Le prince des croyants Ali (as) dit :
« La maison
dans laquelle le Coran est récité et Allah, le Noble et Grand est rappelé,
recevra de nombreuses bénédictions divines ; les Anges seront présents, et
le démons en seront distants. De plus, cette maison brillera pour les gens du
ciel, comme les étoiles brillent pour les gens de la Terre ».
Usul-ul-Kafi, vol. 2, p. 610
Le
prince des croyants Ali (as) dit :
« Apprenez le Coran
car il est la meilleure des narrations, et comprenez-le entièrement car il est
la meilleure floraison des coeurs. Cherchez la guérison avec sa Lumière car il
est la guérison des cœurs. Lisez-le d'une belle façon car il est la plus
bénéfique des narrations ».
Nahj-ul-Balagha, Sermon 110
Le
prince des croyants Ali (as) dit :
« Lisez le Coran et
cherchez assistance de lui car assurément, Allah, le Très Elevé, ne punira
celui qui a mémorisé le Coran ».
Bihar-ul-Anwar, vol. 92, p. 19
Le prince des croyants Ali (as) dit :
« Une personne qui
lit cent Versets d'où que ce soit du Coran et qui dit ensuite "Ya
Allah" soixante-dix fois, si elle souhaitait retirer une grosse pierre [du
sol], elle serait capable de faire ainsi avec la permission d'Allah ».
Thawabul-A'mal, p. 233
Le prince des croyants Ali (as) dit :
« Apprenez le coran et comprenez qu’il est
la fleur des cœurs, cherchez à se soigner par sa lumière, il est le bon
médicament pour les cœurs, lisez –le il est la meilleure histoire, comprenez
que le connaisseur qui applique sa connaissance sans avoir sa connaissance est
comme un ignorant trompé qui ne sort pas de son ignorance, plutôt la preuve
pour lui est plus claire, son prendre est plus proche, il est très blâmé au
près de Dieu »
Le prince des croyants Ali (as) dit :
( D’après l’Imam Ali (a s) dans une parole très longue où il a caractérisé les pieux en disant)
« quand la nuit
arrive ils plient leurs pieds en récitant les volumes du Coran, le récitent
couramment, et se fâchent à cause de lui, ils le consultent à cause la révèle
de leurs chagrins, en pleurant leurs péchés et la douleur de leur blessure, et
s’ils arrivent à un verset qui contient la crainte leurs cœurs et yeux portent
beaucoup attention sur lui en ce moment leur peaux se réveillent et leurs
folies aura des craintes, ils pensèrent que ce sont les bruits de l’enfer et
ses flammes qui font des actions, s’ils lisent un verset qui contient de
motivation ils se dirigent vers lui en souhaitant même chose, leurs âmes
s’augmentent de l’aimer et ils pensèrent que c’est pour eux ».
Le prince des croyants Ali (as) dit :
« le serviteur ne doit pas lire le coran quand il n’est propre jusqu'à ce qu’il se nettoie »
Le prince des
croyants Ali (as)
:
«Voilà
le Coran. Interrogez-le. Il ne parle pas, mais je vous dis ce qu'il peut vous
apporter: il renferme la science de l'avenir, un discours sur le passé, le
remède de vos maux, l'arrangement de ce qui se passe entre vous».
Le prince des
croyants Ali (as)
:
affirme que lorsqu'il avait
entendu le Prophète (P) dire un jour, en parlant de l'avenir: «Il y aura des
troubles», je lui demandai: «Et comment s'en sortir?», il me répondit: «Faites
appel au Livre d'Allah, lequel vous relate les récits de ceux qui vous ont
précédés, vous prédit ce qui adviendra à ceux qui vous succéderont, et arbitre
entre vous, car le Coran est une parole décisive (qui tranche entre le vrai et
le faux) et non une plaisanterie frivole»
Le
prince des croyants Ali (as)
:
«Vous
avez le Livre d'Allah parmi vous: il distingue le licite de l'illicite, fixe les
obligations et les vertus, souligne les statuts abrogeant et les statuts
abrogés, le général et le particulier, l'absolu et le restreint, les leçons à
tirer et les exemples à suivre, l'absolu et le restreint, le précis et l'ambigu.
Il en explique le tout, en dévoile l'obscur, indique clairement ce qui est fixé
comme obligatoire (par le Coran) et ce qui est à abroger par la Sunnah, ce qui
est rendu obligatoire par la Sunnah et ce qui est permis de délaisser d'après le
Livre, ce qui est obligatoire à une époque et qui pourra disparaître dans le
futur. Il différencie dans les interdictions ce qui constitue un péché majeur,
passible de la peine de Géhenne, et ce qui est un péché mineur susceptible
d'être pardonné. Il distingue le minimum toléré et le maximum souhaité dans
chaque action. »
Le
prince des croyants Ali (as)
:
«Allah
a révélé le Livre comme une lumière dont les flambeaux ne sauraient s'éteindre,
un foyer à l'éternelle incandescence, une mer dont on ne peut atteindre les
fonds, une guide qui n'induit pas en erreur, un rayon dont la lumière ne
s'obscurcit jamais, un critère de jugement valeur, dont arguments ne s'estompent
pas, un manifeste dont aux piliers indestructibles, un remède dont il ne faut
craindre aucun effet secondaire, une puissance dont les partisans ne seront
jamais défaits, une vérité dont les tenants ne seront jamais abandonnés. Ainsi,
il est le métal et le centre de la foi, les sources et mers de la Science, les
jardins de l'équité et ses étangs, les fondements de l'Islam et son édifice, le
fleuve de la Vérité et ses jardins. C'est une mer dont les utilisateurs ne
pourront épuiser, des sources que les consommateurs ne sauraient tarir, des
fontaines que les buveurs n'entament point, des foyers dont les voyageurs ne
perdent pas le chemin, des jalons qui n'échappent pas à la vue marcheurs, des
éminences que ne peuvent dépasser ceux qui s'y dirigent. Allah a fait du Coran
un désaltérant pour entacher la soif des savants, un printemps pour les cœurs
des jurisconsultes, la destination finale des voies qu'empruntent les vertueux,
un remède qui éradique toute maladie, une lumière qui ne laisse de place à
aucune obscurité, une corde à la prise solide, une forteresse dont le sommet est
imprenable. Il est source de puissance pour quiconque en fait le maître et de
paix pour quiconque y adhère il est une guidance pour quiconque s'y réfère, un
argument pour quiconque en argue, un témoin pour quiconque s'y appuie, un
triomphe pour quiconque en fait son argument, un soutien pour quiconque le
porte, un véhicule pour celui qui en applique les enseignements, une leçon pour
celui qui le médite, une protection pour celui qui s'y réfugie, une science pour
quiconque comprend, un hadith pour quiconque rapporte, une sentence pour
quiconque juge. »