entendre avec. Ce ne sont pas des yeux qui deviennent aveugles mais des cœurs qui sont dans les poitrines »

Le cœur physique n’est pas un siège physique ou charnel pour l’âme humaine, mail elle a un lien significatif avec l’âme et la conscience humaine selon plusieurs versets coraniques.

La valeur de «  Þá  »

Ce qu’on remarque dans le terme « Þá » avant tout, c’est la haute position et le grand rang du Prophète qui mérite être tout seul l’interlocuteur de la révélation d’Allah c’est grâce à ce Prophète que le Coran est descendu et a accédé à l’humanité.

C’est comme la révélation par son entierté qui délute par un verbe impératif qui de la même façon à Mohammad tout seul et sans personnes d’autres : ÇÞÑÇ

Comme précité la sourate (Al-nas) fait partie de la sourate débutant par le verbe « Þá ».

Etant un verbe impératif « Þá » marque l’ordre divin adressé à son messager pour accomplir une mission claire.   C’est donc une déclaration de chercher refuge et protection divins dans le cœur. C’est une pratique réelle et efficace qui marque. Tant individu que la société (Umma)

Les Noms triples

Les conceptions saintes triples de : «  le Seigneur » « le Roi » «  la Royauté » et «  Dieu » dans les deux Testaments.

  Les trois noms d’Allah que nous trouvons dans le Coran, surtout dans la première, sourate dédalique du Coran ( Al-nas ) ne concernent pas uniquement le Coran et leur citation et ne se limite pas à se livre.

Ces termes ont été bien cités dans d’autres céleste dont « les deux Testaments ».

Bien que les deus Testaments aient été écrits après Moise et Jésus, nous croyons que dans leurs notions, il y a une parie qui a une origine prophétique et il y a une autre partie qui ne peut point être attribuée à Allah ou un Prophète quelconques.

Dans le but de voir mieux l’aspect mondial de l’adresse coranique, nous citons parmi nos débats certains versets bibliques.

Que les œuvres te louent, Seigneur. Et que les fidèles te bénissent.

Qu’ils proclament la gloire de ton règne et nous redisent tes exploits.

Qu’ils fassent connaître aux hommes ta vaillance et la gloire, et l’honneur de ton règne. Si tu règnes, tu règnes pour tous les siècles. Ta souveraineté s’impose d’age en age :

Le Seigneur est fidèle en toutes ses paroles. Il montre sa bonté en toutes ses œuvres. Le Seigneur retient celui qui tombe, et redresse celui qu’on a courbé.

Bi lite, psaume 145/10-14

Nous trouvons aussi dans le psaume chapoté par la locution de Dieu refuge des opprimés :

Voici que le Seigneur règne et c’est pour toujours, son trône est là. Il va juger. Que le Seigneur soit à l’opprimé son refuge son lieu fort dans les temps de détresse. (Psaume D/8-9)