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Abân a laissé des œuvres remarquables, dont le livre Tafsîr gharâ'ib al-Qur'ân (Commentaire de l'inouï dans le Coran) où il abonda en exemples de poèmes des Arabes relatifs au Livre Saint. Ensuite, Abdel Rahmân b. Mohammad Al-Azdî de Kufa rassembla des écrits d'Abân avec ceux de Mohammed Al-Sâ'ib Al-Ka'bî et Ibn Rawâq 'Atiya b. Al-Hâreth, pour en faire un seul ouvrage où il compare leurs opinions. On trouve parfois le livre d'Abân à part et parfois compilé avec les autres, tel que le présente Abdel Rahmân. Nos maîtres ont cité les deux livres en s'appuyant sur des chaînes différentes, mais confirmées. Abân a également écrit Kitâb al-Fadâ'il (le livre des mérites), Kitâb Siffîn, il a laissé un ouvrage sur les principes sur lequel s'appuie l'école Imamite pour ses jugements légaux. Ses livres sont ainsi rapportés en remontant jusqu'à lui. Vous pouvez consulter les détails dans les biographies.
Vous avez également Abu Hamza Al-Thamâlî Thâbet b. Dinar. Il fut l'un de nos savants les plus sûrs. Il acquit son savoir en écoutant les trois Imams, Al-Sadeq, Al-Bâqer et Zein Al-'Abidîn (a. s) desquels il était proche et auxquels il s'était soumis. Al-Sâdeq le loua disant: "Abu Hamza fut, de son temps, ce que fut Salmân Al-Farisî de son temps". Al-Ridâ (a.s.) dit: "Abu Hamza fut de son temps ce que fut Luqmân de son temps". Il a écrit une exégèse du Coran que l'Imam Al-Tabarsî utilise dans son exégèse Majma' al-Bayân. Il a également écrit Kitâb al-Nawâder, Kitâb al-Zuhd, Risâlat al-Huqûq qui inclut les hadiths rapportés de l'Imam Zein Al-'Abidîn Ali b. Ai-Hussein (a.s.). Il rapporta de lui également son invocation de l'aube, plus lumineuse que le soleil et la lune réunis. Il rapporta également de Anas et d'Al-Sha'bî. Ses propos sont rapportés par Waki', Abi Na'îm et d'autres personnalités de cette génération, comme nous l'avons montré dans la correspondance 16.
D'autres hommes remarquables ne connurent pas l'Imam Zein Al-'Abidîn, mais il furent contemporains des deux Imams (les deux pourfendeurs et les deux véridiques). Parmi eux, nous avons Abul Qâsem Burayd b. Mu'awiya Al-'Ajalî, Abu Busayr Layth b. Murâd Al-Bukhturî Al-Murâdi, Abul Hassan Zarâra b. A'yun, Abu Ja'far Mohammad b. Muslim b. Rabâh Al-Kufî Al-Ta'ifî Al-Thaqfî et d'autres figures illuminées réputées pour leur probité et qu'il serait difficile de citer ici.
Ces quatre personnes citées ont accédé au rang de la dignité, ils en ont atteint le sommet, le statut le plus noble, au point qu'Al-Sâdeq (a.s.) ait dit, les citant: "personne d'autre que Zarâra, Abu Busayr Layth, Mohammed b. Muslim ni Burayd n'ont ravivé autant notre souvenir. Sans eux, personne n'aurait pu mettre en lumière tout cela". Puis il ajouta: "Ils ont retenu la religion, ils furent les dépositaires de mon père, ils ont obéi aux injonctions divines, ils sont prééminents dans ce monde et dans l'au-delà". Il dit également: "Annonce le Paradis à ceux qui se sont humiliés devant Allah" et il cita les quatre. Il dit, dans un long discours où il les nomme: "Mon père leur a fait confiance pour ce qui est de leur obéissance aux injonctions divines. Ils furent les dépositaires de son savoir. Ils sont aujourd'hui les dépôts de mes secrets. Ils furent vraiment les compagnons de mon père comme ils sont aujourd'hui, morts ou vivants, les phares de mes partisans. A travers eux, Allah fait découvrir toute innovation, ils écartent de la religion l'usurpation des faussaires et l'interprétation des abusifs". Il fit leur éloge à plusieurs reprises et en maintes occasions, confirmant leur mérite, leur honneur, leur générosité et leur fidélité. Nous ne pouvons tout rapporter et malgré cela, les ennemis des Ahlul-Bait n'ont pas hésité à mentir à leur propos, comme nous l'avons montré avec précision dans notre livre Mou'allifû al-Shi'â fî Sadr al-Islâm (les auteurs shiites du début de l'Islam). Cela ne conteste nullement leur noble statut et leur position considérable pour Allah, Son messager et les croyants, tout comme la jalousie envers les prophètes n'a fait qu'élever le statut des prophètes d'Allah. Ils n'ont eu pour effet que de diffuser encore plus loin leurs lois parmi les gens du vrai, et de se faire accepter par les gens au cœur généreux. La science se développa considérablement à l'époque d'Al-Sâdeq (a.s.). Les partisans de ses pères accoururent de tous côtés vers lui. Il les accueillit avec joie, il se montra aimable et familier. Il consacra ses efforts à leur éducation, il fit de son mieux pour leur transmettre les secrets des sciences, les subtilités de la philosophie et les réalités des choses. Comme le reconnaît Abul Fath Al-Shahristânî dans son livre Al Milal wal Nahl qui dit, parlant d'Al-Sâdeq: "Il possédait des connaissances abondantes en religion, et un savoir profond en sagesse. Il avait un renoncement total au monde ici-bas et une crainte absolue des penchants". Il dit encore: "Il demeura à Médine pendant quelque temps où il se mit au service des Shiites, ses partisans. Il leur inculquait les secrets de sa science. Puis il partit pour l'Iraq sans s'approcher de l'Imamat - ou du pouvoir - et sans contester le califat". Il poursuit: "Celui qui se noit dans la mer de la connaissance ne peut désirer le rivage, celui qui atteint la cime de la vérité ne peut craindre la chute". Le vrai se manifeste équitable et obstiné.
Parmi les compagnons d'Al-Sâdeq, un grand nombre de personnalités se sont distinguées. Ils furent les Imams de la voie et la lanterne dans la nuit, les profondeurs du savoir, les étoiles de la guidance. Leurs noms et leurs parcours furent rapportés dans les biographies. Parmi eux, 4000 hommes de l'Iraq, du Hijâz, de Perse et de Syrie. Ils sont les auteurs d'ouvrages remarquables utilisés par les savants Imamites, parmi lesquels figure Al-'Usul al 'Arba'mi'at (les 400 principes), compilation de quatre cents ouvrages écrits à l'époque d'Al-Sâdeq qui rapportent ses ordonnances (fatwâ). Ils furent à la base des connaissances et des actions après lui; ils furent résumés par certains érudits pour faciliter la tâche du néophyte et l'aider à acquérir cette somme prestigieuse. Le meilleur de ce qui fut rassemblé se trouve dans les quatre livres qui forment la référence des Imamites en matière de principes et de dérivations, depuis le début de l'Islam jusqu'à l'heure actuelle, et qui sont: Al-Kâfî, Al-Tahdhîb, Al-Istibsâr et Man lâ Yahdorohou Al-Faqîh. Les hadiths rapportés sont fréquents et sont certifiés authentiques. Al-Kâfî en est le plus ancien, le meilleur, le plus important et le plus soigné. On y trouve 16.199 hadiths, c'est-à-dire plus que ce que rapportent les six Sahîhs réunis, comme le font remarquer Al-Shahîd dans Al-Dhikra et d'autres savants.
Hishâm Ibn Al-Hakam, compagnon d'Al-Sâdeq et d'Al-Kâdhem, écrivit plusieurs ouvrages parmi lesquels 29 sont réputés. Nos savants les rapportent, en remontant jusqu'à lui. Nous les avons décrits en détail dans notre livre Mukhtasar Al-Kalâm... (Abrégé sur les auteurs..). Ce sont des livres passionnants et remarquables par leur éloquence manifeste et la clarté de leur argumentation. Ils sont consacrés aux principes et aux dérivations, à l'Unicité et à la philosophie rationnelle. Ils constituent une réponse aux impies, aux mécréants, aux naturalistes, aux partisans du libre-arbitre et aux fatalistes, et même à ceux qui ont abusé concernant Ali et les Ahlul-Bait. Ils sont également une réponse aux Kharijîtes et aux adversaires, à ceux qui nient le testament à Ali, ceux qui l'ont refoulé et l'ont combattu, ceux qui admettent la possibilité de lui préférer les autres, etc.. Hishâm fut l'un des savants les plus érudits du deuxième siècle en rhétorique, en sagesse divine, ainsi que dans les autres sciences rationnelles et traditionnistes. Il se distingua en matière de jurisprudence et de hadîth, il se confirma en exégèse et dans d'autres arts et sciences. Il fut l'un de ceux qui commentèrent la question de l'Imamat et qui épurèrent la doctrine. Il rapporta les hadiths d'Al-Sâdeq et d'Al-Kâdhem. Il avait chez eux une estime incomparable, il s'attira leurs bonnes grâces qui lui fit élever son statut. Au début, il faisait partie de la secte des Jahamiya([204]), mais il perçut la vérité lorsqu'il rencontra Al-Sâdeq. Il le suivit, puis il suivit Al-Kâdhem, il dépassa même tous leurs compagnons. Il fut accusé d'anthropomorphisme et d'autres déviations par ceux qui voulaient éteindre la lumière divine qu'il diffusait, par jalousie et par haine envers les Ahlul-Bait; ayant entre les mains la relation de ses faits et paroles, nous sommes plus au courant à propos de sa doctrine. Il a écrit des ouvrages appuyant notre école. Il est impossible que ses paroles, rapportées par les autres, nous aient été dissimulées alors qu'il fait partie de nos ancêtres, et que les autres sont éloignés de lui. Al-Shahristânî a rapporté dans Al Milal Wal Nahl une expression de Hishâm niant son anthropomorphisme. Nous citons ici ce qu'il rapporta. Il dit: [Hishâm b. Al-Hakam est un maître incontesté en principes. Il ne faut pas passer sous silence ses argumentations avec les Mu'tazilites. La vérité de l'homme se manifeste dans son argumentation avec l'adversaire et non dans les comparaisons qu'il avance. Argumentant avec Al-Allâf, il dit: "Tu dis que Allah est Sachant de savoir, Sa Science est Lui-même. Il serait un Savant différent des savants. Pourquoi ne dis-tu pas; Il est un Corps différent des corps?"]. Si ces paroles se vérifient comme étant de lui, on ne peut douter qu'il est opposé à Al-Allâf. Etre opposé à quelque chose ne signifie pas croire en elle. Il est possible qu'il ait voulu mettre Al-Allâf à l'épreuve et mesurer son savoir, comme l'indique Al-Shahristânî: "La vérité de l'homme se manifeste dans son argumentation avec l'adversaire et non dans les comparaisons qu'il avance". Si l'on suppose que Hishâm fut anthropomorphiste, il l'aurait été avant d'avoir été éclairé, car il avait adopté la Jamahiya avant de recevoir la guidance de la famille de Mohammad. Il fut l'un des savants les plus réputés des Imâms des Ahlul-Bait. Aucun de nos ancêtres ne trouva ce qui lui fut reproché par les adversaires, comme nous n'avons trouvé aucune trace de ce qui lui fut reproché par Zurâra b. Ay'un, Mohammad b. Muslim, Mu'min Al-Tâq, ni par les autres, bien que nous ayons consacré beaucoup d'énergie et de temps à la recherche de ces tares. Nous pensons qu'il s'agit plutôt d'actes iniques et agressifs, de mensonges et de calomnies. "Ne compte point que Dieu soit inattentif à ce que font les prévaricateurs!" (Ibrahim, 42).
Quant à ce qu'a rapporté Al-Shahristânî à propos de Hishâm, disant qu'il déifiait Ali, cela est tout simplement ridicule. Hishâm est au-dessus de ces affabulations et de cette mesquinerie. Il vous suffirait de lire les propos de Hishâm concernant l'Unicité, où il incite à purifier Allah de l'incarnation, et se tient bien loin des paroles des ignorants. Consultez ses écrits concernant l'Imamat et le testament, où il affirme que le Prophète (SAW) est meilleur que Ali, que ce dernier n'est qu'un membre de sa communauté et de ses sujets, qu'il est cependant son légataire et son successeur, qu'il est un serviteur d'Allah, opprimé et affligé, qui s'est trouvé dans l'impossibilité de recouvrer son droit, qui fut contraint à se soumettre à ses adversaires, vivant sans protecteur ni ami, sous une constante menace. Comment Al-Shahristânî peut-il affirmer à la fois qu'il est un maître incontesté en principes, qu'il ne faut pas passer sous silence son argumentation avec les Mu'tazilites, qu'il est autrement que ce qu'il affirme à Al-Allâf: "pourquoi ne dis-tu pas que Allah est un Corps différent des corps" et lui faire dire que Ali (a.s.) est Allah l'Exalté? N'est-ce pas une contradiction flagrante? Est-il convenable pour sa stature de lui attribuer ces affabulations? Evidemment non. Mais les adversaires ont voulu fomenter des troubles, par jalousie et iniquité envers les Ahlul-Bait et leurs adeptes. Il n'y a de force et de puissance qu'en Allah le Très Haut.
A l'époque d'Al-Kâdhem (128-183), d'Al-Ridâ (148-203), d'Al-Jawâd- (195-220), d'Al-Hâdî (212-254) et d'Al-Hassan Al-Zakî Al-'Askarî (232-260), que la paix soit sur eux, la production savante se développa d'une manière importante. Les traditionnistes qui ont rapporté leurs paroles et celles de leurs partisans se dispersèrent dans toutes les contrées. Ils se vouèrent corps et âme à la recherche, ils plongèrent dans les océans du savoir, scrutant ses secrets, délimitant ses questions et épurant ses données. Ils consacrèrent leurs efforts à rapporter les sciences et à rassembler toutes les connaissances éparses.
Dans Al-Mu'tabar, Al-Mohaqqeq (que Allah élève son rang), qui était un élève méritant d'Al-Jawâd (a.s.) comme le furent Ai-Hussein b. Sa'îd, son frère Ai-Hussein, Ahmad b. Mohammed b. Abi Nasr Al-Bizantî, Ahmad b. Mohammed b. ithaled Al-Barqî, Shadhân, Abil Fadl Al-'Ammî, Ayûb b. Nûh, Ahmad b. Mohammed b. 'Issa et d'autres qu'il serait long à rapporter (qu'Allah élève, leur rang) dit: "Leurs ouvrages que consultent jusqu'à présent les érudits indiquent leur vaste savoir".
Les livres d'Al-Barqî dépassent la centaine, Al-Bizantî a écrit un ouvrage volumineux, connu par Al-Jâme' Al-Bizantî, Hussein b. Sa'îd a écrit trente ouvrages. Nous ne pouvons rapporter tout ce qu'ont écrit les élèves des six Imams de la descendance d'Al-Sâdeq (a.s.). Vous pouvez vous reporter aux index biographiques. Consultez les biographies de
Mohammed b. Sinân, Ali b. Mahazyâr, Ai-Hassan b. Mahbûb, Ai-Hassan b. Mohammed b. Samâ'a, Safwân b. Yahya, Ali b. Yaqtîn, Ali b. Faddâl, Abdel Rahmân b. Najrân, Al-Fadl b. Shadhân, qui a écrit 200 livres, Mohammed b. Mas'ûd Al-'Iyâshî, qui a 200 ouvrages à son actif, Mohammed b. 'Umayr, Ahmad b. Mohammed b. 'Issa, qui rapporta les hadiths de cent compagnons d'Al-Sâdeq (a.s.), Mohammed b. Ali b. Mahbûb, Talha b. Talha b. Zaid, ' Ammâr b. Mûsa Al-Sâbâtî, Ali b. Al-Nu'mân, Ai-Hussein b. 'Abdallah, Ahmad b. 'Abdallah b. Mahrân connu par Ibn Khâna, Sadaqa b. Al-Munzir Al-Qommî, 'Ubaydallah b. Ali Al-Halabî, qui soumit son livre à Al-Sâdeq (a.s.) qui l'authentifia et, le jugeant correct, dit: "Ceux-là ne peuvent avoir un livre comparable", Abi 'Umrû Al-Tayeb, 'Abdallah b. Sa'îd, qui soumit son livre à Abil Hassan Al-Ridâ (a.s.), Yûnis b. Abdel Rahmân, qui soumit son livre à Abi Mohammed Ai-Hassan Al-Zakî Al-'Askarî (a.s.).
En examinant la vie des ancêtres partisans de la famille de Mohammed (SAW), en enquêtant sur les compagnons des neuf Imams descendants d'Al-Hussein, en recensant leurs œuvres écrites au temps de leurs Imams, en inventoriant ceux qui ont rapporté d'après ces œuvres les hadiths de la famille de Mohammed à propos des principes et des dérivations, en jetant un regard global sur l'ensemble des sciences, en les classant par génération, depuis l'époque des neuf Imams infaillibles jusqu'à présent, on sera définitivement convaincu que la doctrine des Imams est consacrée. Personne ne peut encore douter que notre adoration d'Allah, dans les principes et les dérivations, est adoptée à partir de la famille du prophète. Celui qui continue à douter ne peut être qu'un orgueilleux entêté, un ignorant à l'esprit obtus. Gloire à Allah qui nous a guidés en cela, nous n'aurions pas été guidés sans Sa guidance. Saluts.
SH.
Je témoigne que vous êtes, concernant les principes et les dérivations, dans la voie des Imams de la famille du prophète. Vous avez admirablement clarifié cette question, vous avez ressorti ce qui était dissimulé; en douter encore n'est que folie, le mettre en doute est erroné, car vous l'avez totalement exposée.
Votre exposé m'a admirablement ébloui, j'ai respiré sa douce haleine revigorante. Avant de vous rencontrer, je me trouvais dans la confusion en ce qui vous concerne, vous les Shiites, car j'entendais beaucoup de semeurs de trouble et de détracteurs. Lorsque Allah facilita notre rencontre, je me suis réfugié auprès de vous pour connaître la voie et la lumière qui éclaire les ténèbres. Je vous quitte à présent, triomphant et prospère. Que la grâce d'Allah sur vous est immense! Que votre avantage pour moi est bienfaisant! Louanges à Allah le Maître des mondes. S.
Je témoigne que vous êtes qualifiés et compétent en la matière, votre perspicacité profonde est plus rapide que l'étoile filante, vous avez plongé dans la recherche, examiné et vérifié les faits. Vous avez scruté tous ses côtés, son intérieur, ses moindres replis et ses inclinaisons. Vous avez sondé toutes ses parties pour connaître ses profondeurs, vous avez recherché sa substance et sa vérité, sans tenir compte des sentiments nationalistes ni des desseins particuliers. Votre clémence ne peut être rompue, ni votre opinion déviée, plongé que vous êtes dans la recherche, avec une indulgence ferme et satisfaite et un cœur plus vaste que le monde, ardu que vous êtes dans votre quête, ne prenant pas en compte vos attaches, jusqu'à dévoiler ce qui est dissimulé, jusqu'à faire éclater au grand jour la vérité. Le jour est apparu pour ceux qui ont des yeux pour voir. Louanges à Allah pour Sa guidance et Sa religion, et que le succès soit réservé à ceux qui L'invoquent dans Sa voie. Prières et Saluts d'Allah sur Mohammed et sa famille. S.
Etablies par Cheikh Hussein Al-Râdî (extraits)
Les rapporteurs du hadîth Al-Thaqalayn
1. Le prince des croyants Ali b. Abi Tâleb. 2. Ai-Hussein b. Ali b. Abi Taleb. 3. Selmân al-Fârisî. 4. Abu Dhirr Al-Ghufârî. 5. Ibn Abbas. 6. Abu Sa'îd Al-Khodari. 7. Jâber b. Abdallah Al-Ansârî. 8. Abul Haythem b. Al-Tîhân. 9. Abu Râfe'. 10. Hudhayfa b. Al-Yamân. 11. Hudayfa b. Usayd Al-Ghufârî. 12. Khudhayma b. Thâbet dhoul Shahâdatayn. 13. Zayd b. Thâbet. 14. Zayd b. Arqam. 15. Abu Hurayra. 16. Abdallah b. Huntab. 17. Jubayr b. Mat'am. 18. Al-Barrâ1 b. 'Azeb. 19. Anas b. Mâlek. 20. Talha b. Abdallah Al-Taymî. 21. Abdel Rahmân b. Awf. 22. Sa'ed b. Abi Waqqâs. 23. 'Umru b. Al-'As. 24. Sahl b. Sa'ed Al-Ansârî. 25. 'Uday b. Hâtem. 26. Abu Ayûb Al-Ansârî. 27. Abu Shurayh Al-Khuzâ'î. 28. 'Uqba b. 'Amer. 29. Abu Qudâma Al-Ansârî. 30. Abu Layla Al-Ansârî. 31. Damîra Al-Aslamî. 32. 'Amer b. Layla b. Damra. 33. Fatima Al-Zahra' (a.s.). 34. Umm Salma, femme du prophète. 35. Umm Hânî, sœur du prince des croyants Ali (a.s.).
Les hadiths se trouvent dans:
- ' Aqabât Al-Anwâr, volume 1 et 2.
- Sahîh Muslim, livre Al-Fadâ'il, chap. Fadâ'il Ali b. Abi Tâleb, volume 2 (éd. Issa Al-Halabî).
- Masâbîh Al-Sunna d'Al-Baghawî Al-Shâfi'î, vol. 2 (éd. Muhammad Ali).
- Tafsîr Ibn Kathîr, vol. 4
- Mishkât Al-Masâbîh d'Al-'Umarî (éd. Damas).
- Yanâbî' Al-Mawaddat d'Al-Qandûrî Al-Hanafi, (éd. Islambûlî).
- Al-Fath Al-Kabîrd'Al-Nabahâbî.
- Manâqeb Ali b. Abi Tâleb d'Ibn Maghazilî Al-Shafi'î.
- Dhakâ'ir Al-'Uqba d'Al-Tabarî Al-Shâfi'î
- Kifâyat Al-Taleb d'Al-Kingî (éd. Al-Haydariya)
- Farâ'id Al-Samtîn, vol. 2
- Aqabât Al-Anwâr, hadith d'Al-Thaqalayn, vol. 1.
- Al-Sawâ'eq Al-Muhriqa d'Ibn Hagar
Le hadith d'Al-Thaqalayn (dans d'autres termes)
- Musnad Ahmad b. Hanbal vol. 4 et 5 (éd. Yaminiya, Egypte).
- Yanâbî' Al-Mawaddat d'Al-Qandûrî Al-Hanafi.
- Al-Durr Al-Manthur d'Al-Suyutî Al-Shafi'î, vol. 2
- Manâqib Ali b. Abi Taleb, d'Ibn Maghazilî Al-Shâfi'î.
- Sharh Nahg Al-Balâghah d'Ibn Abi Hadîd, vol. 2 (éd. Egypte).
- Ansâb Al-Ashrâf d'Al-Balâzurî vol. 2 (éd. Al-Ghuri).
- Al-Jâme' Al-Saghîr d'Al-Suyutî (éd. Al-Maymaniya).
- Al-Fath Al-Kabîr d'Al Nabahânî.
- Ihyâ' Al-Mayit d'Al-Suyutî.
- Kanz Al-'Ummal d'Al-Mutaqî Al-Hindî, vol. 1 et vol. 15.
Le hadith comparant les Ahlul-Bait à l'arche de Noé
II se trouve dans:
- Kifâyat Al-Tâleb d'Al Kingî Al-Shâfi'î (éd. ,A1-Haydariya).
- Majma' Al-Zawâ'id d'Al-Haythamî Al-Shâfi'î vol. 9
- Al-Mu'jam Al-Saghîr d'Al-Tabarânî, vol. 2
- Ihyâ' Al-Mayyit d'Al-Suyutî
- Yanâbî' Al-Mawaddat d'Al-Qandûrî Al-Hanafi.
- Al-Sawâ'eq Al-Muhriqa d'Ibn Hagar (éd.Al-Maymaniya).
- Hîlat Al-Awliyâ', vol. 4
Le hadith de l'arche (dans d'autres termes)
- Al-Mu'jam Al-Saghîr d'Al-Tabarânî, vol. 1
- Al-Mustadrak d'Al-Hâkem, vol. 2 et 3.
- Nuzum Durar Al-Samtîn d'Al-Zarandî Al-Hanafi
- Nûr Al-Absâr d'Al-Shablangî (éd. Al-Sa'idiya)
- 'Uyun Al-Akhbâr d'Ibn Qutayba, vol. 1 (éd. Dar al-Kutub al-Masriya).
- Sharh Nahg Al-Balâghah d'Ibn Abi Hadîd vol. 1
- Kunûz Al-Haqâ'iq d'Al-Manâwî (cd. Bûlaq)
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