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Mais supposons que vous désiriez faire cela de la même manière que le font les abeilles en construisant leurs rayons, sans casser de brique, à part celles aux extrémités. (Les abeilles n’utilisent que des demi-hexagones aux bords du rayon à cause de la forme géométrique de l’hexagone). Alors, que ferez-vous ? En d’autres mots, vous n’avez le droit de casser que les briques aux extrémités, de la même manière que les abeilles le font avec leurs hexagones. Vous devez utiliser le reste des briques en entier, encore de la même manière que les abeilles.

Pour être en mesure de le faire, vous devrez faire des calculs. Vous ne pouvez pas réussir si vous commencez la tâche au hasard. Plusieurs étapes préliminaires seront nécessaires au succès, y compris :

- Vous devez prendre un mètre et mesurer la longueur de la ligne.

- Vous devez ensuite mesurer la longueur de l’une des briques.

- Vous devez diviser la longueur de la ligne par celle de la brique. Si la longueur de la ligne n’est pas un multiple exact de celle de la brique, alors le résultat que vous obtiendrez ne sera pas un nombre entier.

- Cette portion du nombre qui suit la virgule décimale est de la plus grande importance parce qu’il représentera de combien les deux briques aux extrémités doivent être raccourcies. Par exemple, si cette valeur est de 0,25, alors la longueur totale des briques aux extrémités ne doit pas excéder 0,25. Vous pouvez effectuer l’ajustement nécessaire selon le nombre que vous obtiendrez.

- Après avoir raccourci les deux briques des extrémités conformément à ce nombre, vous pouvez ensuite poser les autres en place. Quand vous arriverez au centre, la dernière brique devrait s’ajuster parfaitement pourvu que, évidemment, vous ayez effectué vos calculs correctement !

Cette analogie montre que pour un être humain, le succès est possible seulement en effectuant un certain nombre de calculs et en utilisant divers instruments de mesure.

Examinons maintenant les calculs effectués par les abeilles, lesquels sont beaucoup plus compliqués que ceux dans notre exemple de briques, en se rappelant qu’elles les font sans utiliser aucun instrument de mesure.

Souvenez-vous que les abeilles ne dessinent pas de lignes sur un champ plat et n’alignent pas les briques ensemble, mais elles ajoutent, les uns aux autres, des hexagones de même taille. Les abeilles sont des insectes ayant un cerveau de 0,74 millimètre cube et pesant entre 80 et 100 milligrammes.134 De plus, pour faire des hexagones de même taille, elles effectuent des calculs dont seuls les êtres humains sont capables et elles parviennent à des prouesses mathématiques que même les humains, quelquefois, trouveraient difficiles. Les abeilles sont capable d’effectuer tous ces calculs et ces mesures pendant qu’elles construisent leurs rayons de miel, accomplis ensemble en parfaite harmonie.

La largeur des cellules que les abeilles fabriquent en cire est toujours entre 5,2 et 5,4 millimètres. Pour comprimer la cellule dans un espace limité sans que des problèmes surgissent, la largeur des cellules semi hexagonales à leurs extrémités est de grande importance. Si les bords des cellules aux deux bouts (et quelquefois au troisième bout) sont légèrement trop larges ou trop étroites, il y aura alors un raccordements défectueux là où les pièces du rayon sont jointes au centre. On doit tenir compte ici d’un point important : même si le travail a commencé en effectuant de parfaits calculs, si un groupe d’abeilles commence légèrement au-dessus ou au-dessous des autres, au moment où elles se rejoindront, les rangées de cellules seront légèrement désalignées et il sera impossible de les joindre ensemble. Et si le groupe d’abeilles du centre laisse glisser leur partie de rayon légèrement à gauche ou à droite, elles seront alors incapables de joindre correctement les cellules avec celles de gauche ou de droite.

Pour retourner à notre analogie de pose de briques, si une troisième personne se joignait au travail quand les deux premiers ont déjà commencé à poser les briques à partir des deux extrémités, et si cette personne commence elle aussi à poser des briques sur la ligne, il est très probable que cela créera confusion. Dans ce cas, l’emplacement de la première brique posée par cet individu doit être précisément calculé. Si elle est placée incorrectement, il y aura des espaces de chaque côté de celle-ci.

Cependant, chez les abeilles, aucune de ces erreurs ne se produit. L’endroit où les parties du rayon s’unissent ensemble n’est jamais visible. Peu importe combien d’abeilles travaillent à la tâche, elles travaillent toutes ensemble en étonnante harmonie, tout comme si chacune était un ingénieur en génie civil.

Pourriez-vous faire un rayon régulier

en n’utilisant qu’un crayon ?

Effectuez une simple expérience pour examiner la tâche que les abeilles exécutent. Commencez à dessiner des hexagones sur un morceau de papier, en essayant de les réunir tous ensemble au milieu de la page. Toutefois, vous devez essayer de vous assurer qu’aucun espace ne soit laissé entre les hexagones et qu’aucun des hexagones ne soient irréguliers. Mais le plus important, vous devez le faire sans utiliser d’instruments, tels un compas ou une équerre à dessin, et sans faire aucun calcul. Vous trouverez cela très difficile, sinon impossible. Imaginez trois ou quatre personnes commençant à partir de différents endroits sur la même feuille de papier et vous pourrez peut-être comprendre à quel point cette tâche est difficile en réalité.

Si vous faites une erreur, cependant, vous pouvez toujours l’effacer et recommencer. Or, les abeilles n’ont pas une pareille possibilité. Elles font leurs rayons de miel au premier essai, en ne faisant absolument pas d’erreur.

Comme vous pouvez le voir à partir de ces exemples, il est extrêmement difficile pour une abeille de faire des hexagones égaux et parfaits, puis de les joindre ensemble pour produire le rayon. De plus, les miracles des parfaits rayons de miel que les abeilles ont construits depuis qu’elles sont la première fois où elles sont apparues sur terre ne finissent pas ici.

Les angles dans le rayon de miel

En construisant leurs cellules, les abeilles doivent tenir compte de trois angles séparés :

-          L’angle interne de chaque cellule de rayon.

-          L’angle ascendant de la cellule à partir de l’horizontal.

-          Les angles des losanges équilatéraux dans la base de la cellule.

Les abeilles construisent leurs cellules en maintenant parfaitement les angles internes de 120o nécessaires dans les hexagones. Pendant la construction, un autre point auquel les abeilles font très attention est l’angle d’inclinaison des cellules. Si elles étaient construites exactement de niveau avec le sol, le miel placé à l’intérieur s’écoulerait. Les cellules sont élevées de la base à l’ouverture à un angle de 13 degrés, les empêchant ainsi d’être parallèles au sol.135

Le troisième angle que les abeilles utilisent est l’angle qui relie les bases de la cellule. Il a fait l’objet d’un débat entre les scientifiques et ce sont les abeilles qui ont gagné.


Une victoire des abeilles sur les scientifiques :

calcul parfait de l’inclinaison

Comme vous l’avez vu, les abeilles font leur rayon à double face. Les cellules hexagonales sont jointes aux cellules de l’autre côté à la base. Cependant, les joints entre les deux séries de cellules de rayon sont une merveille d’ingénierie particulière.

La première caractéristique visible dans ce design est les trois losanges équilatéraux au fond de la cellule hexagonale. Chaque cellule de rayon est conçue de manière à être placée à la jonction des trois cellules directement sur le côté opposé du rayon. Cette structure mutuellement interconnectée donne le maximum d’élasticité au rayon de miel. Tout comme des attaches en acier rivetées, on peut dire que les cellules qui se rejoignent à la base sont soudées l’une à l’autre.

Les scientifiques examinant la structure parfaite du rayon de miel ont été stupéfaits des calculs mathématiques effectués de manière telle que les bases des trois cellules forment la base d’une seule cellule faisant face à la direction opposée. C’est un design qui exige une prévoyance mathématique des plus compliqués.

Les scientifiques effectuant ce calcul de manière similaire à ce que doivent faire abeilles ont découvert les angles très sensibles nécessaires pour obtenir ces qualités. Selon un calcul fait par le célèbre mathématicien Konig, les angles à la base doivent être de 109 degrés 26 minutes et 70 degrés 34 minutes pour obtenir la structure la plus parfaite.

Quels angles les abeilles utilisent-elles ? Les observations ont montré que dans la construction d’un rayon de miel, elles utilisent deux angles exacts : 109 degrés 28 minutes et 70 degrés 32 minutes, et qu’elles ne déviaient jamais de ces derniers. C’est vraiment incroyable ! Les abeilles ont réussi à résoudre un calcul mathématique hors de la portée de tous, à l’exception d’un expert.

Cependant, le calcul effectué par les abeilles montre une déviation de 1/30e de degré. (Un degré est composé de 60 minutes. Une différence de 2 minutes dans l’angle d’un rayon correspond à 1/30e de degré). En d’autres mots, les abeilles incluent une marge d’erreur dans leurs rayons, même si elle est tellement petite qu’elle devient insignifiante.

En effet, à cause de cette erreur de 1/30e de degré, les scientifiques pensaient autrefois que les abeilles étaient incapables d’obtenir un résultat parfait et ne faisaient que s’approcher de l’angle exact, se permettant une marge d’erreur. Mais le fait est que les abeilles ne font vraiment aucune erreur du tout !

Le fameux mathématicien écossais Colin Maclaurin (1698-1746) a répété le même calcul et quand il a annoncé son résultat, il a ébahi le monde de la science. Maclaurin a découvert que l’angle employé par les abeilles était totalement exact et que Konig et son équipe qui avaient effectué la première étude du rayon à miel étaient arrivés à un résultat erroné à cause d’une erreur dans les tableaux logarithmiques qu’ils avaient utilisés.

En résumé, on s’est rendu compte qu’il n’y avait pas la moindre erreur dans les rayons à rayons à miel.136 La soi-disant erreur de 1/30e de degré avait été faite par les scientifiques, non par les abeilles.


Pourquoi l’hexagone ?

Comme nous l’avons vu, les rayons à miel sont basés sur des calculs si délicats que la plupart des êtres humains ne peuvent pas les faire et ces caractéristiques en font des merveilles architecturales qui stupéfient les scientifiques.

Les scientifiques faisant des recherches sur la structure du rayon à miel ont effectué des études détaillées sur la question à savoir pourquoi les abeilles ne les construisaient au hasard ou encore de forme octogonale, pentagonale ou triangulaire au lieu d’hexagonale.

Karl von Frisch, auteur du livre Animal Architecture est l’une des autorités sur les abeilles la plus respectée au monde, répond à cette question en ces termes :

Si les cellules étaient rondes ou, disons, octogonales ou pentagonales, il y aurait des espaces vides entre elles. Cela signifierait non seulement une mauvaise utilisation de l’espace, mais obligerait également les abeilles à bâtir des parois séparées pour toute ou partie de chaque cellule et produirait un grand gaspillage de matériel. Ces difficultés sont évitées par l’utilisation de triangles, de carrés et d’hexagones. Pourvu que leur profondeur soit la même, de telles cellules contiendrait toutes le même volume. Mais des trois figures géométriques de superficie égale, l’hexagone a la plus petite circonférence. Cela signifie, évidemment, que la quantité de matériau nécessaire pour obtenir des cellules de même capacité est moindre pour les constructions de forme hexagonale et, en conséquence, que ce motif est le design le plus économique pour des entrepôts. 137

Dans l’extrait ci-dessus, Von Frisch répond ouvertement à la question "Pourquoi l’hexagone ?" Cependant, la question qui exige vraiment une réponse est : comment les abeilles l’ont-elles découvert ? Le bon sens est suffisant pour déduire que cette parfaite structure ne pourrait pas avoir été développée par les abeilles durant un processus imaginaire d’évolution. Construire un scénario dans lequel l’abeille construisait un jour une cellule pentagonale, puis en essayait une triangulaire le jour suivant, en continuant dans cette veine pour quelque temps, avant de décider des années ou des centaines d’années plus tard que l’hexagone était la forme la plus idéale est absolument illogique. D’affirmer une telle chose est suggérer que les abeilles possèdent autant de raison et de conscience que les êtres humains. Ni la raison ni la conscience ne permettent de croire une telle affirmation.

Les abeilles ont été créées par Allah. Elles n’ont pas subi de processus d’évolution. Elles n’ont jamais subi aucun changement. Au moment où elles ont été créées, elles avaient exactement les mêmes caractéristiques qu’elles possèdent maintenant.


Conclusion

Comme nous l’avons vu tout au long de ce livre, la plupart des tâches exécutées par les abeilles stupéfient les êtres humains. Durant la courte durée de leur vie, seulement quelques semaines, les abeilles font leur travail dans la ruche dans un ordre très précis. Des soins qu'elles prodiguent aux jeunes à la construction, de la récolte de nourriture à la production de miel, elles réussissent chacune de leurs tâches.

Le système nerveux de l’abeille, qui rend possible tous ces travaux, est composé d’environ 7.000 neurones. Un être humain en a environ 2 million de fois plus.138 Toutefois, comme nous l’avons vu très en détail, les abeilles sont capables d’exécuter toutes ces tâches à la perfection :

-Elles exécutent une série de tâches compliquées dans la ruche, comme nourrir les larves, nettoyer, refroidir l'air, entretenir et réparer.

-Elles sont capables de distinguer entre les abeilles amicales et hostiles.

-Elles sont capables de donner des directions suivant l’angle du soleil.

-Elles sont capables de percevoir les rayons ultraviolets.

-Elles sont capables de calculer le poids du pollen qu’elles transportent.

-Elles sont capables d’effectuer des corrections à leur trajectoire durant le vol en observant la luminosité du ciel et en se servant des points de repère ainsi que de sentir les odeurs le long de leur route.

-Elles sont capables de calculer la distance qu’elles ont parcourue en vol.

-Elles peuvent mesurer la fréquence des mouvements dans la danse exécutée dans la ruche et, de là, calculer la distance de la source de nourriture.

-Même si la danse a lieu sur un plan vertical, elles sont capables de calculer exactement l’angle entre le soleil et la source de nourriture.

-Elles sont capables de bâtir d’exceptionnelles et régulières cellules hexagonales de rayon.

Cependant, en observant ces créatures capables d’exécuter toutes ces tâches, il est utile de mettre en évidence un point particulier : le nombre total de cellules nerveuses dans le cerveau de l’abeille est de loin inférieur au nombre de cellules nerveuses que l’être humain utilise pour prononcer le nom latin de l’abeille, Apis mellifica.139 Un cerveau d’abeille mesure seulement 0,74 millimètres cubes.140 De plus, malgré son corps plus gros, le cerveau de la reine, l’individu le plus important de toute la ruche, est même plus petit : seulement 0,71 millimètres cubes. La conclusion qui ressort de toutes ces statistiques est que le travail sophistiqué fait par les abeilles n’a pas de corrélation avec la taille de leurs cerveaux. Tous ces attributs parfaits leur ont été donnés.

Qui a donné aux abeilles toutes ces extraordinaires caractéristiques ? Comment ces créatures qui peuvent effectuer des calculs impossibles pour les êtres humains et qui ont été équipées avec autant de caractéristiques ont-elles été créées ? Comment se fait-il qu’aussitôt que ces insectes éclosent de leurs cocons, ils soient capables d’exécuter des tâches si incroyables sans bénéficier d'aucune formation spéciale ? Comment ces créatures -qui ne peuvent pas penser- sont-elles capables d’établir une telle structure organisationnelle ? De plus, comment se fait-il qu’elles remplissent tous leurs devoirs à l’intérieur d’un tel ordre communautaire ? L’organisation entre elles est si parfaite qu’elle ne peut qu’être le travail d’une intelligence supérieure.

En examinant toutes ces questions, une vérité ressort : C’est Allah tout-puissant Qui a donné aux abeilles toutes ces caractéristiques stupéfiantes. Tel qu’Il le fait avec tous les êtres vivants qu’Il a créés, avec les abeilles Allah révèle Sa sagesse infinie et Son incomparable création. Une personne qui est témoin de Sa création doit louanger Allah, le Seigneur de tout, et se soumettre à Lui.

… Il n’y a pas d’être vivant qu’Il ne tienne par son toupet. Mon Seigneur, certes, est sur un droit chemin. (Sourate Hud, 56)


LE MIRACLE DU MIEL

… Nous nous abreuvons de ce qui est dans leur ventres, entre les excréments et le sang, nous vous donnons à boire un lait pur, délicieux pour les buveurs. (Sourate an-Nahl, 66)

En faisant le miel, les abeilles ont servi l’humanité depuis des temps très anciens. L’apiculture remonte aussi loin que 3500 ans av. JC.141

La production du miel

Comme vous le savez, le principal ingrédient du miel est le nectar récolté par les abeilles des fleurs et des bourgeons des fruits. Les abeilles le transforment en miel. Le pollen n’a pas d’effet sur la production du miel et il est utilisé par les abeilles seulement pour répondre à leurs besoins de protéine.

Le nectar qu’une abeille récolte des fleurs et avale subit un changement chimique dans son jabot, où il devient un liquide sucré et épais, riche en vitamines et minéraux. Plus tard, les abeilles le déposent dans les cellules de rayon de miel et le scelle avec un bouchon de cire. Le miel acquière son goût familier et sa consistance dans le rayon, grâce à l’air conditionné spécial fourni par les abeilles.142

La couleur du miel, son contenu en sucre et les différentes saveurs dépendent de l’origine des nectars récoltés. Les huiles aromatiques volatiles des fleurs, les mêmes huiles qui donnent aux fleurs leurs parfums, donnent au miel son arôme.

La production du miel requiert un grand effort. Par exemple, il faut 900 abeilles travaillant un jour en entier pour récolter un demi-kilogramme de nectar brut dont seulement une partie pourra être transformée en miel. La quantité de miel obtenu des fleurs dépend entièrement de la concentration en sucre du nectar apporté à la ruche. Par exemple, il y a peu de sucre dans la floraison des pommiers et, conséquemment, peu de nectar récolté des pommiers peut être transformé en miel.143

Pour obtenir 450 grammes de miel pur, environ 17.000 abeilles doivent visiter 10 millions de fleurs. Une expédition moyenne pour trouver la nourriture exige qu’une abeille visite quelques 500 fleurs et fasse un voyage qui dure approximativement 25 minutes. Ceci explique pourquoi les abeilles doivent travailler 7.000 heures pour obtenir 450 grammes de miel pur.144

Bien que ce travail soit très exténuant, les abeilles fabriquent beaucoup plus de miel que ce dont elles ont besoin. Il ne peut y avoir de doute que c’est une bénédiction d'Allah pour le bénéfice des êtres humains.

Le contenu du miel

La raison du goût sucré du miel, la première caractéristique qui vient à l’esprit, est les trois différents sucres dans le miel : dextrose (34%), sucrose (2%) et lévulose ou fructose (40%).

De plus, 17% du miel est de l'eau. Le 7% restant est composé de fer, chaux, sodium, soufre, magnésium, phosphore, pollen, manganèse, aluminium, calcium, cuivre, albumen, dextrine, azote, et des traces d’autres substances à part des protéines et des acides. C’est ce 7% du mélange qui détermine la qualité du miel.145

Il y a une différence très importante entre le miel et le sucre de canne ordinaire avec lequel nous sommes tous familiers. Le sucre entre dans le système sanguin seulement après avoir subi des modifications dans le système digestif, tandis que le miel entre immédiatement, sans avoir besoin d’être premièrement digéré. En résumé, le miel est un aliment qui a été spécialement créé de manière à ce que les êtres humains puissent en bénéficier au maximum et de la façon la plus rapide. Il a été établi que le miel mélangé avec de l’eau chaude fournit de l'énergie au corps en seulement quelques minutes.

Les propriétés salutaires du miel

Grâce aux vitamines et minéraux qu’il contient ainsi qu’à ses autres caractéristiques, le miel est un aliment bon pour la santé, comme il est souligné dans le Coran :

[Et voilà] ce que ton Seigneur révéla aux abeilles : "Prenez des demeures dans les montagnes, les arbres et les treillages que les hommes font. Puis mangez de toute espèce de fruits, et suivez les sentiers de votre Seigneur, rendus faciles pour vous." De leur ventre, sort une liqueur, aux couleurs variées, dans laquelle il y a une guérison pour les gens. Il y a vraiment là une preuve pour les gens qui réfléchissent. (Sourate an-Nahl, 68-69)

Une des plus importantes caractéristiques du miel est qu’il n’héberge aucune bactérie. La teneur élevée en sucre du miel est excellente pour absorber l’humidité, ce qui rend difficile à une bactérie de survivre. Un autre coup dur pour les microorganismes est la propolis que l’on trouve dans le nectar de certains miels et qui peut, en fait, tuer les bactéries.146

Pour cette raison, non seulement le miel n’héberge pas de bactérie, mais il peut être utilisé comme antibactérien. Par exemple, il a été établi que la bactérie SARM, qui est résistante aux antibiotiques, n’est pas résistante au miel.147

En utilisant seulement du miel, le Dr W. Sackett a détruit tous les germes de fièvre typhoïde en 48 heures. Les germes de la dysenterie sont morts en l’espace de 10 heures.148

Comme on peut le voir de ce qui précède, le miel est un aliment salutaire des plus puissants. Cette caractéristique, qui n’a été établie de manière certaine que récemment, était mentionnée dans le Coran il y a déjà 1.400 ans. Il n’y a pas de doute que c’est un des miracles révélés dans le Coran par Allah tout-puissant.

En même temps que ses minéraux, sucres et plusieurs vitamines, le miel contient également de petites quantités de diverses hormones, du zinc, du cuivre et de l’iode. La page suivante montre une analyse chimique du contenu de 100 grammes de miel.

Un aliment sans pareil : le pollen d’abeille

Comme il a déjà été mentionné, les abeilles n’utilisent pas directement le pollen qu’elles récoltent des fleurs, mais elles le transforment en un autre produit connu sous le nom de "pollen d’abeille". Cette transformation est effectuée en ajoutant du nectar et différentes enzymes aux pollens récoltés.

Ce produit fait par les abeilles contient tous les éléments nutritifs dont les humains ont besoin. Le pollen d’abeille est composé à 25% de protéine d’origine végétale. (18 acides aminés, dont 8 sont des acides aminés basiques). Il contient également plus d’une douzaine de vitamines, 28 minéraux, 11 enzymes et enzymes auxiliaires et 11 hydrates de carbone. Cela fait que le pollen d’abeille est beaucoup plus que juste un autre aliment.

Depuis les années 50, beaucoup de recherches ont effectuées sur le pollen d’abeille, et on a découvert, entre autres choses, qu’en plus de fournir des bénéfices nutritionnels et métaboliques, il contient des substances antibiotiques effectives contre le colibacille et certaines souches de salmonelle (un genre de bactérie).149

Le nutritionniste Dr. Paavo Airola est plein de louanges pour le pollen d’abeille :

Le pollen d’abeille multi-sources est le plus riche et le plus complet aliment dans la nature. Il augmente la résistance du corps au stress et à la maladie et accélère le processus de guérison dans la plupart des conditions de mauvaise santé... 150

Les Russes ont également attaché une grande importance aux propriétés du pollen d’abeille. Le docteur Naum Petrovich Joirich, scientifique en chef à l’Académie de Longévité à Vladivostock, déclare :

Le pollen d’abeille est un des trésors originaux de la nutrition et de la médicine. Chaque grain contient toutes les substances importantes nécessaires à la vie.151

L’accroissement de la performance physique a également été lié au pollen d’abeille. Carlson Wade, dans son livre "Bee pollen and Your Health" et Lynda Lyngheim et Jack Scagnetti dans leur livre "Bee pollen" font aussi référence à la façon dont cette substance a fortifié les athlètes.152

Gelée royale

Puisque la gelée royale contient des composés très complexes et, jusqu’à aujourd’hui, non identifiés, il a été impossible de le fabriquer artificiellement. Elle est riche en hormones naturelles, en minéraux, en Vitamine B, en acide folique, en acides gras, en acétylcholine (dont la carence cause la maladie de Parkinson, l’Alzheimer et d’autres maladies du système nerveux), en acides aminés, en protéines, en gras et en hydrates de carbone. Elle contient également de l’acide aspartique, lequel joue un important rôle dans le renouvellement et la croissance des tissus mous du corps.

La gelée royale possède des propriétés antibactériennes, antivirales, nutritionnelles et antivieillissement, en favorisant le renouvellement des cellules des gens qui vieillissent. De plus, elle est aussi bénéfique aux systèmes respiratoire, squelettique, nerveux, endocrinien, cardiovasculaire, immunitaire et cellulaire. Elle stimule aussi l’équilibre hormonal et régularise et normalise les fonctions hormonales et métaboliques. En même temps qu’elle traite les problèmes dermatologiques, elle protège aussi la couleur de la peau.

Elle aide le corps à retrouver sa force à la suite de fatigue chronique, maladies graves, opérations et traumas, et elle augmente les niveaux d’énergie. Elle abaisse les niveaux de cholestérol et de gras et aide à prévenir le durcissement des artères. La recherche a également indiqué que la gelée royale est utile à la protection du foie, la construction des os et des muscles, comme soutien de la croissance des os et de la santé, le renforcement de la mémoire, la stabilisation du poids et le traitement des blessures.

Des médecins en Allemagne en effectuant des recherches dans un nombre de domaines ont utilisé de la gelée royale pour nourrir les bébés sous-alimentés et prématurés. Des améliorations du poids et de la santé des bébés nourris avec de la gelée royale ont été observées.

Il a de plus été observé que les patients souffrant de problèmes nerveux et psychologiques à qui on a donné de la gelée royale réussissaient à atteindre un poids normal, un système nerveux plus résistant et des structures physiques et mentales plus fortes.

Les médecins conseillent également l’utilisation de la gelée royale pour retarder les effets du vieillissement et de la ménopause, pour pallier à la malnutrition et soulager les maladies telles les infections des articulations, les maladies artérielles, les ulcères peptiques et les problèmes de foie, aussi bien que pour la santé en général.153


CONCLUSION :

LE FAIT DE LA CREATION

N’as-tu pas vu que c’est devant Allah que se prosternent tous ceux qui sont dans les cieux et tous ceux qui sont sur la terre, le soleil, la lune, les étoiles, les montagnes, les arbres, les animaux, ainsi que beaucoup de gens ?

(Sourate al-Hajj, 18)

Tout au long de ce livre, nous avons examiné plusieurs caractéristiques des abeilles et répondu à la question à savoir comment les systèmes parfaits des abeilles, leur comportement intelligent et de telles aptitudes comme le calcul, la planification et la construction ont été créés. Nous avons aussi montré en détail comment les mécanismes proposés par les évolutionnistes sont invalides en citant des exemples provenant du cycle de vie des abeilles et les mécanismes qu’elles possèdent. Le plus important de tout, une vérité a encore été révélée, une vérité que quiconque utilisant le bon sens peut clairement voir.

Pour percevoir cette vérité, essayons de trouver la réponse à la question à savoir comment l’abeille vit. Voyons qu’il est impossible pour les évolutionnistes de fournir une réponse logique à ce propos.

Comme on le sait, les évolutionnistes maintiennent que tous les êtres vivants descendent d’un seul ancêtre à la suite du hasard. En fait, cette affirmation s’est totalement effondrée. Cependant, supposons pour un instant que la première abeille a été vraiment créée par hasard. Pour que la lignée de l'abeille survive, il devrait y avoir eu une femelle ou, pour être plus précis, une reine. Cependant, la reine est incapable de trouver sa propre nourriture ; comme nous ne le savons, les ouvrières la nourrissent avec de la gelée royale. C’est la seule façon de produire son aptitude à pondre des œufs. Cela étant, toute reine incapable de se nourrir ou de pondre des œufs sera incapable de continuer sa lignée. De plus, une reine seule n’est pas assez, elle a aussi besoin d’un mâle pour la féconder.

De la même manière, supposons aussi qu’une reine abeille et un mâle soient nés par hasard, probabilité qui, en fait, est zéro. Imaginez que la reine commence à pondre des œufs après avoir été fécondée. Mais la reine ne peut pas faire des rayons de miel puisqu’elle est dépourvue de cette aptitude particulière. Elle ne peut pas pondre ses œufs n’importe où parce que les larves qui éclosent ne peuvent pas survive sans protection. La reine ne peut pas non plus fournir la nourriture pour les larves d’abeilles puisqu’elle est incapable de quitter son nid pour récolter du pollen ou du nectar et qu’elle est dépourvue des organes avec lesquels le miel est produit. Il est donc inévitable que les larves mourront peu après être écloses.

En conclusion, il est évidemment impossible qu’une abeille ait été créée par hasard et qu’elle ait ensuite survécue. Cela étant le cas, les scénarios évolutionnaires basés sur le hasard n’ont absolument aucune validité. En d’autres mots, les caractéristiques de juste un seul être vivant sont suffisantes à invalider la théorie de l’évolution. Les exemples cités ci-dessus démontrent sans aucun doute que les trois castes d’abeilles, les ouvrières qui sont capables d’exécuter tellement de tâches, la reine qui assure la continuité de la race et les faux-bourdons qui la fécondent, ont toutes été créées en un seul et même instant. La seule explication pour qu’elles aient toutes été créées au même moment est qu’elles aient été créées par Allah. La vérité manifeste est celle-ci : comme tous les autres êtres vivants, Allah a créé les abeilles ensemble avec tous les attributs qu’elles possèdent. Il les a aussi mises au service des êtres humains en leur donnant l’aptitude de produire beaucoup plus de miel qu’elles requièrent pour répondre à leurs propres besoins.

De tous les faits tout au long de ce livre, toute personne qui possède raison et conscience doit tirer cette conclusion : Allah a un amour et une compassion infinis pour Ses serviteurs. Il est le seul Seigneur de toutes les créatures et chaque chose dans les cieux et sur la terre. Chaque caractéristique possédée par les êtres vivants est une manifestation de l’infinité de Sa sagesse et de Sa toute-puissance.

Toutes les louanges appartiennent à Allah, Seigneur des cieux et Seigneur de la terre et Seigneur de l’univers. Et à Lui la grandeur dans les cieux et la terre. Et c’est Lui le Puissant, le Sage. (Sourate al-Jathiyya, 36-37)


NOTES

1. Hayvanlar Ansiklopedisi, C. B. P. C. Publishing Ltd./Phoesbus Publishing Company 1969/77, p. 98

2. Encyclopedia Americana, 1993, EU, vol. 3, Int. Headquartes, Danbury Connecticut, p. 439

3. Encyclopedia International, Grolier Incorporated, New York, vol. 2, p. 473

4. Encyclopedia Americana, 1993, p. 439

5. Compton’s Pictured Encyclopedia, vol. 2, Compton & Company Chicago, 1961, EU, p. 106

6. Ali Demirsoy, Yasamin Temel Kurallari, Omurgasizlar/Bocekler, Entomology, vol. II, 1992, Ankara, p. 43

7. Compton’s Pictured Encyclopedia, vol. 2, p. 108

8. Karl von Frisch, Aus Dem Leben Der Bienen, Verständliche Wissenschaft Band 1, 8. Auflage, p. 51

9. Gordon R. Taylor, The Great Evolution Mystery, Harper & Row Publishers, 1983, p. 222

10. Francis Darwin, The Life and Letters of Charles Darwin, vol. I, New York : D. Appleton and Company, 1888, p. 374

11. Charles Darwin, L'origine des espèces, GF Flammarion, 1992, Paris p. 261

12. Francis Darwin, The Life and Letters of Charles Darwin, vol. II, 6 juin [1860], New York : D. Appleton and Company, 1888, p. 111

13. Charles Darwin, L'origine des espèces, GF Flammarion, 1992, Paris p. 297

14. National Geographic Society, The Marvels of Animal Behaviour, 1972, p. 54.

15. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, Cambridge, Massachusetts, Harvard Unv. Press, 5e ed., 1995, p. 96

16. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 97

17. Compton’s Pictured Encyclopedia, vol. 2, p. 106

18. Ibid.

19. Hayvanlar Ansiklopedisi – Bocekler, p. 97

20. Karl von Frisch, Arilarin Hayati, p. 75

21. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 96

22. Ibid., p. 85

23. Karl von Frisch, Animal Architecture, A Helen and Kurt Wolff Book/Harcourt Brace Jovanavich, Inc., New York et Londres, p. 95

24. Ibid., p. 94

25. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 100

26. Ibid., p. 132-34

27. Russel Freedman, How Animals Defend Their Young ?, E.P. Dutton, New York, 1978, p. 63

28. Karl von Frisch, Arilarin Hayati, p. 29 et 30

29. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 58

30. Karl von Frisch, Arilarin Hayati, p. 36, 37

31. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 25, 26

32. Ali Demirsoy, Yasamin Temel Kurallari, Omurgasizlar/Bocekler, Entomology, vol. 2, p. 677

33. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 19, 20

34. Ali Demirsoy, Yasamin Temel Kurallari, Omurgasizlar/Bocekler, Entomology, vol. 2, p. 676

35. Karl von Frisch, Arilarin Hayati, p. 127-128

36. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 107-109

37. Karl von Frisch, Animal Architecture, p. 87

38. National Geographic Society, The Marvels of Animal Behaviour, p. 49-64

39. Ibid.

40. Murray Hoyt, The World of Bees, Coward Mcnann Inc, New York, 1965, p. 146

41. C.D. Mitchener, The Social Behavior of Bees, 1974

42. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 101

43. National Geographic Society, The Marvels of Animal Behavior, p. 51-54

44. Thomas A.Sebeok, Animal Communication, Indiana Unv. Press, Londres, p. 437

45. Compton’s Pictured Encyclopedia, vol. 2, p. 106

46. Ali Demirsoy, Yasamin Temel Kurallari, Omurgasizlar/Bocekler, Entomology vol. II, p. 212

47. Murray Hoyt, The World of Bees, p. 48

48. Edward O.Wilson, The Insect Societies, Harvard Unv. Press, Cambridge, Massachussetts, 1972

49. Murray Hoyt, The World of Bees, p. 49

50. Thomas A. Sebeok, Animal Communication, p. 218

51. Edward O.Wilson, The Insect Societies, p. 98.

52. Karl von Frisch, Aus Dem Leben Der Bienen, p. 56

53. Murray Hoyt, The World of Bees, p. 32

54. Encyclopedia Americana, 1993, p. 440

55. New Encyclopedia of Science, Orbis Publishing, 1985, vol.2, p. 218

56. Ibid., p. 217

57. Karl von Frisch, Aus Dem Leben Der Bienen, p. 47

58. Karl von Frisch, Arilarin Hayati, p. 55, 56

59. Karl von Frisch, Aus Dem Leben Der Bienen, p. 57

60. Moddy Science Classics, Moody Video, City of the Bees, Chicago, EU, 1998

61. The New Encyclopedia Britannica, Sensory Reception, vol 27, p. 134

62. Edward O.Wilson, The Insect Societies, p. 96

63. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 140

64. Murray Hoyt, The World of Bees, p. 40

65. Ibid., p. 47

66. Hayvanlar Ansiklopedisi-Bocekler, C. B. P. C. Publishing Ltd./Phoesbus Publishing Company, Istanbul, 1979, p. 97

67. Karl von Frisch, Aus Dem Leben Der Bienen, p. 64

68. Compton’s Pictured Encyclopedia , vol. 2, p. 108

69. Ali Demirsoy, Yasamin Temel Kurallari, Omurgasizlar/Bocekler, Entomology vol. II, p. 679

70. Karl von Frisch, Aus Dem Leben Der Bienen, p. 65

71. Compton’s Pictured Encyclopedia, vol. 2, p. 108

72. Alex Hawes, "What the Buzz is All About", Zoogoer, Septembre-Octobre 1995, http ://nationalzoo.si.edu/Publications/ZooGoer/1995/6/buzzabout.cfm

73. Karl von Frisch, Arilarin Hayati, pp. 135-136

74. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 152

75. Adam Frank, "Quantum honeybees", Discover, Novembre 97, p. 80

76. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 156

77. Ibid., p. 154-156

78. Marian Stamp Dawkins, Through Our Eyes Only? The search for animal consciousness, W. H. Freeman Spektrum, p. 89, 90

79. Ibid., p. 89

80. Ibid., p. 90

81. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 163-164

82. Ali Demirsoy, Yasamin Temel Kurallari, Omurgasizlar/Bocekler, Entomology, vol. II, p. 66

83. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 171

84. Ali Demirsoy, Yasamin Temel Kurallari, Omurgasizlar/Bocekler, Entomology, vol. II, p. 66

85. http ://www.origins.org/articles/bohlin_ upariver.html

86. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 15

87. Encyclopedia Americana, 1993, p. 439

88. Karl von Frisch, Arilarin Hayati, p. 143

89. Ibid., pp. 39-41

90. Ibid., p. 31

91. Edward O. Wilson, The Insect Societies, p. 96

92. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 51

93. Thomas A. Sebeok, Animal Communication, p. 225

94. Karl von Frisch, Aus Dem Leben Der Bienen, p. 59

95. Thomas A.Sebeok, Animal Communication, p. 237

96. Karl von Frisch, Aus Dem Leben Der Bienen, p. 61

97. Peter J. B. Slater, The Encyclopedia of Animal Behaviour, Facts on File Publications, New York, p. 120

98. Karl von Frisch, Aus Dem Leben Der Bienen, p. 61

99. Thomas Seeley, "Measurement of Nest Cavity Volume by the Honey Bee", Behavioral Ecology and Sociobiology, vol. 2, no. 2, Juin 1977, p. 201-227

100. Edward O.Wilson, The Insect Societies, p. 306

101. Karl von Frisch, Animal Architecture, p. 84

102. Ernst Neufert, NEUFERT, Guven Publishing, 30e édition, 1983, p. 534

103. Edward O.Wilson, The Insect Societies, p. 230

104. The New Encyclopedia Britannica, vol. 21, 15e édition, 1991, p. 663

105. Karl von Frisch, Tanzsprache und Orientierung der Bienen, Universitat München, Springer Verlag, 1965, p. 269

106. Thomas A. Sebeok, Animal Communication, p. 237-238.

107. Edward O.Wilson, The Insect Societies, p. 238

108. Karl von Frisch, Aus Dem Leben Der Bienen, p. 62

109. Edward O.Wilson, The Insect Societies, p. 225

110. Karl von Frisch, Aus Dem Leben Der Bienen, p. 62

111. BYTE Magazine, Juin 1995

112. The Guinness Encyclopedia, p. 18

113. Ibid., p. 91

114. Ali Demirsoy, Yasamin Temel Kurallari, Omurgasizlar/Bocekler, Entomology, vol. II, p. 99

115. Joan Embery, Collection of Amazing Animal Facts, Delacorte Press, New York, 1983, p. 23

116. Ali Demirsoy, Yasamin Temel Kurallari, Omurgasizlar/Bocekler, Entomology vol. II, p. 88

117. Ibid., p. 65

118. Karl von Frisch, Arilarin Hayati, pp. 117-119

119. Ibid., p. 124

120. Karl von Frisch, Aus Dem Leben Der Bienen, pp. 48-49

121. Charles Darwin, L'origine des espèces, GF Flammarion, 1992, Paris p. 222

122. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 81

123. Karl von Frisch, Arilarin Hayati, p. 22

124. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 36

125. Ibid., p. 83

126. Karl von Frisch, Animal Architecture, p. 95

127. Ibid., p. 87

128. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 81

129. The New Encyclopedia Britannica, Sensory Reception, vol. 27, p. 132

130. Karl von Frisch, Animal Architecture, p. 89

131. Encyclopedia Americana, 1993, p. 441

132. Murray Hoyt, The World of Bees, p. 99 et 100

133. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 81

134. Anthony Smith, Insan Beyni ve Yasami, Inkilap Publishing House, p. 39

135. Mark L. Winston, The Biology of the Honey Bee, p. 81, 83

136. "Creation or Chance ! : God's purpose with mankind proved by the wonder of the universe", G. Mansfield, Logos Publications

137. Karl von Frisch, Animal Architecture, p. 86

138. Anthony Smith, Insan Beyni ve Yasami, p. 38

139. Ibid., p. 39

140. Ibid., p. 39

141. Encyclopedia Americana, 1993, p. 444

142. http ://ag.arizona.edu/pubs/insects/ahb/inf27.html

143. Lucy W. Clausen, Insect Fact and Folklore, Int. Book and Periodicals Supply Services, New Delhi

144. John Brackenbury, Insects and Flowers, 1995, Royaume Uni, p. 12

145. Murray Hoyt, The World of Bees, p. 174.

146. "Nutritional and healing benefits of honey", http

://vt.essortment.com/honeybacteriam_rbbd.htm

147. "Honey ‘weapon against superbugs’", http

://news.bbc.co.uk/1/hi/wales/2497183.stm

148. Murray Hoyt, The World of Bees, p. 181

149. Deb Pouech, "Apitheraphy-Using Bees and Hive Products for Health", The Natural Farmer, Ete 2000

150. Judy Christensen, "Bee Pollen, Nature’s most perfect food", Preparedness Journal, Janvier/Février, 1994, p. 15

151. "Bee Pollen Benefits", http ://www.ebeehoney.com/pollenfacts.html

152. www.aim4health.com

153. http ://www.royalbeejelly.net/


Les abeilles dont nous parlons dans ce livre possèdent des propriétés étonnantes : elles ont la plus stupéfiante connaissance de l’ingénierie et de l’architecture de tout le règne animal et elles se distinguent de plusieurs autres créatures par leur vie sociale et leurs moyens de communication.

Dans ce livre, le lecteur verra qu’il n’y a pas, au contraire de ce que soutient la théorie de l’évolution, de "lutte pour la survie" arbitraire ni dans la nature, ni dans les vies des abeilles, et que, comme toutes les créatures sur la terre, les abeilles agissent en accord avec l’inspiration d'Allah.

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