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“Les Devoirs Des Epoux”


ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ãóäú ßÇäóÊú áóåõ ÅöãúÑóÃóÊóÇäö Ýóáóãú íóÚúÏöáú ÈóíúäóåõãÇ Ýí ÇáúÞóÓúãö ãöäú äóÝúÓöåö æóãÇáöåö ÌÇÁó íóæúãó ÇáúÞöíÇãóÉö ãóÛúáõæáÇð ãÇÆöáÇð ÔöÞøõåõ ÍóÊøì íóÏúÎõáó ÇáäøÇÑó.
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 7 / 214


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Dieu ressuscite ainsi celui qui a deux femmes mais ne divi-se pas son temps et ses biens justement entre elles et ne traite pas l’une ainsi que l’autre : au Jour du Jugement, la moitié de son corps est enchaînée tandis que l’autre moitié ne se dresse pas jusqu’au moment où il doit entrer dans l’Enfer.
Bihâr ul-Anwâr/vol.7/p.214

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
áÇ ÊõÄóÏøöí ÇáúãóÑúÃóÉõ ÍóÞøó Çááåö ÚóÒøóæóÌóáøó ÍÊøì ÊõÄóÏøöí ÍóÞøó ÒóæúÌöåÇ
ãÓÊÏÑß ÇáæÓÇÆá / 14 / 257


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
La femme accomplit son devoir envers Dieu dans la mesure où elle accomplit son devoir à l’égard de son mari.
Mustadrak ul-Wasâil/vol.14/p.257

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
Þóæáõ ÇáÑøóÌõáö áöáúãóÑúÃóÉö Åöäøí ÃõÍöÈøõßö áÇ íóÐúåóÈõ ãöäú ÞóáúÈöåÇ ÃóÈóÏÇð
æÓÇÆá ÇáÔíÚÉ / 14 / 10


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
La parole d’un homme qui dit à sa femme : “Je t’aime”, ne sort jamais du cœur de sa femme.
Wasâil ul-Shîa/vol.14/p.10

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÝóÏÇÑõæåõäøó ßöáøö ÍÇá æóÃóÍúÓöäõæÇ áóåõäøó ÇáúãóÞÇáó áóÚóáøóåõäøó íõÍúÓöäøó ÇáúÝöÚÇáó
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 103 / 223


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
De toutes façons, traitez bien vos femmes et parlez amica-lement avec elles afin qu’elles rendent meilleurs leurs actes et leurs comportements.
Bihâr ul-Anwâr/vol.103/p.223

ÞÇáóÊú ÝÇØöãóÉõ ÚóáóíúåóÇ ÇáÓøóáÇãõ :
ÎöíúÇÑõßõãú Ãóáúíóäõßõãú ãóäÇßöÈóåõ æóÃßúÑóãõåõãú áöäöÓÇÆöåöãú
ÏáÇÆá ÇáÅãÇãÉ


La fille de l’Envoyé de Dieu, Fâtima, les bénédictions de Dieu soient sur elle, a dit :
Le meilleur homme est celui qui traite sa femme avec la plus grande douceur et qui est le plus généreux envers elle.
Dalâil ul-Imâmat

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáúÈÇÞöÑõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
áÇ ÔóÝíÚó áöáúãóÑúÃÉö ÇóäúÌóÍõ ÚöäúÏó ÑóÈøöåÇ ãöäú ÑöÖÇ ÒóæúÌöåÇ
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 81 / 345


L’Imâm Bâqir, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Auprès de Dieu, la meilleure intercession provenant de la femme est la satisfaction de son mari à propos d’elle.
Bihâr ul-Anwâr/vol.81/p.345

Úóäú ãõæÓóì Èúäö ÌóÚúÝóÑ Úóäú ÂÈÇÆöåö Úáíå ÇáÓøáÇã ÞÇá : ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã¡ ßõáøóãÇ ÇöÒúÏÇÏó ÇáúÚóÈúÏõ ÇíãÇäÇð ÅÒÏÇÏó ÍõÈøÇð áöáäøöÓÇÁö.
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 103 / 228


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit (l’Imâm Mûsâ, les bénédictions de Dieu soient sur lui, l’a rapporté de ses ancêtres) :
Plus nous renforçons notre foi, plus l’amitié que nous avons pour nos femmes augmente.
Bihâr ul-Anwâr/vol.103/p.228

Úóäú ÃóÈí ÚóÈúÏö Çááåö Úáíå ÇáÓøáÇã ÞÇáó :
ßõáøõ ãóäú ÅÔúÊóÏøó áóäÇ ÍõÈøÇð ÅöÔúÊóÏøó áöáúäøöÓÇÁö ÍõÈøÇð
æÓÇÆá ÇáÔíÚÉ / 14 / 11


L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Plus un homme nous aime (c’est-à-dire : Nous, les Gens de la Demeure Prophétique), plus il aimera sa femme.
Wasâil ul-Shîa/vol.14/p.11

Ñóæì ÃóÈõæ ÇáúÍóÓóäö ÇáÑøöÖÇ Úáíå ÇáÓøáÇã Úóäú ÇóãíÑö ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã ÞÇáó : ÎóíÑõ äöÓÇÆößõãú ÇáúÎóãúÓõ Þíáó íÇ ÇóãíÑó ÇáúãõÄãöäíäó æóãóÇ ÇáúÎóãúÓõ ÞÇáó ÇáúåóíøöäóÉõ ÇááøóÜíøöäóÉõ ÇáãõæÇÊöíóÉõ ÇáøóÊí ÅÐÇ ÛóÖöÈó ÒóæúÌõåÇ áóãú ÊóßúÊóÍöáú ÈöÛõãúÖ ÍóÊøì íóÑúÖì æóÇöÐÇ ÛÇÈó ÚóäúåÇ ÒóæúÌõåÇ ÍóÝöÙóÊúåõ Ýí ÛóíúÈóÊöåö ÝóÊöáúßó ÚÇãöáñ ãöäú ÚõãøÇáö Çááåö æÚÇãöáõ Çááåö áÇ íóÎíÈõ.
ÇáßÇÝí / 5 / 324


L’Imâm Rizâ rapporte de l’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur eux :
La meilleure femme parmi vos épouses est celle qui est pé-trie de cinq qualités :
Elle est modeste face à son mari et ne lui occasionne pas beaucoup de dépenses ;
Elle est douée d’un bon comportement ;
Elle est d’accord avec son mari et l’aide constamment ;
En cas de nervosité et de tristesse de son mari, au lieu de dormir, elle reste avec son mari jusqu’à ce qu’il retrouve son calme ;
En cas d’absence de son mari, elle s’efforce de préserver les biens, l’honneur et les enfants de son mari et aussi elle tâ-che de garder sa chasteté.
Puis l’Émir des croyants a ajouté :
Une telle femme fait partie de ceux qui agissent pour Dieu, et celui qui agit pour Dieu ne désespère pas et par-vient à tous ses désirs.
Al-Kâfî/vol.5/p.324

“Les Attributs D’Une Bonne Épouse”


ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ãÇ ãöäú ÇöãúÑÃóÉ ÊóÓúÞí ÒóæúÌóåÇ ÔóÑúÈóÉð ãöäú ãÇÁ ÅáÇø ßÇäó ÎóíúÑÇð áóåÇ ãöäú ÚöÈÇÏóÉö ÓóäóÉö ÕöíÇãö äóåÇÑöåÇ æóÞöíÇãö áóíúáóåÇ.
æÓÇÆá ÇáÔíÚÉ / 20 / 172


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Si une femme donne à boire à son mari, la récompense concernant cet acte est meilleure pour elle que la récompen-se concernant une année durant laquelle elle observe le jeûne recommandé tous les jours et fait la prière toutes les nuits.
Wasâil ul-Shîa/vol.20/p.172

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ãöäú ÓóÚÇÏóÉö ÇáúãóÑúÁö ÇáúãõÓúáöãö ÇáÒøóæúÌóÉõ ÇáÕøÇáöÍóÉõ æóÇáúãóÓúßóäõ ÇáúæÇÓöÚõ æóÇáúãõÑóßóÈõ ÇáúåóäíÁõ æóÇáúæóáóÏõ ÇáÕøÇáöÍõ.
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 104 / 98

L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Quatre choses causent le bonheur d’un musulman : l’épouse vertueuse, la vaste maison, la bonne monture et l’enfant pieux.
Bihâr ul-Anwâr/vol.104/p.98

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÌöåÇÏõ ÇáúãóÑúÃÉö ÍõÓúäõ ÇáÊøóÈóÚøõáö æóÃóÚúÙóãõ ÇáäøÇÓö ÍóÞøÇð ÚóáóíúåÇ ÒóæúÌõåÇ
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 103 / 256

L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
La Guerre Sainte de la femme est qu’elle serve au mieux son mari ; et le plus grand devoir qu’elle ait à accomplir, est son devoir envers son mari.
Bihâr ul-Anwâr/vol.103/p.256

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÌöåÇÏõ ÇáúãóÑúÃóÉö ÍõÓúäõ ÇáÊøóÈóÚøõáö
äåÌ ÇáÈáÇÛÉ / ÇáßáãÇÊ ÇáÞÕÇÑ / 136


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
La Guerre Sainte de la femme est qu’elle serve au mieux son mari.
Nahdj ul-Balâqa/p.136

ÞÇáóÊú ÝÇØöãóÉõ ÓóáÇãõ Çááåö ÚóáóíúåÇ :
ÑõæÍöí áöÑõæÍößó ÇáúÝöÏÇÁ ¡ æó äóÝúÓöí áöäóÝúÓößó ÇáúæÞÇ ¡ íÇ ÃóÈÇ ÇáúÍóÓóäö Åöäú ßõäúÊó Ýí ÎóíúÑò ßõäúÊõ ãóÚóßó æó Åöäú ßõäúÊó Ýí ÔóÑøò ßõäúÊõ ãóÚóßó
ÇáßæßÈ ÇáÏÑøí / 1 / 196

La fille du Saint Prophète, Fâtima, les bénédictions de Dieu soient sur eux et sur leur Famille, a dit :
Ô mon cher (Ab al-Hassan ) ! Si tu vis dans l’aisance je reste avec toi ; et si tu subis beaucoup de difficultés dans la vie, je reste encore avec toi.
Al-Kawkab ul-Durrî/vol.1/p.196

Úóäú ÃóÈí ÌóÚúÝóÑ Úáíå ÇáÓøáÇã ÞÇáó : ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã¡ ÞÇáó Çááåõ ÚóÒøóæóÌóáøó ÅöÐÇ ÃÑóÏúÊõ Ãóäú ÃóÌúãóÚó áöáúãõÓúáöãö ÎóíúÑó ÇáÏøõäúíÇ æóÇáÇÎöÑóÉö¡ ÌóÚóáúÊõ áóåõ ÞóáúÈÇð ÎÇÔöÚÇð¡ æóáöÓÇäÇð ÐÇßöÑÇð¡ æóÌóÓóÏÇð Úóáóì ÇáúÈóáÇÁö ÕÇÈöÑÇð¡ æóÒóæúÌóÉð ãõÄúãöäóÉð ÊóÓõÑøõåõ ÅÐÇ äóÙóÑó ÅöáóíúåóÇ æóÊóÍúÝóÙõåõ ÅÐÇ ÛÇÈó ÚóäúåÇ Ýí äóÝúÓöåÇ æóãÇáöåö.
ÇáßÇÝí / 5 / 327


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Dieu, qu’Il soit honoré et glorifié, a dit : “Lorsque Je veux réunir pour un musulman le bien de ce monde et de l’autre monde, je lui octroie un cœur modeste, une langue parlant toujours de Dieu, un corps patient devant les difficultés et aussi je lui donne une épouse croyante afin qu’il soit satis-fait lorsqu’il la voit et qui, lorsqu’il s’éloigne provisoire-ment d’elle, garde sa chasteté et préserve les biens de son mari.”
Al-Kâfî/vol.5/p.327

“Le « Mahr » ”


ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
Ôõæãõ ÇáúãóÑúÃóÉö ÛóáÇÁõ ãóåúÑöåÇ æóÓõæÁõ ÎõáúÞöåÇ
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 58 / 321


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Les malheurs qu’une femme occasionne (à son mari) sont la cherté de son « mahr » et son mauvais comportement.
Bihâr ul-Anwâr/vol.58/p.221

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÃóÚúÙóãõ ÇáäøößÇÍö ÈóÑóßóÉð ÃóíúÓóÑõåõ ãóÄõæäóÉð
ßäÒ ÇáÚãÇá / 16 / 299


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
En vérité, la bénédiction d’un mariage est plus grande lorsque la noce et les autre frais (dot, « mahr », etc) sont peu coûteux.

Kanz ul-‘Ummâl/vol.16/p.299

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÃóÝúÖóáõ äöÓÇÁö ÃõãøóÊí ÃóÕúÈóÍõåõäøó æóÌúåÇð æóÃóÞóáøõåõäøó ãóåúÑÇð
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 103 / 236


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Les femmes les plus méritantes de ma communauté sont celles qui ont de beaux visages et celles dont les « mahr » sont les moins coûteux.
Bihâr ul-Anwâr/vol.103/p.236

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÊóÒóæøóÌú æóáóæú ÈöÎÇÊóã ãä ÍóÏíÏ
ßäÒ ÇáÚãÇá / 16 / 321


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Marie-toi, même si tu a seulement une bague en fer.
Kanz ul-‘Ummâl/vol.16/p.

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ãóäú ÃóÚúØì Ýí ÕóÏÇÞ ãöáÇó ßóÝøöåö ÓóæíÞÇð Ãóæú ÊóãúÑÇð ÝóÞóÏö ÇÓúÊóÍóáøó
ßäÒ ÇáÚãÇá / 16 / 321


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Le mariage de l’homme qui donne une poignée de blé ou de dattes (à sa femme) en tant que « mahr » (à condition que la femme l’accepte) est valide.
Kanz ul-‘Ummâl/vol.16/p.321

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
áÇ ÊõÛÇáõæÇ ÈöãõåõæÑö ÇáäøöÓÇÁö ÝóÊóßõæäó ÚóÏÇæóÉð
æÓÇÆá ÇáÔíÚÉ / 21 / 253

L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
N’augmentez pas le prix du « mahr » des femmes, car cela peut générer de l’hostilité entre les deux parties.
Wasâil ul-Shîa/vol.21/p.253

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÃóÈõæ ÚóÈúÏö Çááåö Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÇáÓøõÑøÇÞõ ËóáÇËóÉñ : ãÇäöÚõ ÇáÒøóßÇÉö æóãõÓúÊóÍöáøõ ãõåõæÑö ÇáäøöÓÇÁö æóßóÐáößó ãóäö ÇÓúÊóÏÇäó æóáóãú íóäúæö ÞóÖÇÁóåõ
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 96 / 12

L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Les voleurs se divisent en trois groupes : ceux qui ne don-nent pas l’aumône, ceux qui ne donnent pas le « mahr » de leurs femmes et ceux qui ont emprunté une somme d’argent et ne la rendent pas.
Bihâr ul-Anwâr/vol.96/p.12

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
Åöäøó ãöäú ÈóÑóßóÉö ÇáúãóÑúÃóÉö ÞöáøóÉó ãóåúÑöåÇ æóãöäú ÔõæãöåÇ ßóËúÑóÉö ãóåúÑöåÇ
ãä áÇ íÍÖÑå ÇáÝÞíå / 3 / 387

L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
En effet, l’un des bonheurs qu’une femme occasionne (à son mari) est le bas prix de son « mahr » tandis que l’un des malheurs qu’une femme accasionne (à son mari) est la cher-té de son « mahr ».
Man Lâ Yahzuruh ul-Faqîh/vol.3/p.387

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÃóÞúÐóÑõ ÇáÐøõäõæÈö ËóáÇËóÉñ : ÞóÊúáõ ÇáúÈóåöíãóÉö æóÍóÈúÓõ ãóåúÑö ÇáúãóÑÃóÉö æóãóäúÚõ ÇáÇÌöíÑö ÃóÌúÑóåõ
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 64 / 268

L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Les péchés les plus graves sont au nombre de trois : tuer injustement, ne pas donner le « mahr » de l’épouse et ne pas payer le salaire de l’employé.
Bihâr ul-Anwâr/vol.64/p.268

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÒóæøóÌó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã ÚóáöíøÇð Úáíå ÇáÓøáÇã ÝÇØöãóÉó ÓóáÇãõ Çááå ÚóáóíúåÇ Úóáì ÏöÑöÚö ÍóØóãöíøóÉ ÊõÓÇæí ËóáÇËíäó ÏöÑúåóãÇð.
æÓÇÆá ÇáÔíÚÉ / 21 / 251


L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
L’Envoyé de Dieu a marié sa fille, Fâtima, à l’Émir des croyants, l’Imâm ‘Alî, avec une armure (comme « mahr ») équivalant à trente dirhams .
Wasâil ul-Shî‘a/p.21/vol.251

“Le Divorce Et Ses Dommages”


ÞÇáó Çááåõ ÊóÚÇáì :
æÅÐÇ ØóáøóÞúÊõãõ ÇáäøöÓÂÁó ÝóÈóáóÛúäó ÃóÌóáóåõäøó ÝóÃóãúÓößõæåõäøó ÈöãóÚúÑõæÝ Ãóæú ÓóÑøöÍõæåõäøó ÈöãóÚúÑõæÝ æáÇ ÊõãúÓößõæåõäøó ÖöÑÇÑÇð áöÊóÚúÊóÏõæÇ æóãóäú íóÝúÚóáú Ðöáößó ÝóÞóÏú Ùóáóãó äóÝúÓóåõ æóáÇ ÊóÊøóÎöÐõæÇ ÂíÇÊö Çááåö åõÒõæÇð æóÇÐúßõÑõæÇ äöÚúãóÉó Çááå Úóáóíúßõãú æóãóÇ ÃóäúÒóáó Úóáóíúßõãú ãöäó ÇáúßöÊÇÈö æóÇáúÍößúãóÉö íóÚöÙõßõãú Èöåö æó ÇÊøóÞõæÇ Çááåó æóÇÚúáóãõæÇ Ãóäøó Çááåó Èößõáøö ÔóíÁ Úóáöíãñ.
ÓæÑÉ ÇáÈÞÑÉ ÂíÉ 231

Dieu Le Très-Haut, Loué soit-Il, a dit :
Si vous avez divorcé d’avec votre femme, lorsque la fin de la période de la retraite de continence (idda) approche, vous avez deux choix :
Soit vous la réintégrez avec douceur dans la vie commune soit vous la libérez sans contraintes et ne la gardez pas (c’est-à-dire : vous n’évitez pas de divorcer d’avec elle) en lui causant du tort. Celui qui agirait ainsi se ferait du tort à lui-même. Ne vous moquez pas des versets divins ; rappe-lez-vous les bienfaits divins et souvenez-vous du Livre et des sagesses que Dieu vous a révélés afin de vous conseiller ; craignez Dieu et sachez que Dieu connaît parfaitement tous vos actes (et toutes vos pensées) ainsi que tous les se-crets du monde.
Sourate de Baqara (Vache)/verset 231

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÊóÒóæøóÌõæÇ æóáÇ ÊõØóáøöÞõæÇ ÝóÇöäøó ÇáØøóáÇÞó íóåúÊóÒøõ ãöäúåõ ÇáúÚóÑúÔõ
æÓÇÆá ÇáÔíÚÉ / 22 / 9


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Mariez-vous et ne divorcez pas, car le divorce fait trembler les cieux.
Wasâil ul-Shîa/vol.22/p.9

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
Åöäøó Çááå ÚóÒøóæóÌóáøó íõÈúÛöÖõ Ãóæú íóáúÚóäõ ßõáøó ÐóæøÇÞ ãöäó ÇáÑøöÌÇáö æóßõáøó ÐóæøÇÞóÉ ãöäó ÇáäøöÓÇÁö
ÇáßÇÝí / 6 / 54


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Dieu, qu’Il soit honoré et glorifié, déteste ou maudit la femme ou l’homme qui se marient uniquement afin de goû-ter le mariage (ou seulement pour satisfaire leurs désirs charnels).
Al-kâfî/vol.6/p.54

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ãóäú ÕóÈóÑó Úóáì ÎõáúÞö ÅãúÑÃóÉ ÓóíøöÆóÉö ÇáúÎõáúÞö æóÇÍúÊóÓóÈó Ýí Ðáößó ÇáÇÌúÑó ÃÚúØÇåõ Çááåõ ËóæÇÈó ÇáÔøÇßöÑíäó.
ãä áÇ íÍÖÑå ÇáÝÞíå / 4 / 16


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Dieu octroie la récompense des personnes reconnaissantes à celui qui supporte le mauvais comportement de sa femme et en demande à Dieu la récompense en retour.
Man Lâ Yahzuruh ul-Faqîh/vol.4/p.16


ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
Åöäøó Çááåö ÚóÒøóæóÌóáøó íõÍöÈøõ ÇáúÈóíúÊó ÇáøóÐí Ýöíåö ÇáúÚõÑÓõ æóíõÈúÛöÖõ ÇáúÈóíúÊó ÇáøóÐí Ýöíåö ÇáØøóáÇÞõ æóãÇ ãöäú ÔóíÁ ÃóÈúÛóÖó Åáóì Çááåö ÚóÒøóæóÌóáøó ãöäó ÇáØøóáÇÞö.
ÇáßÇÝí / 6 / 54


L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Dieu, qu’Il soit honoré et glorifié, aime la maison dans la-quelle un homme et une femme se marient et haït la maison dans laquelle un couple se sépare. Auprès de Dieu, le di-vorce est l’acte le plus détestable.
Al-kâfî/vol.6/p.54

“Les Bonnes Œuvres”


ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÇöÕúáÇÍõ ÐÇÊö ÇáúÈóíúäö ÃóÝúÖóáõ ãöäú ÚÇãøóÉö ÇáÕøóáÇÉö æóÇáÕøóæúã
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 76 / 43


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Réconcilier deux personnes est meilleur que tous les jeûnes et les prières accomplis durant une vie.
Bihâr ul-Anwâr/vol.76/p.43

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÇáÏøÇáøõ Úóáóì ÇáúÎóíúÑö ßóÝÇÚöáöåö
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 96 / 119


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Celui qui encourage les gens à accomplir de bonnes œuvres prend par avec eux à la récompense divine qu’ils obtien-nent.
Bihâr ul-Anwâr/vol.96/p.119

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
Åöäøó ÇáúÍóÞøó ËóÞöíúáñ ãóÑöíÁñ , æóÅöäøó ÇáúÈÇØöáó ÎóÝöíúÝñ æóÈöíÁñ
äåÌ ÇáÈáÇÛÉ / ÇáßáãÇÊ ÇáÞÕÇÑ / 376


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
En vérité, la justice est lourde et douce ; au contraire, l’injustice est légère et âpre.
Nahdj ul-Balâgha/Al-Kalamât ul-Ghisâr(aphorismes)/numéro367

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ãóäú Ùóäøó Èößó ÎóíúÑÇð ÝóÕóÏøöÞú Ùóäøóåõ
äåÌ ÇáÈáÇÛÉ / ÇáßáãÇÊ ÇáÞÕÇÑ / 248


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Ne désespère pas celui qui a confiance en tes faveurs.
Nahdj ul-Balâgha/ Al-Kalamât ul-Ghisâr (aphorismes)/n°511

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÅöÐÇ ÞóÏóÑúÊó Úóáì ÚóÏõæøößó ÝóÇÌúÚóáö ÇáúÚóÝúæó Úóäúåõ ÔõßúÑðÇ áöáúÞõÏúÑóÉö Úóáóíúåö
äåÌ ÇáÈáÇÛÉ / ÇáßáãÇÊ ÇáÞÕÇÑ / 11


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Si tu as réussi à dominer ton ennemi, pardonne-lui afin de remercier (Dieu) pour la force qu’Il t’a donnée.
Nahdj ul-Balâgha/Al-Kalamât ul-Ghisâr (aphorismes)/n°11

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÇóÝúÖóáõ ÇáÚöÈÇÏÉö ÛóáóÈóÉõ ÇáÚÇÏóÉö
ÛÑÑ ÇáÍßã / 176


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
La dévotion la plus méritoire est de maîtriser ses habitu-des.
Ghurar ul-Hikam/p.181

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÑóÍöãó Çááåõ ÇãúÑóÁð ÃóÍúíÇ ÍóÞøÇð æó ÃóãÇÊó ÈÇØöáÇð æóÏóÍóÖó ÇáúÌóæúÑó æóÃóÞÇãó ÇáúÚóÏúáó
ÛÑÑ ÇáÍßã / 181


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Que la Clémence divine soit sur celui qui restaure le droit, détruit l’injustice, ne subit pas l’oppression et établit la justice.
Ghurar ul-Hikam/p.181

ÞÇáó ÇáÇöãÇãõ ÇáÕÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÇáÚóÏúáõ ÃÍúáì ãöäó ÇáãÇÁö íÕíÈõåõ Èöåö ÇáÙøóãóÂä ¡ ãÇ ÃæúÓóÚ ÇáÚóÏúáõ ÇöÐÇ ÚóÏóáó Ýíåö æó Åöäú Þóáøó
ÇáßÇÝí / 2 / 146


L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
La justice est plus douce que l’eau à laquelle parvient une personne assoiffée ; la justice, si on l’établit, est très vaste.
Al-Kâfî/vol.2/p.146

Úóäú ÃóÈí ÚóÈúÏö Çááå Úáíå ÇáÓøáÇã ÞÇáó :
ÓöÊøõ ÎöÕÇá íóäúÊóÝöÚõ ÈöåóÇ ÇáúãõÄúãöäõ ÈóÚúÏó ãóæúÊöåö : æóáóÏñ ÕÇáöÍñ íóÓúÊóÛúÝöÑõ áóåõ¡ æóãõÕúÍóÝñ íõÞúÑóÁõ Ýöíåö¡ æóÞóáíÈñ íóÍúÝöÑõåõ¡ æóÛóÑÓñ íóÛúÑöÓõåõ¡ æÕóÏóÞóÉõ ãÇÁ íõÌúÑíå¡ æÓõäøóÉñ ÍóÓóäóÉñ íõÄÎóÐõ ÈöåÇ ÈóÚúÏóåõ.
ÇáÎÕÇá / 323


L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Il y a six effets qui seront utiles à un croyant après sa mort :
L’enfant qui demande pardon pour lui ;
Le livre qu’il a écrit et que les gens peuvent lire ;
Le puits qu’il a creusé et que tout le monde peut utiliser ;
L’arbre qu’il a planté et qui est un bienfait pour d’autres ;
L’aumône volontaire consistant en l’eau courante qu’il a canalisée afin de désaltérer les arbres et les gens ;
Les bonnes manières dont il a fait montre et auxquelles les gens font attention après sa mort.
Al-khisâl/p.323

“Le Bon Comportement Et Ses Résultats”


ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
Åöäøó ÇáúÚóÈúÏó áóíõÏúÑößõ ÈöÍõÓúäö ÎõáúÞöåö ÏóÑóÌóÉó ÇáÕøÇÆöãö ÇáúÞÇÆöãö
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 71 / 373


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
En effet, la personne qui a un bon comportement accède à un degré équivalant à celui de la personne qui observe le jeûne durant les jours et fait la prière lors des nuits.
Bihâr ul-Anwâr/vol.71/p.373

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÃóßúËóÑõ ãÇ ÊóáöÌõ Èöåö ÃõãøóÊí ÇáúÌóäøóÉó ÊóÞúæóì Çááåö æóÍõÓúäõ ÇáúÎõáúÞö
ÇáßÇÝí / 2 / 100


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Deux comportements, plus que toute chose, introduisent les gens de ma communauté dans le Paradis : craindre Dieu et avoir de bonnes mœurs.
Al-Kâfî/vol.2/p.100

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááå Õóáøóí Çááå Úóáóíúåö æó Âáöåö æó Óóáøóã :
ãóäú ÃóÍóÈøó ÃóÍóÏõßõã ÃóÎÇåõ ÝóáúíõÚáöãóåõ ÝóÅöäøóåõ ÃÕúáóÍó áöÐÇÊö ÇáÈóíäö
ãÓÊÏÑß ÇáæÓÇÆá / 8 / 355


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Si l’un parmi vous aime l’un de ses frères en religion, il doit le lui dire afin de pouvoir réconcilier ce frère avec un autre frère en cas de rupture (entre ces deux frères).
Mustadrak ul-Wasâil/vol.8/p.355

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÎÇáöØõæÇ ÇáäÇÓó ãõÎÇáóØóÉð Åöäú ãöÊøõãú ãóÚóåÇ ÈóßóæúÇ Úóáóíúßõãú ¡ æóÅöäú ÚöÔúÊõãú ÍóäøõæÇ Åöáóíúßõãú
äåÌ ÇáÈáÇÛÉ / ÇáßáãÇÊ ÇáÞÕÇÑ / 10


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Fréquentez les gens au point qu’ils vous pleurent si vous mourez parmi eux et qu’ils vous traitent aimablement si vous vivez parmi eux.
Nahdj ul-Balâgha/Al-Kalamât ul-Ghisâr (aphorismes)/n°10

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã áÇÈäöåö ÇáÍóÓóäö Úáíå ÇáÓøáÇã :
íÇ Èõäóíøó ! áÇ Ûöäì ÃóßúÈóÑõ ãöäó ÇáúÚóÞúáö¡ æóáÇ ÝóÞúÑó ãöËúáõ ÇáúÌóåúáö¡ æóáÇ æóÍúÔóÉó ÃóÔóÏøõ ãöäó ÇáúÚõÌúÈö¡ æóáÇ ÚóíúÔó ÃóáóÐøõ ãöäú ÍõÓúäö ÇáÎõáúÞö.
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 78 / 111


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Ô mon fils ! Il n’existe aucune fortune plus grande que la sagesse, aucune pauvreté (plus dangereuse) que l’ignorance, aucune peur (plus terrible) que la vanité et aucune vie plus agréable que celle de la personne ayant un bon comporte-ment durant sa vie.
Bihâr ul-Anwâr/vol.78/p.111

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÍõÓúäõ ÇáúÎõáúÞö Ýí ËóáÇË : ÅÌúÊöäÇÈõ ÇáúãóÍÇÑöãö¡ æóØóáóÈõ ÇáúÍóáÇáö¡ æóÇáÊøóæóÓøõÚõ Úóáóì ÇáúÚöíÇáö
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 71 / 394


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
On peut avoir un bon comportement en faisant attention à trois choses : éviter les actes illicites, subsister par les voies licites et procurer une bonne situation, surtout du point de vue financier, à sa famille.
Bihâr ul-Anwâr/vol.71/p.394

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÅöÐÇ æóÕáóÊú Åöáóíúßõãú ÃóØúÑÇÝõ ÇáäøöÚóãö ÝóáÇ ÊõäóÝøöÑõæÇ ÃóÞúÕÇåÇ ÈöÞöáøóÉö ÇáÔøõßúÑö
äåÌ ÇáÈáÇÛÉ / ÇáßáãÇÊ ÇáÞÕÇÑ / 13


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Si l’on a des bontés pour vous, ne vous éloignez pas d’elles du fait de l’ingratitude.
Nahdj ul-Balâgha/Al-Kalamât ul-Ghisâr (aphorismes)/n°13

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÑóÃúÓõ ÇáÓøöíÇÓóÉö ÅÓúÊöÚúãÇáõ ÇáÑøöÝúÞö
ÛÑÑ ÇáÍßã / 182


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
La douceur est la nécessité la plus importante de la politi-que et de la direction.
Ghurar ul-Hikam/p.182

ÑöæÇíÉñ Úóäö ÇáÇãÇãö ÇáúÍóÓóäö Úáíå ÇáÓøáÇã :
Åöäøó ÃóÍúÓóäó ÇáúÍóÓóäö ÇáúÎõáúÞõ ÇáúÍóÓóäõ
ÇáÎÕÇá / 29


L’Imâm Hassan, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
La meilleure des bontés est d’avoir un bon comportement.
Al-Khisâl/p.29

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáúÍóÓóäõ Èúäõ Úóáöíøò Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÕÇÍöÈö ÇáäøÇÓó ãöËóáó ãÇ ÊõÍöÈøõ Ãóäú íõÕÇÍöÈõæßó Èöåö
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 78 / 116


L’Imâm Hassan, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Conduis-toi avec les gens comme tu veux qu’ils se condui-sent avec toi.
Bihâr ul-Anwâr/vol.78/p.116

ÍóÏøóËóäóÇ ÃóÈõæ ÍóãúÒóÉö ÇáËøõãÇáí Úóäú Úóáöíøö Èúäö ÇáúÍõÓóíúäö Úáíå ÇáÓøáÇã ÞÇáó : ÇáúÞóæúáõ ÇáúÍóÓóäõ íõËúÑöí ÇáúãÇáó æóíõäúãöí ÇáÑøöÒúÞó¡ æóíõäúÓöÃõ Ýí ÇáÇÌóáö¡ æóíõÍóÈøöÈõ Åöáì ÇáÇåúáö¡ æóíõÏúÎöáõ ÇáÌóäøóÉó.
ÇáÎÕÇá / 317


L’Imâm Sadjâd, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Des paroles aimables causent l’augmentation de la riches-se, l’accroissement du pain quotidien, le retard de mort, l’amitié de la famille et l’introduction dans le Paradis.
Al-Khisâl/p.317

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ËóáÇËñ ãóäú ÃóÊóì Çááåó ÈöæÇÍöÏóÉ ãöäúåõäøó ÃóæúÌóÈó Çááåõ áóåõ ÇáúÌóäøóÉó : ÇáÇäúÝÇÞõ ãöäú ÅÞúÊÇÑ¡ æóÇáÈöÔúÑõ áöÌóãíÚö ÇáúÚÇáóãö æóÇáÇäúÕÇÝõ ãöäú äóÝúÓöåö.
ÇáßÇÝí / 2 / 103


L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Celui qui rencontre Dieu en ayant trois choses, Dieu le fait certainement entrer dans le Paradis : avoir dépensé dans le chemin de Dieu alors qu’il était en état de pauvreté, avoir eu un bon comportement à l’égard de tout le monde et avoir agi avec justice.
Al-Kâfî/vol.2/p.103

“La Science Et Ses Mérites”


ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÎóíúÑõ ÇáÏøõäúíÇ æóÇáÇÎöÑóÉö ãóÚó ÇáúÚöáúãö
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 1 / 204


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Vous obtenez la béatitude de ce monde et de l’autre monde par la science.
Bihâr ul-Anwâr/vol.1/p.204

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÃóáúÚöáúãõ æóÏíÚóÉõ Çááåö Ýí ÃóÑúÖöåö¡ æóÇáúÚõáóãÇÁõ ÃõãóäÇÄåõ Úóáóíúåö¡ Ýóãóäó Úóãöáó ÈöÚöáúãöåö ÃóÏøì ÇóãÇäóÊóåõ
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 2 / 36

L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
La science est le dépôt de Dieu sur la terre, et Il l’a confiée aux oulémas. Alors, celui qui l’emploie durant sa vie, a vé-ritablement assumé le dépôt de Dieu.
Bihâr ul-Anwâr/vol.2/p.36

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÇóáúÚÇáöãõ æóÇáúãõÊóÚóáøöãõ ÔóÑöíßÇäö Ýí ÇáÇÌúÑö æóáÇ ÎóíúÑó Ýí ÓÇÆöÑö ÇáäøÇÓö
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 52 / 2


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Un enseignant et son élève obtiennent une récompense di-vine dont d’autres personnes sont dépourvues.
Bihâr ul-Anwâr/vol.2/p.25

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ãóäú ÃóÝúÊóì ÇáäøÇÓó ÈöÛóíúÑö Úöáúã ßÇäó ãÇ íõÝúÓöÏõåõ ãöäó ÇáÏøöíäö ÃóßúËóÑó ãöãøÇ íõÕúáöÍõåõ
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 2 / 121


Le Saint Prophète de l’Islam, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
La personne qui exprime ses idées religieuses pour les gens sans avoir pour cela les compétences requises nuit vérita-blement à la religion au lieu de lui servir.
Bihâr ul-Anwâr/vol.2/p.121

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ãóäú ØóáóÈó ÇáúÚöáúãó Ýóåõæó ßóÇáÕøÇÆöãö äóåÇÑóåõ ÇáúÞÇÆöãö áóíúáóåõ æóÇöäøó ÈÇÈÇð ãöäó ÇáúÚöáúãö íóÊóÚóáøóãõåõ ÇáÑøóÌõáõ ÎóíúÑñ áóåõ ãöäú Ãóäú íóßõæäó áóåõ ÃóÈõæ ÞõÈóíúÓ ÐóåóÈÇð ÝóÃóäúÝóÞóåõ Ýí ÓóÈíáö Çááåö.
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 1 / 184


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Celui qui recherche la science est comme celui qui jeûne du-rant les jours et fait la prière lors des nuits. Pour l’homme, acquérir une part de science est meilleur qu’avoir une mon-tagne d’or et le dépenser dans le chemin de Dieu.
Bihâr ul-Anwâr/vol.1/p.184

ÞÇáó ÇáäøóÈöíøõ Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÝóÖúáõ ÇáúÚöáúãö ÃóÍóÈøõ Çöáóì Çááåö ãöäú ÝóÖúáö ÇáúÚöÈÇÏóÉö
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 1 / 167


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Auprès de Dieu, acquérir une science a plus de valeur que l’accomplissement de pratiques de dévotion.
Bihâr ul-Anwâr/vol.1/p.167

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ãóäú ÓõÆöáó Úóäú Úöáúã íóÚúáóãõåõ ÝóßóÊóãóåõ ÃõáúÌöãó ÈöáöÌÇã ãöäó ÇáäøÇÑ
ÇáÇËäí ÚÔÑíÉ / 11


Le Saint Prophète, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Dieu met une bride de feu à celui qui sait une science mais fait l’ignorant face à quelqu’un lui demandant de l’aide dans le domaine de cette science-là.
Ithnâ ‘Asharîyya/p.11

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÇóáúÞõÑÂäõ ãóÃúÏóÈóÉõ Çááåö ÝóÊóÚóáøóãõæÇ ãóÃúÏóÈóÊóåõ ãóÇ ÇÓúÊóØóÚúÊõãú
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 92 / 19


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Le Coran est l’université divine ; apprenez tout ce que vous pouvez de (dans) cette université.
Bihâr ul-Anwâr/vol.92/p.19

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
Åöäøó ãöãøÇ íóáÍóÞõ ÇáúãõÄúãöäó ãöäú Úóãóáöåö æóÍóÓóäóÇÊöåö ÈóÚúÏó ãóæúÊöåö : ÚöáúãÇð Úóáøóãóåó æóäóÔóÑóåõ¡ æóæóáóÏÇð ÕóÇáöÍÇð ÊóÑóßóåõ¡ æóãõÕúÍóÝÇð æóÑøóËóåõ.
Óää ÇÈä ãÇÌÉ / 1 / 88


Le Saint Prophète, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Un croyant obtient après sa mort la récompense du fait de trois choses : la science qu’il avait acquise puis enseignée aux autres ; l’enfant ayant acquis la piété (par lui) ; le li-vre qu’il a écrit et que d’autres peuvent employer (après sa mort) .
Sunan-i Ibn-i Madji/vol.1/p.88

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
ÕöäúÝÇäö ãöäú ÃõãøóÊí ÅÐÇ ÕóáóÍÇ ÕóáóÍóÊú ÃõãøóÊí æóÅÐÇ ÝóÓóÏÇ ÝóÓóÏóÊú ÃõãøóÊí¡ Þíáó íÇ ÑóÓõæáó Çááåö æóãóäú åõãÇ¿ ÞÇáó : ÃóáúÝõÞóåÇÁõ æÇáÇõãóÑÇÁõ.
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 2 / 49


L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Il y a deux groupes de gens parmi ma communauté, qui s’ils sont vertueux provoquent la vertu de la communauté entière et s’ils sont dépravés causent la dépravation à la communauté entière.
On a demandé au Prophète :“Qui sont ces deux groupes? ”
Le Saint Prophète a répondu :“Les oulémas et les gouver-neurs. ”
Bihâr ul-Anwâr/vol.2/p.49

ÞÇáó ÑóÓõæáõ Çááåö Õáøì Çááå Úáíå æÂáå æÓáã :
íÇ Úóáöíøõ Êóãóäøì ÌóÈúÑóÆíáõ Ãóäú íóßõæäó ãöäú Èóäí ÂÏóãó ÈöÓóÈúÚö ÎóÕÇá : æóåöíó ÇáÕøóáÇÉõ Ýí ÇáÌóãÇÚóÉö¡ æóãõÌÇáóÓóÉõ ÇáúÚõáóãÇÁö¡ æóÇáÕøõáúÍõ Èóíúäó ÇáÇËúäíäö æóÅßúÑÇãõ ÇáúíóÊöíãö¡ æóÚöíÇÏóÉõ ÇáúãóÑöíÖö¡ æóÊóÔúííÚõ ÇáúÌöäóÇÒóÉö¡ æóÓóÞúíõ ÇáúãÇÁö Ýí ÇáúÍóÌøö¡ ÝóÇÍúÑöÕú Úóáì Ðáößó.
ÇáÇËäí ÇáÚÔÑíÉ / 245

L’Envoyé de Dieu, les bénédictions de Dieu soient sur lui ainsi que sur sa Famille, a dit :
Ô ‘Alî ! L’Ange Gabriel a souhaité être au nombre des des-cendants d’Adam à cause de sept caractères : 1. L’accomplissement de la prière en commun ; 2. La fréquen-tation des oulémas ; 3. Le fait de réconcilier deux person-nes ; 4. Le fait de faire honneur à l’orphelin ; 5. La visite des malades ; 6. La participation aux funérailles ; 7. Le fait de donner de l’eau aux personnes assoiffées durant le Pèlerinage rituel à la Mecque. Ais-donc envie de les prati-quer avec assiduité.
Ithnâ ‘Asharîyya/p.245

ÞÇáó ÇáÇúöãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÇáÔøóÇÎöÕõ Ýí ØóáóÈö ÇáúÚöáúãö ßóÇáúãõÌÇåöÏö Ýí ÓóÈíáö Çááå
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 1 / 179


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
La personne qui recherche la science avec beaucoup d’efforts est comme un combattant dans le chemin de Dieu.
Bihâr ul-Anwâr/vol.1/p.179

ÞÇáó ÇáÇúöãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
áÇ íõÏúÑóßõ ÇáúÚöáúãõ ÈöÑÇÍóÉö ÇáúÌöÓúãö
ÛÑÑ ÇáÍßã / 348


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
On ne peut acquérir la science confortablement (c’est-à-dire : pour acquérir la science, on doit faire beaucoup d’efforts.).
Ghurar ul-Hikam/p.348

ÞÇáó ÇáÇúöãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
Åöäøó ßóãÇáó ÇáÏøíäö ØóáóÈõ ÇáúÚöáúãö æóÇáúÚóãóáõ Èöåö ÃóáÇ æóÅöäøó ØóáóÈó ÇáúÚóáúãö ÃóæúÌóÈõ Úóáóíúßõãú ãöäú ØóáóÈö ÇáúãóÇáö
ÇáßÇÝí / 1 / 30


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
En effet, on peut perfectionner sa foi en étudiant la scien-ce et en l’employant ; sachez que pour vous, l’acquisition de la science comporte une obligation supérieure à celle des biens.
Al-Kâfî/vol.1/p.30

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
Åöäøó ßóáÇãó ÇáúÍõßóãÇÁö ÅÐÇ ßÇäó ÕæÇÈÇð ßÇäó ÏóæÇÁð¡ æóÅÐÇ ßÇäó ÎóØóÃð ßÇäó ÏÇÁð
äåÌ ÇáÈáÇÛÉ / ÇáßáãÇÊ ÇáÞÕÇÑ / 265


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
En effet, la parole juste des savants (par exemple au sujet d’une question etc.) équivaut au remède contre une mala-die, mais si elle est injuste, elle est au contraire une mala-die elle-même.
Nahdj ul-Balâgha/Al-Kalamât ul-Ghisâr (aphorismes)/n°265

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
…ÝóÇöäøó ÇáúÚÇáöãó ÃóÚúÙóãõ ÃÌúÑÇð ãöäó ÇáÕøÇÆöãö ÇáúÞÇÆöãö ÇáãõÌÇåöÏö Ýí ÓóÈíáö Çááåö ÝóÇöÐÇ ãÇÊó ÇáúÚÇáöãõ Ëõáöãó Ýí ÇáÇÓúáÇãö ËõáúãóÉð áÇ íóÓõÏøõåÇ ÇöáÇø ÎóáóÝñ ãöäúåõ.
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 2 / 43


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
En vérité, un savant obtient plus de récompenses si l’on compare avec celui qui fait la prière, observe le jeûne et combat les ennemis de Dieu. Ainsi, dès qu’un savant meurt se produit un manque dans l’Islam qui ne peut être com-pensé que par un successeur de sa descendance.
Bihâr ul-Anwâr/vol.2/p.43

Çáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
åóáóßó ÎõÒøÇäõ ÇáÇãúæÇáö æóåõãú ÃóÍúíÇÁñ¡ æóÇáúÚõáóãÇÁõ ÈÇÞõæäó ãÇ ÈóÞöíó ÇáÏøóåúÑõ¡ ÃóÚúíÇäåõãú ãóÝúÞõæÏóÉñ¡ æóÃóãúËÇáõåõãú Ýí ÇáúÞõáõæÈö ãóæúÌõæÏóÉñ.
äåÌ ÇáÈáÇÛÉ / ÇáßáãÇÊ ÇáÞÕÇÑ / 147


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Ceux qui recherchent toujours de l’argent et des biens ne sont plus que des morts, alors qu’ils sont vivants. Au contraire, les savants (les gens qui recherchent la science) sont en vie jusqu’à la fin de ce monde (car les gens em-ploient leurs livres, leurs inventions, etc.) ; tandis que leurs corps se sont désagrégés, leurs images brillent encore dans les cœurs.
Nahdj ul-Balâgha/Al-Kalamât ul-Ghisâr (aphorismes)/n°147

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÇáÚöáúãõ æöÑÇËóÉñ ßóÑöíúãóÉñ¡ æóÇáúÂÏÇÈõ Íõáóáñ ãõÌóÏøóÏóÉñ¡ æóÇáúÝößúÑõ ãöÑÂÉñ ÕÇÝöíúÉñ
äåÌ ÇáÈáÇÛÉ / ÇáßáãÇÊ ÇáÞÕÇÑ / 5


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
La science est un noble héritage, les bonnes mœurs sont de bonnes parures et la pensée est un miroir pur.
Nahdj ul-Balâgha/Al-Kalamât ul-Ghisâr (aphorismes)/n°5

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇóãíÑõ ÇáúãõÄãöäíäó Úóáöíøñ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÕóÏúÑõ ÇáúÚÇÞöáö ÕõäúÏõæÞõ ÓöÑøöå¡ æóÇáúÈóÔÇÔóÉõ ÍöÈÇáóÉõ ÇáúãóæóÏøóÉö¡ æóÇáúÇöÍúÊöãÇáõ ÞóÈúÑõ ÇáúÚõíõæÈö. æóÑõæöíó Ãóäóøå ÞÇáó Ýöí ÇáúÚöÈÇÑóÉö Úóäú åóÐÇ ÇáúãóÚúäì ÃóíúÖÇð : æóÇáúãóÓúÃóáóÉõ ÎöÈÇÁõ ÇáúÚõíõæÈö…
äåÌ ÇáÈáÇÛÉ / ÇáßáãÇÊ ÇáÞÕÇÑ / 6


L’Émir des croyants, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
La poitrine d’un sage est le coffre de ses secrets, son bon comportement est sa voie pour être aimé et sa patience est le moyen cachant ses défauts.
Nahdj ul-Balâgha/Al-Kalamât ul-Ghisâr (aphorismes)/n°6

ÞÇáó ÇáÇúöãÇãõ ÇáúÍóÓóäõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
Úóáøöãö ÇáäøÇÓó Úöáúãóßó æóÊóÚóáøóãú Úöáúãó ÛóíúÑößó
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 78 / 111


L’Imâm Hassan, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Enseigne ta science au peuple et apprends la science d’autrui.
Bihâr ul-Anwâr/vol.78/p.111

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáúÍõÓóíúäõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
Åöäøó ãóÌÇÑöíó ÇáÇõãõæÑó æóÇáÇÍúßÇãö Úóáì ÃóíúÏí ÇáúÚõáóãÇÁö ÈöÇááåö¡ ÇáÃõãóäÇÁö Úóáì ÍóáÇáöåö æóÍóÑÇãöåö…
ÊÍÝ ÇáÚÞæá / 172


L’Imâm Hassan, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Toutes les affaires et les règles de la communauté musul-mane dépendent des oulémas, ceux auxquels Dieu a confié Ses permissions et Ses interdictions.
Tuhaf ul-‘Uqûl/p.172

ÞÇáó ÇáÇúöãÇãõ Òóíúäõ ÇáúÚÇÈöÏöíäó Úáíå ÇáÓøáÇã :
áóæú íóÚúáóãõ ÇáäøÇÓõ ãÇ Ýí ØóáóÈö ÇáúÚöáúãö áóØóáóÈõæåõ æóáóæú ÈöÓóÝúßö ÇáúãõåóÌö æóÎóæúÖö ÇááÌóÌö
ÇáßÇÝí / 1 / 35


L’Imâm Zayn ul-‘Abidîn a dit :
Si le peuple connaissait la valeur de la science, il la recher-cherait certainement, même s’il était obligé de faire des voyages très dangereux menant probablement à la mort.
Al-Kâfî/vol.1/p.35

ÞÇáó ÇáÇúöãÇãõ ÇáúÈÇÞöÑõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÊóÚóáøóãõæÇ ÇáúÚöáúãó ÝóÇöäøó ÊóÚóáøõãóåõ ÍóÓóäóÉñ æóØóáóÈóåõ ÚöÈÇÏóÉñ
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 78 / 189


L’Imâm Bâqir, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Essayez d’acquérir la science car étudier une science fait partie des bons actes et les efforts dont une personne fait preuve afin d’acquérir une science sont comme des prati-ques de dévotion.
Bihâr ul-Anwâr/vol.78/p.189

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáúÈÇÞöÑõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÇöÐÇ ÌóáóÓúÊó Çöáì ÚÇáöã Ýóßõäú Úóáì Ãäú ÊóÓúãóÚó ÃóÍúÑóÕó ãöäúßó Úóáì Ãóäú ÊóÞõæáó æóÊóÚóáøóãú ÍõÓúäó ÇáÇÓúÊöãÇÚö ßóãÇ ÊóÊóÚóáøóãõ ÍõÓúäó ÇáúÞóæúáö æóáÇ ÊóÞúØóÚú Úóáì ÃóÍóÏ ÍóÏíËóåõ.
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 1 / 222


L’Imâm Bâqir, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Si tu t’assieds en présence d’un savant, tu dois avoir envie d’écouter plus que parler. Apprends à bien écouter de même que tu apprends à bien parler et ne coupe pas la parole de celui qui est en train de parler.
Bihâr ul-Anwâr/vol.1/p.222

ÞÇáó ÇáÇúöãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÝóÇäúÙõÑõæÇ Úöáúãóßõãú åÐÇ Úóãøóäú ÊóÃúÎõÐõæäóåõ
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 2 / 92


L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Faites attention à savoir de qui vous apprenez votre scien-ce (c’est- à-dire : est-il un adepte de la vérité ?) .
Bihâr ul-Anwâr/vol.2/p.92

ÞÇáó ÇáÇúöãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÇõØúáõÈõæÇ ÇáúÚöáúãó æóÊóÒóíøóäõæÇ ãóÚóåõ ÈöÇáúÍöáúãö æóÇáúæóÞÇÑö æóÊóæÇÖóÚõæÇ áöãóäú ÊõÚóáøöãõæäóåõ ÇáúÚöáúãó
ÇáßÇÝí / 1 / 36


L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Acquerrez la science, embellissez-la par la patience et la gravité et soyez modeste face à votre enseignant.
Al-kâfî/vol.1/p.36

ÞÇáó ÇáÇúöãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ãóäú ÊóÚóáøóãó ÇáúÚöáúãó æóÚóãöáó Èöåö æóÊóÚóáøóãó áöáøåö ÏõÚöíó Ýí ãóáóßõæÊö ÇáÓøóãæÇÊö ÚóÙöíãÇð
ÇáßÇÝí / 1 / 35


L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Dans le Royaume des cieux on nomme avec grandeur le nom de la personne qui acquiers la science, l’emploie du-rant sa vie et l’enseigne aux autres uniquement pour atti-rer la satisfaction divine.
Al-kâfî/vol.1/p.35

ÞÇáó ÇáÇúöãÇãõ ÇáÕøÇÏöÞõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÇöÍúÊóÝöÙõæÇ ÈößõÊõÈößõãú ÝóÇöäøóßõãú ÓóæúÝó ÊóÍúÊÇÌõæäó ÇöáóíúåÇ
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 3 / 152


L’Imâm Sâdiq, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Préservez bien vos livres ; car vous en aurez besoin dans l’avenir.
Bihâr ul-Anwâr/vol.2/p.152

ÞÇá ÚóÈúÏõ ÇáÓøóáÇãõ : ÞÇá ÇáÇãÇãõ ÇáÑøöÖÇ Úáíå ÇáÓøáÇã ÑóÍöãó Çááåõ ÚóÈúÏÇð ÃÍúíì ÃóãúÑóäóÇ ÝóÞõáúÊõ áóåõ ÝóßóíúÝó íõÍúíí ÃóãúÑóßõãú¿ ÞÇáó Úáíå ÇáÓøáÇã íóÊóÚóáøóãõ ÚõáõæãóäÇ æóíõÚóáøöãõåóÇ ÇáäøÇÓó ÝóÇöäøó ÇáäøÇÓó áóæú ÚóáöãõæÇ ãóÍÇÓöäó ßóáÇãöäÇ áÇóÊøóÈóÚõæäÇ.
ãÚÇäí ÇáÇÎÈÇÑ / 180


‘Abd us-Salâm a dit que l’Imâm Rizâ, les bénédictions de Dieu soient sur lui, disait :
Que la Compassion divine soit sur celui qui rétablit nos commandements.
‘Abd us-Salâm a demandé : “ Comment peut-on rétablir vos commandements ?”
L’Imâm a ainsi répondu : “ Il faut que l’on acquiert notre science et qu’elle soit enseignée aux gens ; car si le peuple connait la bonté de nos paroles (notre science), il nous sui-vra certainement.”
Ma‘ânî ul-Akhbâr/p.120

ÞÇá ÇáÇãÇãõ ÇáÑøöÖÇ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÃáÇ Åöäøó ÇáÝóÞíåó ãóäú ÃóÝÇÖó Úóáóì ÇáäøÇÓö ÎóíúÑóåõ æÃóäÞóÐóåõãú ãöäú ÃóÚúÏÇÆöåöãú æóæóÝøóÑó Úóáóíúåöãú äöÚóãó ÌóäÇäö Çááåö æóÍóÕøóáó áóåõãú ÑöÖúæÇäó Çááå ÊóÚÇáì.
ÈÍÇÑ ÇáÇäæÇÑ / 2 / 5


L’Imâm Rizâ, les bénédictions de Dieu soient sur lui, a dit :
Sachez que le faqih (le faqih véritable) est celui qui est bon pour les gens, les défend contre leurs ennemis, leur fait obtenir des récompenses divines (en les Guidant sur la bonne voie) ainsi que la satisfaction divine.
Bihâr ul-Anwâr/vol.2/p.5

ÞÇáó ÇáÇãÇãõ ÇáúÚóÓúßóÑíøõ Úáíå ÇáÓøáÇã :
ÚõáóãÇÁõ ÔíÚóÊöäÇ ãõÑÇÈöØõæäó Ýí ÇáËøóÛúÑö Ýóãóäö ÇäúÊóÕóÈ áöÐáößó ãöäú ÔíÚóÊöäÇ ßÇäó ÃÝúÖóáó ãöãøóä ÌóÇåóÏó ÇáÑøõæãó…áÃóäøóåõ íóÏúÝóÚõ Úóäú ÃóÏúíÇäö ãõÍöÈøíäÇ.
ÇáÇÍÊÌÇÌ / 2 / 155


L’Imâm Hassan-i ‘Askarî a dit :
Les oulémas de nos chiites sont les gardiens des frontières de la religion musulmane. Ainsi, celui de nos adeptes qui assume la responsabilité de ce devoir est supérieur à un combattant qui participe à une Guerre Sainte contre les ennemis de Dieu… car il défend les croyances de nos adep-tes et de nos amis.
Al-Ihtidjâdj/vol.2/p.155
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